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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 16:51

LEMONDE.FR avec AFP | 18.02.12 | 09h28   •  Mis à jour le 18.02.12 | 10h06

 
 

 

Manifestation de partisans du Front de gauche devant l'ambassade de Grèce, le 13 février 2012.

Manifestation de partisans du Front de gauche devant l'ambassade de Grèce, le 13 février 2012.AFP/JOEL SAGET


Près d'un Français sur deux (49 %) estime que la France pourrait connaître la même situation que la Grèce, au bord du défaut de paiement, dans les prochains mois ou les prochaines années, selon un sondage Ifop que publiera, demain, Sud Ouest Dimanche.

Selon ce sondage, 17 % des personnes interrogées estiment "certainement" que la France pourrait connaître une situation similaire, tandis que 32 % répondent "oui probablement". Parmi les 51 % de sondés qui répondent par la négative à la question, 37 % disent "non probablement pas" et 14 % "non certainement pas".

Ce résultat est en recul par rapport à ceux mesurés en novembre dernier (57 %), d'autant plus que la proportion des Français convaincus qu'un scénario à la grecque ne pourrait "certainement pas" advenir en France a bondi de 12 points en l'espace de trois mois (de 2 % en novembre 2011 à 14 % aujourd'hui), commente le quotidien de Bordeaux.

"Cette tendance tient sans doute à une accélération de la dégradation de la situation en Grèce telle que les Français s'identifient de moins en moins aux Grecs", poursuit Sud Ouest Dimanche qui estime cependant que "le fait que près d'un de nos concitoyens sur deux estime aujourd'hui que la France pourrait connaître d'aussi lourdes difficultés qu'une Grèce au bord du chaos en dit long sur le pessimisme régnant actuellement dans notre pays".

Selon le sondage, 70 % des sympathisants de l'UMP pensent que la France ne connaîtra pas de situation semblable à celle de la Grèce dans les prochaines années. A l'inverse, les sympathisants de gauche (54 %) et ceux du Front National (82 %) pensent le contraire. Parmi ces derniers, 46% sont même convaincus que la France va "certainement" connaître le même sort que la Grèce.

Le quotidient relève que les ouvriers sont les plus nombreux (62 %) à craindre cette éventualité au point que près d'un quart d'entre eux (24%) estime "qu'elle va certainement se réaliser".

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:37

 

 

affiche soutien au peuple Grec

 

 

Nous sommes tous des Grecs 

 Quand un peuple est attaqué ce sont tous les peuples qui sont attaqués 

 

Le 10 février, le gouvernement non élu de la Grèce a adopté un nouveau plan d’austérité monstrueux

et destructif, qui a été approuvé par le parlement grec (199 députés contre 101) le 12 février.


Avec ce nouveau plan d’austérité, le salaire minimum est diminué de 22% et gelé pour trois ans,

les conventions collectives sont tout simplement supprimées,

il y aura 15 000 licenciements dans la fonction publique

et 150 000 postes seront détruits par non renouvellement…


Le peuple grec est en train de se soulever courageusement contre cette politique de terreur sociale.

Dans le silence assourdissant des médias, les manifestations se multiplient ainsi que

les grèves générales malgré la violente répression.


Les Grecs ont besoin de la solidarité internationale et y font appel [1]

http://realdemocracygr.wordpress.com/2012/02/10/so-its-final-now/)

Répondons à cet appel. Nous sommes tous des Grecs !


Leur mobilisation se heurte au mur d’une dictature européenne et internationale,

celle des marchés financiers et de la troika : UE, BCE, FMI, qui ont imposé aux grecs

ces plans d’austérité et un gouvernement non élu.


Les gouvernements dans l’UE sont parties prenantes de cette dictature

et appliquent dans les autres pays, des politiques qui vont dans le même sens.

La Grèce n’est pour eux qu’un laboratoire avant généralisation.

La situation va s’aggraver encore avec le projet de nouveau traité européen

obligeant à introduire la “règle d’or” dans nos constitutions.


Nous aussi, comme les Grecs,


refusons de sacrifier le peuple sur l’autel de l’argent.

 

Reprenons nos vies en main. 


Laissez votre PC, rejoignez la mobilisation !


Montrons partout que les peuples se mobilisent en solidarité 

 

A Nîmes,  ce Samedi 18 février à partir de 14h,  

place de la Maison Carrée 

 

 

Venez nombreux !

 

 

 

Banderoles et pancartes bienvenues !!!

 


 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:32


Voilà un recensement ci-dessous des manifestations de solidarités avec la Grèce, le 18 février et à d'autres dates. Le 18 février il y a un appel international d'action de solidarité http://realdemocracygr.wordpress.com/2012/02/15/saturday-18-international-solidarity/#more-7353 . Le même jour les Grecs se réuniront place Syntagma.

