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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 21:25

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=qERBJHKfgAo

 

 

 

le monde selon monsanto (complet)

swisdude18 swisdude18·

 

Mise en ligne le 9 juil. 2011

Ce film retrace l'histoire de Monsanto, une multinationale américaine, aujourd'hui leader mondial des OGM, et considérée comme l'un des plus grands pollueurs de l'ère industrielle (PCB, agent orange, hormones de croissance, roundup...). Après une enquête de trois ans, en Amérique du nord et du sud, en Europe et en Asie, il reconstitue la genèse d'un empire industriel, qui, à grand renfort de rapports mensongers, de collusion avec l'administration nord-américaine, de pressions et tentatives de corruption, est devenu l'un des premiers semenciers de la planète. En s'appuyant sur des documents et des témoignages inédits de scientifiques, victimes de ses activités toxiques, avocats, hommes politiques et de représentants de la Food and Drug Administration ou de environnemental Protection Agency des États Unis, le documentaire montre comment, derrière l'image d'une société propre et verte décrit par la propagande publicitaire, se cache un projet hégémonique menaçant la sécurité alimentaire du monde, mais aussi l'équilibre écologique de la planète. Un doc à ne manquer sous aucun prétexte.


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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 18:40

 

 

Le Monde.fr | 26.03.2013 à 13h58 • Mis à jour le 26.03.2013 à 16h17 Propos recueillis par Pascale Krémer

 

 

 

Selon l'Association des victimes d'embolie pulmonaire, créée par des parents de victimes de la pilule de 3e génération, le chiffre de 20 morts prématurées en moyenne par an communiqué par l'ANSM est très sous-estimé.
 

 

 

Selon une étude publiée par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), les pilules contraceptives, toutes générations confondues, provoquent chaque année "en moyenne" 2 529 accidents thromboemboliques veineux et "vingt décès prématurés" de femmes, dont quatorze attribuables aux pilules de 3e et 4e générations.

Lire : La pilule provoque 2 500 accidents et vingt décès par an en France

L'Association des victimes d'embolie pulmonaire (AVEP), créée en 2008 par des parents de victimes de la pilule de 3e génération, lutte pour une meilleure information sur les dangers des contraceptifs oraux les plus récents.

Elizabeth Walton, la mère de Marion Larat (victime d'un AVC) qui a déposé la première plainte au pénal en France contre la pilule, en décembre 2012, et Pierre Markarian, le père de Theodora Markarian (décédée en 2007 à l'âge de 17 ans) réagissent à l'étude de l'ANSM.

 

Que pensez-vous de ces chiffres de 2 500 accidents et 20 décès annuels liés à la pilule ?

  Nous trouvons ce chiffre extrêmement faible. L'ANSM est très loin du compte. Selon nous, il faudrait rajouter un zéro au chiffre des décès ! La réalité est sans doute plus proche de 200 décès par an. Rien que sur le site de l'AVEP, qui n'est pas une association connue, nous avons recensé 35 décès, dont les deux tiers datent de ces trois dernières années. Rien qu'à Bordeaux, nous avons dans notre entourage proche eu connaissance de trois décès.

Le cabinet d'avocats de Me Coubris, qui a déposé les premières plaintes en France, a été contacté par 800 femmes victimes ou familles de victimes qui souhaitent déposer plainte.

 

Pourquoi y aurait-il une sous-estimation du nombre de décès selon vous ?

D'abord, cette étude ne concerne que les accidents thromboemboliques veineux, et pas artériels, dont le recensement devrait venir dans un second temps. Nous l'attendons avec impatience. Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ne sont donc pas pris en compte.

Nous savons par ailleurs que la pharmacovigilance ne fonctionne pas dans ce domaine. Sur les 35 décès que nous avons recensés à l'AVEP, seuls trois sont "remontés" aux autorités sanitaires. En moyenne, nous avons calculé que 7 % des cas seulement remontaient en pharmacovigilance. Au-delà des 35 décès qui nous ont été signalés, nous avons connaissance de bien d'autres qui ne sont pas déclarés comme imputables à la pilule par des familles (notamment de médecins) qui ne souhaitent pas témoigner, préférant l'oubli pour tenter de faire le deuil de leur enfant...