N'hésitez pas à organiser quelque chose dans votre ville ou village s'il n'y a pas quelque chose de déjà prévu. Pour cela, vous pouvez créer un événement facebook et donner le lien sur www.facebook.com/events/227967737297954/ pour qu'il puisse être référencé. Vous pouvez contacter le réseau associatif local pour vous faire aider (Attac, Ldh etc.). Concernant la déclaration, il y a des explications sur comment faire ici : http://paris.reelledemocratie.net/node/687 (les précautions prises à Paris se justifient par un contexte très particulier, et ne sont pas forcément pertinentes ailleurs, et sans doute dans bcp d'endroits les rassemblements non déclarés sont tolérés)

Des choses très simples peuvent permettre de communiquer un message de solidarité : une banderole faite de tissu, des cartons, ds feuilles de papier avec des messages, utiliser nos corps pour dessiner un mot (Grèce ?) ou un coeur... N'oubliez pas de prendre des photos :-) Quelqu'un a fait un blog pour recueillir messages de solidarité et photos : http://weareallgreeks.tumblr.com/. Même là où on n'est pas nombreux, ce sera important qu'il y ait des mobilisations dans le plus d'endroit possibles, et de faire passer le message aux gens de sa ville, de son quartier... globalement nous serons nombreux :-)

A+
Sophie

https://n-1.cc/pg/pages/view/1171719

SITES ET PAGES RESSOURCES 

Réelle Democratie Grèce : http://realdemocracygr.wordpress.com/2012/02/15/saturday-18-international-solidarity/#more-7353
Democracia Real Ya http://international.democraciarealya.es/2012/02/14/saturday-18th-of-february-international-mobilization-day-we-are-all-greeks/
Take the Square http://takethesquare.net/2012/02/14/saturday-18th-of-february-international-mobilization-day-we-are-all-greeks/
http://paris.reelledemocratie.net/node/1075
France Uncut http://fruncut.org/blog/le-18-02-nous-sommes-tous-des-grecs
http://hamomilaki.blogspot.com/2012/02/we-are-all-greeks-saturday-18th-of.html

http://weareallgreeks.tumblr.com/


 

Sur Facebook :

26 villes mobilisées recensées au 16 février minuit

Les Grecs le 18 février se rassembleront aussi place Syntagma http://www.facebook.com/events/352555338110643/


MANIFESTATIONS EN FRANCE ET A L’INTERNATIONAL

 

ALLEMAGNE

Köhln (18/02) : http://www.facebook.com/events/383553521670953/  

Hamburg (16/02) https://www.facebook.com/events/369317316411961/

Düsseldorf (15/02) https://www.facebook.com/events/140580679395753/ http://external.ak.fbcdn.net/safe_image.php?d=AQBbTm0IIdYaXw4J&url=http%3A%2F%2Fi3.ytimg.com%2Fvi%2F68na0ca6Ygo%2Fhqdefault.jpg

Francfort (15/02) https://www.facebook.com/OccupyFfM
Francfort, ALLEMAGNE (14/02) http://www.facebook.com/photo.php?fbid=209131629185190&set=a.139344796163874.26571.137920816306272&type=1&theater

Francfort (13/02) https://www.facebook.com/events/358285454191092/

 

AUTRICHE

(15/02) https://www.facebook.com/events/129035723885771/
https://www.facebook.com/events/241257859291261/

 

BELGIQUE

Bruxelles (18/02) https://www.facebook.com/events/172822152831098/

Bruxelles (15/02) http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ISXu0oEpYng

 

DANEMARK

ESPAGNE

Plusieurs villes (13/02) http://www.madrid2noticias.com/n-7275-3-15M_sale_calle_solidaridad_griegos 

http://acampadabcninternacional.wordpress.com/2012/02/13/grecia-contentracion-manana-a-las-20-horas-en-el-consulado-o-embajada-griega-mas-cercana-15m-occupy-syntagma-greece/ 

ETATS-UNIS

New-York (18/02) Zuccotti Park


FRANCE
Havre (20/02)

Toulouse (18/02) : https://www.facebook.com/events/298868093508493/
Vannes (18/02) : https://www.facebook.com/events/191538730948207/ 
Communauté française d’Athènes, devant l’ambassade d’Athènes (18/02, 14h) http://img.mp23.ch/clients/mailpro9986/MOTION_AMBASSADE_version_FINALE.pdf Grenoble (17/02) : https://www.facebook.com/events/192964747470856/
Nice (15/02) : http://nice.demosphere.eu/node/151 http://www.flickr.com/photos/62305636@N04/sets/72157629335386981/
Paris (12/02) http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=kEmG6N44wsQ

IRLANDE

Dublin(18/02) : https://www.facebook.com/events/253637944712060/

 

ITALIE

Rome (actuellement) : https://n-1.cc/pg/pages/view/1171829

Rome, ITALIE (14/02) http://www.facebook.com/media/set/?set=a.292307737498275.67535.161736480555402&type=3
Rome (13/02) http://www.facebook.com/events/345191878846240/ 

PAYS-BAS

Amsterdam (18/02) : https://www.facebook.com/events/334050029973081/

Groningen (15/02) https://www.facebook.com/events/228369353921533

 

PORTUGAL

Lisbonne (20/02) https://www.facebook.com/events/151000555019135/

Coimbra (18/02) http://www.facebook.com/events/299370426791022/ 

Lisbonne (15/02) http://www.facebook.com/events/164643516984700/

ROYAUME UNI

Edinburgh (18/02) : http://www.facebook.com/events/362985473720916/

Londres (18/02) : https://www.facebook.com/events/254245677985938/

 

SUEDE

Stockolm (18/02) : http://motkraft.net/kalender/2012/02/18/stockholm-solidaritetsdemonstration-med-grekiska-arbetarklassen/

 


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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:29

jeudi 16 février 2012

bonjour a tous
nous avons reçu de différents horizons l'invitation a manifester SAMEDI 18/2 a 15h sur la place de la comédie: nous vous invitons a venir nous réjoindre!!!!
réapproprions nous notre droit et devoir de solidarité et notre pouvoir de citoyens concernés!
a samedi!!
LE PEUPLE MAROCAIN
Le soulèvement du peuple marocain se poursuit depuis le 20 février 2011  dans le silence des grands medias français. On compte déjà plusieurs morts suite aux violences policières, des milliers de blessés et des centaines d’arrestations.
A l’occasion de ce premier anniversaire, le comité de soutien au mouvement marocain du 20 février – section Montpellier appel à un rassemblement
le samedi 18 février à 15h place de la comédie.
Une prise de parole des organisations est prévue. Merci pour de votre participation.

LE PEUPLE GREC
Samedi 18 février, journée de mobilisation internationale: Nous sommes tous des Grecs

Quand un peuple est attaqué ce sont tous les peuples qui sont attaqués.
Le 10 février, le gouvernement non élu de la Grèce a adopté un nouveau plan d'austérité monstrueux et destructif, qui a été approuvé par le parlement grec (199 députés contre 101) le 12 février.

Avec ce nouveau plan d’austérité, le salaire minimum est diminué de 22% et gelé pour trois ans, les conventions collectives sont tout simplement supprimées, il y aura 15 000 licenciements dans la fonction publique et 150 000 postes seront détruits par non renouvellement...
Le peuple grec est en train de se soulever courageusement contre cette politique de terreur sociale. Dans le silence assourdissant des médias, les manifestations se multiplient ainsi que les grèves générales malgré la violente répression.

Les Grecs ont besoin de la solidarité internationale et y font appel [1]
Répondons à cet appel. Nous sommes tous des Grecs !
Leur mobilisation se heurte au mur d'une dictature européenne et internationale, celle des marchés financiers et de la troika : UE, BCE, FMI, qui ont imposé aux grecs ces plans d'austérité et un gouvernement non élu.

Les gouvernements dans l'UE sont parties prenantes de cette dictature et appliquent dans les autres pays des politiques qui vont dans le même sens. La Grèce n'est pour eux qu'un laboratoire avant généralisation. La situation va s'aggraver encore avec le projet de nouveau traité européen obligeant à introduire la "règle d'or" dans nos constitutions.

Nous aussi, comme les Grecs, refusons de sacrifier le peuple sur l’autel de l’argent.
Reprenons nos vies en main.

Laissez votre PC, rejoignez la mobilisation !  Manifestation en solidarité avec la mobilisation des Grecs le Samedi 18 février.

 

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:21

jeudi 16 février 2012

Mobilisation internationale de soutien

 

SOUTENONS
LE PEUPLE GREC




Samedi 18 Février
15h33 Centre Commercial Les Champs

Depuis deux années, le Peuple Grec est soumis à une tyrannie financière, qui conduit aujourd’hui les familles à abandonner leurs enfants aux bons soins des écoles publiques, faute de pouvoir les nourrir elles-mêmes. Des milliers de sans-abri errent dans les rues, des gens qui à l’été dernier encore avaient emploi, logement, famille.

Dimanche 12 Février, le parlement grec a voté un plan terrifiant d’austérité, en préalable à une aide de la part de l’UE. Mardi 14 Février, jour de la St-Valentin, fête de l’Amour, l’UE refuse de reconnaître ce plan comme suffisant, et réclame plus encore.