Il y a aussi tous les cas de décès au domicile, où le médecin légiste ne se posera pas la question de la contraception une fois établie la mort par AVC ou embolie. Il y a toutes les fois, aussi, où l'hôpital ne fait pas le lien entre l'accident et la pilule. Et tous les médecins qui ne font pas la démarche de déclarer l'accident en pharmacovigilance.

L'étude de l'ANSM est faite à partir des dossiers de malades. Mais ces dossiers sont-ils bien renseignés ? Il arrive qu'une jeune fille passe quinze jours à l'hôpital pour une embolie sans que personne ne lui demande si elle est sous pilule.

 

Vous venez de mener une étude sur 500 témoignages recueillis par l'AVEP...

Nous confirmons la proportion de trois quarts d'accidents dus à des pilules de 3e et 4e générations (ainsi que l'anti-acnéïque Diane 35 utilisé comme contraceptif), contre un quart imputables à celles de 2e génération. Nous constatons que les décès sont essentiellement dus à des embolies pulmonaires, mais que les AVC laissent énormément de séquelles.

Les victimes que nous recensons ne sont pas forcément des jeunes filles. La moitié des accidents surviennent dans les deux premières années, mais une autre moitié a lieu au-delà. Et dans une moitié des cas, il ne s'agit pas d'une première prescription de pilule.

Enfin, la prescription des pilules de 3e et 4e générations s'est faite, dans un cas sur deux, sans aucune question préalable du médecin (un gynécologue le plus souvent) sur les antécédents familiaux de thrombose. Le seul facteur de risque évalué demeure la cigarette.

Pascale Krémer

Selon l''Agence du médicament, les ventes de pilules ont chuté d'un tiers en février

 

Selon l'ANSM, en février 2013, les ventes de pilules de 3e et 4e génération ont chuté de 34 % par rapport à février 2012. Dans le même temps, les ventes de pilules de 1re et 2e génération ont augmenté de 27 %. L'agence du médicament y voit confirmation que " les médecins ont modifié leurs prescriptions dans le sens des recommandations adressées fin décembre ".

En février 2013, les contraceptifs oraux les plus récents, qui font courir des risques thromboemboliques deux fois plus élevés que les précédents, ne représentent plus que 32 % des ventes de pilules, contre 47 % un an auparavant. L'anti-acnéïque Diane 35, dont l'usage a été détourné à des fins contraceptives, a vu ses ventes s'effondrer de 62 % durant le même mois.

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 19:01

 

 

60millions-mag.com

 

Environnement - 25 mars 2013

  Qualité de l’eau potable : difficile d’échapper aux polluants

 

 

Traces d’herbicides, de fongicides et même de médicaments : nos analyses, réalisées grâce à des outils très pointus, ont mis en évidence des polluants dans l’eau du robinet, mais aussi – chose qui semblait impensable – dans certaines eaux en bouteille…

L’eau que nous buvons aujourd’hui, au robinet ou en bouteille, est de bonne qualité. Mais si nous ne faisons rien, cela risque de ne pas durer. C’est l’enseignement du dossier que 60 Millions de consommateurs publie, en partenariat avec la fondation Danielle-Mitterrand France Libertés.

Grâce à des outils permettant de traquer les molécules à un niveau de très grande finesse, nous avons recherché 85 polluants d’origine humaine : pesticides, médicaments, ou encore perturbateurs endocriniens (*).

Environnement contaminé

Parmi les polluants les plus fréquemment retrouvés figure l’atrazine. Pourtant interdit depuis 2001, ce désherbant soluble dans l’eau est très persistant dans l’environnement. Côté résidus de médicaments, c’est une spécialité anticancer que nous avons le plus souvent retrouvée.

Dans tous les cas, il ne s’agit que de traces qui ne remettent pas en cause la potabilité de l’eau. Mais elles révèlent à quel point notre environnement peut être contaminé.

Concernant l’eau du robinet, huit prélèvements sur les dix que nous avons effectués contiennent au moins un des polluants recherchés. Plus troublant encore : l’eau en bouteille n’est pas épargnée par la pollution. Sur 47 échantillons analysés, 10 présentent des traces de pesticides ou de médicaments.

Ainsi, 10 % des échantillons d’eau en bouteille analysés contiennent des traces de tamoxifène, une hormone de synthèse utilisée dans le traitement du cancer du sein.

Agir avant qu’il ne soit trop tard

Ces résultats sont contestés par les embouteilleurs. Notre laboratoire a donc renouvelé ses analyses et complété les méthodes utilisées. Même s’il demeure impossible, à ce niveau d’analyse, d’écarter totalement l’éventualité d’une contamination extérieure, les secondes analyses ont confirmé les premiers résultats.

Comment des résidus de pesticides ou de médicaments peuvent-ils se retrouver dans des eaux aussi protégées que les eaux minérales ? Cette question, il vaut mieux la poser maintenant avant qu’il ne soit trop tard… C’est une des raisons pour lesquelles 60 Millions et France Libertés demandent, dans un manifeste pour l’eau potable, la tenue d’assises de l’eau, réunissant tous les acteurs concernés.

 
Thomas Laurenceau

 

         

La transparence avance à petits pas

Depuis deux ans, 60 Millions de consommateurs et la fondation Danielle-Mitterrand France Libertés se sont associés pour mener l'« Opération transparence » sur le dossier de l’eau potable en France. Cette opération nous a déjà conduits à décortiquer le prix de l’eau du robinet et à publier la carte inédite des communes bénéficiant de dérogations pour distribuer une eau non conforme.

         

 

(*) Voici la liste des 85 molécules que nous avons recherchées.

Phtalates : Diméthylphtalate (DMP), Di octylphtalate (DOP), Di 2-éthylhexylphtalate (DEHP),  Butylbenzylphtalate (BBP), Di butylphtalate (DBP), Di isobutylphtalate (DIBP), Diéthylphtalate (DEP).

Médicaments : Tamoxifene, Diclofenac, Tramadol, Ceftriaxone, Ciprofloxacin, Clarithromycin, Ofloxacine, Piperacillin, Pristinamycin IIA, Sulfamethoxazole, Trimethoprime, Sertraline, Prednisolone, Ketoprofen, Buflomedil, Cyamemazine, Furosemide, Bezafibrate, Atenolol, Losartan, Naftidrofuryl, Pravastatin, Carbamazepine, Oxazepam, Fluoxetine, Diosmin, Propanolol, Epoxycarbamazepine, Erythromycine, Fenofibric acid.

Perturbateurs endocriniens (dont hormones utilisées dans un cadre médical) : Bisphenol A, Prednisone, Biochanine_A, Coumestrol, Daidzeine, Formononetine, Ethylhexyl diphenyl phosphate, Tributyl_phosphate, Triphenyl_phosphate, Tripropyl_phosphate, Tris(2-butoxyethyl)phosphate, Tris(2-chloroethyl)phosphate, Tris(2-chloroisopropyl)phosphate, Tris(2-ethylhexyl)_phosphate, Tris(dibromopropyl)phosphate, Progesterone, Testosterone, Levonorgestrel, Norethindrone.

Pesticides : 2,4-D, 2,4-MCPA, Ametryne, Atrazine, Bentazone, Carbofuran, Chlortoluron, Cyanazine, Desethyl-terbuthylazine, Diflufenicanil, Dinoseb, Diuron, Hydroxyatrazine, Imidacloprid, Isoproturon, Linuron, MCPP, Metazachlore, Methabenzthiazuron, Metobromuron, Metolachlore, Metoxuron, Monolinuron, Oxadixyl, Piperonyl_butoxide, Prometon, Propazine, Sebuthylazine, Sebuthylazine-desethyl, Secbumeton, Simazine, Tebutame, Terbuthylazine, Terbutryne.