Le Peuple Grec est sacrifié sur l’autel de la Banque !

Son gouvernement est dirigé par un technocrate non élu !

Ses sacrifices, de l’aveu même de ceux qui les réclament, ne seront pas en mesure de le sauver de la banqueroute !

Des menaces identiques pèsent sur le Portugal, l’Irlande, l’Espagne, l’Italie, la France, à travers la signature du traité MES.

Journée mondiale de soutien, relayée par l’Assemblée Populaire de Saint-Brieuc

Contre la dictature des marchés
Solidarité avec le peuple grec




INDIGNAGO.org répondeur : 09 72 29 56 38

 

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:15

 

 

radio-canada.ca
Mise à jour le jeudi 16 février 2012 à 16 h 25 HNE
Des manifestants dans la forêt Les indignés du Parc de la Gatineau craignent les impacts du prolongement de l'autoroute 5 sur l'environnement

Les opposants au projet du prolongement de l'autoroute 5 à Wakefield n'ont pas l'intention de baisser les bras. Cette semaine, le ministère des Transports du Québec a envoyé une mise en demeure aux indignés du Parc de la Gatineau afin de signifier son intention de démanteler leur camp.

Les manifestants ont retiré leur campement, mais refuse de lancer la serviette.

Au risque de se faire expulser, le groupe tiendra un important rassemblement samedi sur le site des futurs travaux. Environ 75 acres de forêt, y compris des arbres tricentenaires, seront abattus dans le cadre des travaux.

Selon la quinzaine de manifestants, l'impact écologique des travaux sera dévastateur. Ils estiment que la région qui a un très faible bassin de population n'a pas besoin d'une telle autoroute.

Une décision irrévocable

Il y a un mois, la députée de Gatineau à l'Assemblée nationale, Stéphanie Vallée, a affirmé qu'il « n'était pas question de faire marche arrière ». Elle estime que le prolongement de l'autoroute 5 améliorera la sécurité des automobilistes et aidera au développement économique de ce secteur.

Les travaux de déboisement devraient débuter la semaine prochaine.

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:12
ladepeche.fr
Publié le 17/02/2012 07:51 - Modifié le 17/02/2012 à 14:52 | Guillaume Courveille
Les Indignés donnent rendez-vous aux Albigeois demain au Vigan./Photo DDM Jean-Marie Lamboley
Les Indignés donnent rendez-vous aux Albigeois demain au Vigan./Photo DDM Jean-Marie Lamboley
Les Indignés donnent rendez-vous aux Albigeois demain au Vigan./Photo DDM Jean-Marie Lambole

Samedi, à partir de 14 heures, les Indignés tarnais investiront le Vigan pour une collecte de couvertures et vêtements chauds en faveur des SDF. Vingt bénévoles seront mobilisés.

Le climat polaire des dernières semaines n'a pas refroidi les ardeurs des Indignés du Tarn. Réuni le 11 février, place du Vigan, pour manifester contre ACTA, le groupe se retrouve une semaine plus tard à proximité de la fontaine et du carrousel. Samedi après-midi, à partir de 14heures, les Indignés reviennent pour combattre un nouvel ennemi : la vague de froid. Leur objectif : venir en aide aux SDF qui subissent au quotidien les températures négatives. « Le but est de collecter un maximum de couvertures et vêtements chauds », explique Katia, à l'initiative de cette action solidaire. « Les chaussettes, bonnets, couvertures, gants et sacs de couchage sont les objets, dont les sans-abri ont le plus besoin » ajoute-t-elle. Les Indignés misent donc sur la générosité des Albigeois et Tarnais pour faire des dons jusqu'en début de soirée. Après 18h, le collectif et les associations caritatives (Croix-Rouge entre autres) prendront le relais pour distribuer les vêtements via le 115 et les lieux d'hébergements (Albi et Castres selon le stock disponible). « Si nous réussissons à récolter au moins 75 sacs de couchage, ce sera super », espère l'Indigné Cédric.

Une vingtaine de bénévoles devrait assurer la collecte, où une soupe populaire sera offerte. « Nous envisageons aussi de la faire partager directement auprès des personnes sans logement » remarque Katia. L'opération de communication, faite via facebook et par distributions de tracts, a vite propagé un élan de solidarité. « Mercredi, on nous a gentiment offert des légumes au marché de Réalmont. Un boulanger nous a fourni du pain pour accompagner la soupe. Tous ces gestes font chaud au cœur » se réjouit l'administratrice du site internet des Indignés. Un pull, un bonnet, une couverture et même un poème ou dessin viendront réchauffer à coup sûr le cœur de ceux qui vivent aujourd'hui dans la rue.


Le chiffre : 3,6

Millions > Mal-logés ou sans-abri. En France, selon le 17e rapport de la fondation Abbé Pierre.


Un stand d'informations sur le problème du mal-logement

« Nous souhaitons aussi sensibiliser les gens sur la crise du logement en France ». Katia, Cédric et les autres Indignés tarnais tiendront en parallèle de la collecte de couvertures et vêtements chauds, un stand d'informations sur les problèmes de logements qui touchent actuellement plus de 8 millions de personnes dans l'Hexagone.

 

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:07

 

Le Monde - il y a 6 heures

Nicolas Sarkozy veut, s'il est réélu, "élargir les conditions d'ouverture des magasins le dimanche", selon une déclaration lue vendredi 17 février en son nom par le secrétaire d'Etat au commerce, Frédéric Lefebvre. C'est "vous donner plus de liberté, c'est de la croissance pour vos commerces, c'est de l'emploi pour les Français", a-t-il ajouté, dans cette déclaration lue aux Etats généraux du commerce à Bercy. Cette mesure représente aussi "du pouvoir d'achat" pour les salariés et permettra "le renforcement de l'attractivité touristique pour que la France soit forte", est-il ajouté dans la déclaration, sans préciser quelle forme prendraient ces "assouplissements" en matière d'ouverture dominicale. (avec AFP)

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:01
| Par Ludovic Lamant

Lire aussi

Jean-Luc Mélenchon attend avec impatience cette séance du 21 février. Ce jour-là, l'Assemblée nationale doit discuter d'un projet de loi autorisant «la ratification du traité instituant le mécanisme européen de stabilité». Depuis plusieurs semaines, le candidat du Front de gauche mène la charge contre ce texte déjà adopté, dans une relative indifférence, à Bruxelles. Avec toujours le même espoir : réactiver la fracture qui avait divisé la France en 2005, entre «ouistes» et «nonistes» face au Traité constitutionnel européen.
 
L'affaire serait si grave que l'ex-socialiste a demandé, lors d'un meeting à Montpellier, le 8 février (lire notre reportage), «que toute la gauche se rassemble pour dire non» à ce texte, mardi à l'Assemblée. Les socialistes ne savent pas encore s'ils voteront contre, ou se contenteront de s'abstenir, si l'on en croit les débats du bureau national du PS de mardi. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Deux nouveaux «traités» sont en chantier à Bruxelles, à des stades d'avancée différents.

Le premier porte sur la création d'un Mécanisme européen de stabilité (MES), qui constitue, pour le dire vite, la première étape vers la création d'un Fonds monétaire européen, censé venir en aide, de manière plus efficace, aux pays en difficulté. En gestation depuis le début de la crise grecque (mai 2010), le texte (à lire en intégralité ici) a été signé par les Etats membres de la zone euro le 30 janvier dernier. Il lui reste donc à être ratifié, au niveau national, par chacun des 17 signataires. C'est ce que la France doit faire à partir de mardi.

José Manuel Barroso et Herman Van Rompuy le 30 janvier, après la signature du «MES». 
José Manuel Barroso et Herman Van Rompuy le 30 janvier, après la signature du «MES».

Le second, intitulé «Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l'Union économique et monétaire» (TSCG), constitue le fameux «pacte budgétaire» (fiscal compact), qui muscle la discipline budgétaire, et propose un embryon de gouvernement économique. Le texte cher à Angela Merkel est prêt (Mediapart l'a déjà décortiqué ici), et devrait être signé lors du prochain Conseil européen, début mars, par 25 des 27 Etats membres de l'Union. Si l'on s'en tient au discours de l'Elysée, c'est ce texte qui va sortir la zone euro de la crise.

Etant donné le calendrier électoral en France, il est impossible que ce deuxième traité soit ratifié par l'Assemblée d'ici aux législatives de juin. François Hollande, le candidat socialiste, a déjà prévenu qu'il comptait «renégocier» le texte s'il est élu. «Comme beaucoup d'autres en Europe, nous considérons que ce texte est à la fois inutile, parce qu'il répète des textes déjà existants, et qu'il est déséquilibré, parce qu'il n'y a rien dans ce texte sur la croissance», explique la députée socialiste Elisabeth Guigou, ancienne ministre des affaires européennes. La stratégie du PS est donc claire : il faut avant tout prendre ses distances avec le second texte (TSCG).

Deux textes liés ?

Jean-Luc Mélenchon, lui, n'a pas hésité à consacrer une vingtaine de minutes de son meeting de Montpellier à mettre en pièces les deux textes européens (voir la vidéo ci-dessous, à partir de 26'15") et gêner le PS aux entournures. Alors que le «sauvetage» de la Grèce par l'Europe tourne au fiasco, l'affaire pourrait faire du bruit.