 

 

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 18:51

 

"La forte demande d'eau en bouteille peut entraîner sa contamination"

 

Le Monde.fr | 25.03.2013 à 17h55 • Mis à jour le 25.03.2013 à 18h41 Propos recueillis par Audrey Garric


 

L'enquête de "60 Millions de consommateurs" et de la fondation France Libertés "ne met absolument pas en cause l'honnêteté des embouteilleurs", mais interroge la contamination de l'environnement par les pratiques humaines.

 

ENTRETIEN. L'annonce est aussi surprenante qu'inquiétante : une bouteille d'eau sur cinq présente des traces de pesticides et de médicaments, dont un produit prescrit pour traiter le cancer du sein. C'est ce qu'a révélé, lundi 25 mars, une enquête de la revue 60 Millions de consommateurs et de la fondation France Libertés.

 

Lire : Des traces de pesticides et de médicaments dans des bouteilles d'eau


Comment cette pollution d'eau souterraine, supposée à l'abri de toute contamination, est-elle possible ? Jean Carré, hydrogéologue et directeur adjoint du département santé, environnement et travail de l'Ecole des hautes études en santé publique, estime qu'une souillure est notamment possible lorsque les forages d'eau sont exploités au maximum, "ce qui peut créer une dépression et donc un transfert de polluants d'un réservoir à l'autre".

 

L'eau en bouteille est-elle moins susceptible d'être contaminée que l'eau du robinet ?

Jean Carré : Toutes les eaux que nous buvons ont la même origine : l'eau de pluie. Seuls diffèrent le circuit et la profondeur des nappes. L'eau du robinet vient à la fois de nappes souterraines et d'eaux de surface. A Paris, par exemple, l'origine est mixte, tandis qu'en région parisienne, il s'agit essentiellement d'eau de surface. Ces eaux sont donc exposées aux rejets de certains micropolluants par l'agriculture, les industries ou les stations d'épuration.

Parmi les eaux en bouteille, strictement réglementées en Europe, les eaux dites de source sont des eaux naturellement propres à la consommation humaine. Les seuls traitements qu'il est permis de leur appliquer, afin d'éliminer des éléments instables comme le gaz ou le fer, sont l'aération, la décantation et la filtration. Les eaux minérales naturelles, quant à elles, sont des eaux de source possédant des propriétés particulières : elles ont des teneurs en minéraux et en oligo-éléments susceptibles de leur conférer des vertus thérapeutiques, et leur composition est stable dans le temps. Elles sont exclusivement souterraines et circulent dans des systèmes de roche complexes, à des profondeurs allant de plusieurs centaines de mètres à plus d'un kilomètre. 

Ces eaux sont captives – c'est-à-dire protégées entre deux couches de terrain imperméable –, mais sur une partie de leur trajet seulement. Ensuite, elles reviennent à la surface et peuvent se mélanger à des eaux superficielles. Ces eaux doivent donc être prélevées à une certaine profondeur (entre quelques dizaines et quelques centaines de mètres) et selon des techniques de captage particulières, qui prévoient notamment que leur pression soit supérieure à celle des eaux de surface.

 

De quelle façon les eaux en bouteille peuvent-elles être polluées ?

Elles peuvent être contaminées au moment du mélange avec les eaux superficielles, en raison de nappes mal protégées – en cas d'infiltrations dans certains terrains – mais aussi à cause du mode d'exploitation.

En raison de la forte demande d'eau en bouteille, les forages sont en effet exploités au maximum. On pompe de l'eau plus loin que par le passé, ce qui peut créer une dépression et donc un transfert de polluants d'un réservoir à l'autre. Tout dépend donc de la quantité d'eau pompée et de la profondeur à laquelle se situent les forages.

 

Etes-vous surpris par le chiffre d'une bouteille sur cinq polluée par des résidus de pesticides et de médicaments ?