Le Front de gauche a émis deux grandes séries de critiques à l'encontre d'un texte qui n'a fait l'objet de quasiment aucun débat public, au-delà du cercle d'experts et d'initiés habitués du feuilleton de la crise grecque depuis deux ans.  

Première objection : les deux traités – MES et TSCG – seraient indissociables. Voter l'un et renégocier l'autre n'aurait aucun sens. «Les deux sont liés, c'est écrit en toutes lettres», s'est emporté le professeur Mélenchon, avant d'apostropher François Hollande : «Je te demande de réviser tes fiches, et de demander à tes camarades de travailler plus sérieusement : celui qui vote le mécanisme est obligé de voter le traité

Il existe effectivement un lien juridique entre les deux textes. D'après le cinquième «considérant», «le présent traité et le TSCG sont complémentaires dans la promotion de la responsabilité budgétaire et de la solidarité au sein de l'Union». Précision d'importance : «L'octroi d'une assistance financière dans le cadre des nouveaux programmes en vertu du MES sera conditionné (...) par la ratification du TSCG par l'Etat membre concerné

En clair, on ne peut bénéficier du MES que si l'on a signé, au préalable, le TSCG. Conclusion de Jean-Luc Mélenchon : si l'on ne veut pas du TSCG en l'état, comme l'affirme le Parti socialiste, à quoi bon signer le MES ? L'objection est juste, mais elle est à nuancer : celui qui vote le mécanisme ne sera pas «obligé», comme l'insinue le candidat du Front de gauche, de voter le texte suivant. Au Conseil européen, on confirme que les deux textes sont indépendants : on peut voter l'un sans ratifier l'autre. Il n'y a rien de mécanique.

«Ce sont deux traités totalement différents. L'un porte sur la solidarité au sein de la zone euro. L'autre est inter-gouvernemental, et porte sur la discipline budgétaire», estime la socialiste Elisabeth Guigou. «Je n'admets pas certains propos de Jean-Luc Mélenchon, qui laissent penser qu'il n'existe qu'un seul traité... Ce n'est pas vrai, et ce n'est pas correct de dire cela.»

En fait, on peut tout à fait imaginer, même si ce n'est pas l'esprit du texte, qu'un Etat accepte d'abonder le MES, au nom de la solidarité au sein de la zone euro. Mais qu'il refuse de ratifier l'autre traité, et donc de recevoir de l'aide, tant que le TSCG n'est pas «renégocié». D'autant que l'histoire des deux traités est très différente : l'un a été pensé, par l'ensemble des Etats de la zone euro, pour venir en aide à la Grèce de manière plus rapide et efficace, l'autre a été imposé par Berlin il y a trois mois à peine.

Le coup de pression de Jean-Luc Mélenchon semble en tout cas commencer à porter ses fruits, l'aile gauche du PS jugeant désormais que «par cohérence politique, on ne peut dire oui» au MES.

Vers des «troïkas» partout en Europe ?

Pour Shahin Vallée, chercheur au sein du think tank Bruegel, ces deux traités sont bien «complémentaires» : «Le MES est envisagé comme le volet palliatif, en organisant une solidarité européenne, tandis que le traité sur le 'pacte budgétaire' est perçu comme le volet préventif et disciplinaire.» Mais, poursuit l'économiste, «d’un point de vue tactique, pour ceux qui s'opposent à la discipline budgétaire, se battre contre le MES me paraît être la mauvaise bataille».

Patrick Le Hyaric, un eurodéputé du Front de gauche, estime au contraire qu'il faut combattre l'ensemble des textes européens d'un bloc, qu'il s'agisse du «pacte Euro Plus», du «six-pack» (entré en vigueur en décembre dernier), du MES ou du futur «pacte budgétaire» : «Tous ces textes vont les uns avec les autres, malheureusement. Ce sont des camisoles de force. C'est ce que j'ai appelé le pacte des rapaces», affirme-t-il, en référence à son dernier ouvrage.

D'où la deuxième série de critiques que porte le Front de gauche contre le traité instituant le MES : sous des allures de «solidarité», cela reviendrait à imposer à des Etats que l'on aide des politiques d'austérité inhumaines. D'après ce texte, estime Jean-Luc Mélenchon, «quand on prête à quelqu'un, en échange, il accepte automatiquement un plan de rigueur». «Il accepte automatiquement que le FMI vienne chez lui, avec les représentants de la Commission, qui dirigent le pays comme c'est le cas en Grèce», poursuit-il.