Il n'est pas surprenant de trouver des traces de pesticides dans les eaux minérales naturelles, dans la mesure où les sources se trouvent souvent dans des régions agricoles. Surtout, la circulation de l'eau se fait à une lenteur telle dans les roches que l'on peut y retrouver des produits interdits depuis douze ans, tels que de l'atrazine, résidu d'un pesticide.

Les traces de médicaments retrouvées dans des eaux souterraines sont, elles, bien plus surprenantes. Ce qui est étonnant, c'est que les huit marques d'eau en bouteille épinglées par l'étude de 60 Millions de consommateurs diffèrent grandement en ce qui concerne leurs milieux, environnements et terrains géologiques.

La Mont-Roucous est ainsi puisée dans des granits du centre de la France et la Salvetat dans les calcaires de la montagne Noire, dans des zones isolées, tandis que la Saint-Amand vient d'une vaste nappe qui traverse plusieurs départements, et la Saint-Yorre provient des formations sédimentaires profondes de l'Allier. Comment un même produit, le tamoxifène [une hormone de synthèse utilisée dans le traitement du cancer du sein], peut-il se retrouver dans les eaux de territoires aussi variés ? Ces résultats doivent toutefois être analysés avec précaution : les résidus observés le sont à des niveaux extrêmement bas, avec une marge d'incertitude forte.

 

Les normes et contrôles des autorités sanitaires sont-ils suffisants pour détecter la présence de ces micropolluants dans l'eau ?

L'eau est l'un des produits les plus contrôlés en ce qui concerne les pesticides. On en mange ainsi bien plus qu'on n'en boit. Par contre, il n'existe pas de norme en matière de résidus de médicaments. Mais leur valeur s'avère être inférieure à celles des pesticides, entre cent et mille fois moins.

Audrey Garric

 

 

 

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 19:17

 

 

Le HuffPost  |  Publication: 19/03/2013 07:51 CET  |  Mis à jour: 19/03/2013 15:02 CET

 


 

Viande De Cheval

SPANGHERO - Selon une information de RTL, cinquante-sept tonnes de mouton britannique, dont l'importation est théoriquement interdite en France ont été découvertes dans les entrepôts de l'entreprise Spanghero à Castelnaudary. Pour l'instant, impossible de savoir si la viande a été commercialisée.

Le parquet de Carcassonne aurait été destinataire "d'un signalement de la Brigade nationale d'enquêtes vétérinaires affirmant avoir découvert dans les entrepôts de Spanghero deux lots de viande" selon le journaliste Julien Dumond qui révèle cette information. Cette viande était découpée selon la méthode de la viande séparée mécaniquement, qui consiste à racler l'os pour en obtenir de la viande mais aussi des nerfs et du muscle. Cette technique est interdite sur les ovins, bovins et caprins en Europe en raison du risque de présence de prion aussi appelée maladie de la vache folle et tremblante du mouton.

Selon le ministère de l'Agriculture, le mouton prohibé a transité par Draap Trading, société appartenant au trader néerlandais Jan Fasen, déjà incriminé dans le scandale de la viande de cheval. La viande de mouton aurait été facturée "agneau haché" et étiquetée "viande dénervée d'agneau", sans mentionner la technique de coupe interdite dans l'UE.

Contacté par RTL, Barthélémy Aguerre, le patron de Spanghero, a confirmé cette découverte à la station, estimant qu'il s'agissait "d'une négligence, rien de grave, qu'en tout état de cause Spanghero n'y était pour rien, une nouvelle fois trompé par son fournisseur".

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 16:43

 

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ujMeB7irXcs

 

 

 

Publiée le 26 juin 2012

L'abondance énergétique croissante a radicalement modifié notre mode de vie depuis le début de la révolution industrielle. Cette évolution, essentiellement basée sur le déploiement des énergies fossiles, se heurte désormais à deux limites croissantes : celle de la disponibilité des ressources fossiles, et celle du changement climatique.
Cette évolution, pour laquelle le temps joue hélas contre nous, pose de redoutables problèmes économiques, sociaux, institutionnels, géopolitiques. Quels changements de paradigme vont avec la réponse à ce défi ?

http://savoirsenmultimedia.ens.fr/exp...

page facebook : https://www.facebook.com/jeanmarc.jan...