Le traité parle effectivement d'une «stricte conditionnalité» (article 3) en l'échange d'un prêt, et prévoit la mise en place (article 13) d'un «protocole d'accord définissant précisément la conditionnalité dont est assortie cette facilité d'assistance financière». Une méthode classique mais contestable, copiée sur celle du Fonds monétaire international (FMI) : d'accord pour prêter de l'argent, mais à condition d'appliquer les recettes économiques que le MES va prodiguer. «Le respect des conditionnalités, c'est exactement ce qu'il se passe en Grèce», renchérit Patrick Le Hyaric.

Le texte mentionne également une «coopération très étroite» avec le FMI (huitième «considérant»), mais la participation du FMI n'est pas «automatique», comme le laisse entendre Jean-Luc Mélenchon. Si les signataires tiennent à la participation du FMI, c'est surtout pour partager les prêts, et éviter que la fameuse «solidarité» ne se limite à la seule zone euro...

«J'entends cette critique», commente Elisabeth Guigou. «Je pense d'ailleurs que ce qui est imposé à la Grèce est indécent. Mais l'on peut imaginer d'autres types de conditionnalité. On peut par exemple inciter davantage la Grèce à reconstruire son système fiscal, afin de mieux collecter les impôts. On peut faire en sorte de mieux utiliser les fonds européens qui vont à la Grèce. Il n'y a pas qu'une seule politique possible en Europe !»

Un Fonds aux ordres du couple franco-allemand?

 C'est toute la question : le MES revient-il à institutionnaliser le déploiement d'une «Troïka», sur le modèle particulièrement brutal de ce qu'il se passe en Grèce, avec les résultats que l'on connaît ? La question est explosive. Shahin Vallée, à Bruegel, n'y croit pas. «On peut tout à fait dénoncer les programmes appliqués en Grèce ou au Portugal, et la stratégie de gestion de la crise générale, en Europe, mais c'est indépendant du MES... Pour l'instant, le MES n'opère pas, il sera l'outil de gestion de la prochaine crise.»

Les partisans du MES font valoir que si ce fonds avait existé dès 2010, l'Europe aurait gagné deux ans de négociations et d'atermoiements, pour venir en aide à Athènes. Ce qui aurait permis d'éviter l'impasse actuelle. D'autres assurent qu'il s'agit là d'une première étape, pour fabriquer de la dette européenne, avant d'en arriver aux fameuses «euro-obligations».

«Le meilleur moyen pour établir une forme de solidarité permanente, efficace, et qui ne soit pas soumise à des conditions, est d’avancer vers une forme de fédéralisme budgétaire...», poursuit Shahin Vallée. «Bizarrement, ceux qui s’opposent au MES et qui veulent plus de solidarité européenne, sont également particulièrement rétifs à l’idée d’une avancée sur la voie du fédéralisme budgétaire. Il y a là comme une contradiction.»

Dernière difficulté liée au MES : la mainmise de la France et l'Allemagne sur le futur fonds. Car ce «Mécanisme», exactement comme le FMI, a besoin de capitaux. Mais surtout, plus les pays apportent de capitaux, plus ils ont voix au chapitre, et de droits de vote. L'Allemagne, qui doit apporter plus de 190 milliards d'euros, détient environ 27 % des droits de vote. La France récupère plus de 20 % des droits de vote (142 milliards d'euros). Au total, France, Allemagne, associés à un pays comme les Pays-Bas, détiendront la majorité absolue, sur des décisions qui engagent l'ensemble de la zone euro.

Le couple France-Allemagne s'apprête donc à prendre le contrôle de la structure. Vu la gestion de la crise grecque par «Merkozy», il n'est pas acquis que l'Europe en sorte grandie.


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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 14:43

 

| Par Laurent Mauduit

 

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C’est une promotion qui va faire scandale. Selon nos informations, Nicolas Sarkozy s’apprête à porter à la tête de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) l’un de ses proches, Jean-Luc Tavernier. Il a été de 2007 à 2010 directeur de cabinet d’Eric Woerth, à l’époque ministre du budget.


En pleine campagne présidentielle, la promotion à ce poste d’un ultra-sarkozyste risque d’alimenter la controverse pour une double raison : parce qu’elle contrevient aux engagements d'impartialité pris par le chef de l’Etat, mais en permanence écornés ; parce que la place de l’Insee dans la vie économique française et son statut d’indépendance devraient d’autant plus exiger que cette maison soit dirigée par un haut fonctionnaire reconnu pour son indépendance et son impartialité.


Dans l’immédiat, rien n’est encore officiel : le chef de l’Etat n’a pas encore pris le décret en conseil des ministres qui mettra fin aux fonctions du directeur général actuel de l’Insee, Jean-Philippe Cotis, et installera son successeur. Mais selon de très bonnes sources, l’affaire est définitivement tranchée, et le décret sera pris sous peu, peut-être même dès la semaine prochaine. Le sort de Jean-Philippe Cotis est ainsi scellé : il rejoindra la Cour des comptes. Et Jean-Luc Tavernier le remplacera.