 

 

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 18:03

 

Rue89 - Big Brother 13/03/2013 à 22h17

 

 

La police pourra-t-elle bientôt, avec l’accord d’un juge, écouter (et regarder) les conversations téléphoniques sur Skype ? C’est une des conséquences envisageables si le service Skype, propriété de Microsoft, se déclare comme opérateur téléphonique.

L’Arcep a saisi le Procureur de la République de Paris mardi matin pour y contraindre le service de téléphonie en ligne, qui compte plusieurs centaines de millions d’utilisateurs dans le monde.

D’autres pressions sur Skype

Depuis plusieurs mois, la Fédération française des télécoms exerce un lobbying intensif en faveur d’une nouvelle fiscalité des acteurs d’Internet et notamment sur les services dits « Over the top », dont Skype est un bon exemple.

Plusieurs fois par le passé, l’autorité des télécoms a formulé cette demande sans pour autant recevoir une réponse favorable de la part de Skype, qui considère ne pas rentrer dans les critères fixés par la loi française.

Le service permet de passer des appels téléphoniques mais également « visiophoniques », en utilisant les infrastructures des télécoms français, sans pour autant leur reverser une contrepartie ou participer au fonds de service universel (financement d’une partie des abonnements du RSA, contreparties pour France Télécom...) que les opérateurs alimentent.

Internet, le nouvel éden des grandes oreilles

Si Skype devenait opérateur, il serait soumis à la législation qui s’applique aux grands du secteur (Orange, Free, etc...) :

  • il serait taxé d’avantage (pas de quoi redresser le déficit public, on vous rassure) ;
  • il serait assujetti aux contraintes des télécoms, et devrait notamment collaborer au système des écoutes téléphoniques, qu’elles soient judiciaires ou administratives (organisées par les services de renseignement, sous la responsabilité du Premier ministre). Un paragraphe du communiqué de l’Arcep l’indique :

    « Le fait de fournir un service téléphonique au public implique également le respect de certaines obligations, parmi lesquelles figurent notamment l’acheminement des appels d’urgence et la mise en œuvre des moyens nécessaires à la réalisation des interceptions judiciaires. »

Les raisons des mises sur écoutes sont diverses. Elles peuvent être demandées à la justice par les forces de police. Elles peuvent également être décidées par le gouvernement dans le cadre d’une enquête sur des activités terroristes par exemple, mais une Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) s’assure alors de la légalité des autorisations d’interception.

Le triple play facilite la vie de ceux qui nous écoutent

Internet est un environnement qui augmente considérablement les moyens des services de renseignement. La CNCIS avait certes observé une décroissance des demandes visant Internet (-4,97%) dans son rapport de 2010, mais avait apporté une précision qui ôte toute valeur à ce chiffre :

« Ces évolutions sont à rapprocher du succès croissant des offres commerciales “Triple Play” et bientôt “Quadruple Play” grâce auxquelles les particuliers ont désormais accès sous un même numéro d’abonnement à la téléphonie fixe, à Internet et à de la téléphonie mobile ainsi qu’à la télévision numérique. »

Comprenez que si l’offre triple play vous facilite la vie, c’est également le cas pour ceux qui nous écoutent. Avec « un même numéro d’abonnement », plus besoin de formuler une demande pour chaque service.

Comme la CNCIS l’a écrit dans son dernier rapport d’activité (p 50), une interception de sécurité vise une « cible » et non pas une ou plusieurs « lignes » téléphoniques. Les écoutes visent bien les communications, et non pas des contenus dépourvus de conversations.