Si la révélation de ce jeu de chaises musicales et la polémique qu’elle risque d’engendrer n'en dissuadent pas le chef de l’Etat, l’affaire va donc faire grand bruit, à l’Insee d’abord, mais aussi bien au-delà de cette maison.


Jean-Luc Tavernier est un proche de Nicolas Sarkozy et l’a accompagné dans toutes ses batailles. C’est donc beaucoup plus qu’un haut fonctionnaire ayant des convictions partisanes ; c’est un militant. De la mi-2005 à la mi-2006, il a fait partie d’un groupe secret d’experts baptisé le « Collège des Dix », qui se réunissait le jeudi à partir de 18 heures, au Sénat, à raison d’une réunion par mois, sous la houlette de l’ancien ministre du budget, Alain Lambert, et qui avait la charge d’élaborer le programme économique de Nicolas Sarkozy pour l’élection présidentielle de 2007.


Aux côtés du libéral patron d’Axa, Henri de Castries, de l’économiste de l’OCDE, Frédéric Gonnand, d’un haut fonctionnaire de la direction des études du ministère du travail, Antoine Magnier, du directeur adjoint du cabinet de Jean-François Copé, Philippe Heim (qui venait en cachette, pour que son patron, à l’époque en froid avec Nicolas Sarkozy, ne le sache pas), de Pierre Mariani, l’ami de Nicolas Sarkozy, ex-directeur de cabinet au budget qui a pris ultérieurement les commandes de Dexia, la banque franco-belge des collectivités locales en situation de quasi-faillite, Jean-Luc Tavernier a donc contribué à préparer certaines des réformes parmi les plus contestées que Nicolas Sarkozy a mises ensuite en œuvre au lendemain de 2007.


L'acharnement de Sarkozy contre l'institut

Jean-Luc Tavernier a été remercié de son engagement en devenant ensuite, à partir de 2007, directeur de cabinet d’Eric Woerth au ministère du budget. Et à ce poste, il a participé à d’innombrables décisions de ce ministère pour le moins contestables, dont la procédure d’arbitrage qui a fait la fortune de Bernard Tapie. Par décret du 28 janvier 2010 (il est ici), il a ensuité été nommé commissaire général adjoint à l'investissement, aux côtés de René Ricol.


On imagine donc sans peine que la promotion de Jean-Luc Tavernier risque de faire bien des vagues à l’intérieur de l’Insee. Non pas que l’Institut ait jusqu’à présent toujours été protégé de semblables turbulences. Car dans le passé, la gauche, elle aussi, a promu des hauts fonctionnaires qui lui étaient proches. Mais pour beaucoup de statisticiens, les turpitudes des uns ne justifient pas ni n’excusent celles des autres. Beaucoup d’administrateurs et d’économistes font aussi valoir que les engagements de Jean-Luc Tavernier ne peuvent être comparés avec ceux de ses prédécesseurs.


Depuis 2004, à l’époque où il était ministre des finances, et ensuite à partir de 2007, Nicolas Sarkozy n’a cessé de maltraiter l’Insee, qu'il n'aime guère, soit en prenant à son encontre des mesures vexatoires ou d’économies, soit en organisant un projet de délocalisation qui avait en fait pour but un démantèlement à peine caché et une remise au pas. Mediapart en a tenu la chronique au travers de nombreuses enquêtes, que l’on peut retrouver ici, , ou encore .


L'indignation à l'Insee va être d'autant plus forte que les économistes qui y travaillent se souviennent du rôle joué en d'autres temps par Jean-Luc Tavernier quand il était directeur de la prévision, au début des années 2000. Il avait à l'époque accepté que sa direction soit fusionnée dans les pires des conditions avec celle du Trésor. Et du même coup, la prévision était devenue un lieu d'exécution et non plus d'études et de réflexions. Ce qui, pour l'Insee, est un précédent très inquiétant compte tenu du rôle primordial qu'il joue dans la publication d'études économiques, et donc dans le débat public.


En outre, à l'Insee, on fait valoir que le directeur général sortant, Jean-Philippe Cotis, dont les sympathies balladuriennes étaient déjà connues, avait lui-même été porté à ce poste par Nicolas Sarkozy. Cela finit donc par faire beaucoup. Alors, après autant de mauvais coups, la nomination de Jean-Luc Tavernier risque d’être perçue comme le coup de grâce. Un très mauvais coup à un institut qui joue dans la vie économique française un rôle majeur et dont le crédit dépend totalement de son honnêteté et de son… indépendance !

 

 

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