Des nouvelles fadettes à exploiter

Pourtant, s’il est plus facile de surveiller quelqu’un grâce au regroupement des services, il restait impossible de consulter l’équivalent des factures détaillées des opérateurs téléphoniques. Elle comprennent la liste des appels entrants et sortants, les durées des conversations, la géolocalisation des terminaux, etc... S’il devient opérateur téléphonique, les règles du jeu changeront.

Le service sera contraint de collaborer avec la justice, et sera également soumis au principe pas toujours très clair de « sécurité nationale ». Selon la CNCIS, en 2010, 26% du total des interceptions administratives étaient réalisées sous couvert de ce principe, souvent présenté comme un outil de la lutte contre le terrorisme.

En 2010, moins normal, la révélation par le Canard enchaîné de différents documents classifiés avait mis en évidence la possibilité pour les ministères de l’Intérieur, de la Défense ainsi que les services de police d’accéder aux données techniques des abonnées et leurs factures détaillées (listes les appels entrants en sortants, leurs durées, géolocalisations, etc...), sans autorisation de la part des opérateurs.

L’affaire des fadettes du Monde, au cours de laquelle le renseignement intérieur s’était procuré sans mal les factures détaillées du journaliste Gérard Davet pour identifier l’une de ses sources est un exemple dans le genre.

 

 

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 02:00

 

 

 

 

 

Du poison dans l'eau du robinet - France 3 - emission du vendredi 2 mars 2012 à 23h15

Publiée le 6 mars 2012

http://BioWaterFrance.com
Savez-Vous ce que vous buvez depuis votre robinet ?

DU POISON

Du poison dans l'eau du robinet du 02 mars 2012 à 23h15 FR3 :
http://www.youtube.com/watch?v=Isvm1F...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 01:32

 

Agoravox - par le libère-terre (son site) jeudi 16 février 2012

 

 L’aluminium : ce poison légal qui met en danger la santé humaine

 

Aluminium, un poison répandu dans l'alimentation... mais pas seulement. Dans les médicament aussi, les cosmétiques, et plus grave : les vaccins. J'ai décidé de porter ici mon propre témoignage ainsi qu'une mise en lumière plus générale sur ce poison qu'est l'aluminium. Beaucoup ont écrit dessus, peu l'on vécu. je souhaite que cet éclairage fasse venir une prise de conscience.

 

A l’occasion de l'émission sur France 5 le 14/2 enquête de Santé, je décide ici de briser le tabou que France 5 n'a pas voulu écorner pour des raisons évidentes (protéger le discours de la vaccination), quand cela avait été fait plus tôt sur France 3 le 22/01 « Aluminium notre poison quotidien »
 
L’aluminium, ce poison légal, est présent partout dans notre alimentation moderne, et parfois en quantités significatives. Ce qui est le cas de certaines crèmes cosmétiques, les vaccins (adjuvant d’activation), certains dentifrices, déodorants (anti transpirants), des conserves telles que du lait pour bébé, ou encore l’eau du robinet (adjuvant de floculation).
 
On peut en citer d’autres, la liste n’étant pas exhaustive bien entendue, tel que pourrait vous le dire le docteur souvet (du même reportage).
 
 
Papier alu mis en contact avec des substances acides, pains et viennoiseries (dans la conservation du levain) et biscuits, après champoings, fars, vernis…. Et autres cosmétiques de type teinture notamment, crèmes (anti agglomérant) comme dans les crème solaires…
 
L’aluminium se cache dans de très nombreux produits, ses effets sont considérables, et plutôt du genre irréversible. Comme de nombreux métaux lourds il est toxique (sauf les oligo-éléments et autres non métabolisés car non réactifs), il constitue un poison qui, grâce aux lobbies industriels, n’est pas pris en compte en France comme étant potentiellement dangereux alors que les effets délétères sont connus et avérés.
 
L’aluminium est considéré par certains comme neurotoxique pour l’homme. Issu de la bauxite importée d’Afrique, il le devient notamment sous l’hydrate d’alumine, forme la plus courante utilisée dans la chimie.
 
Utilisé dans certains aliments, cosmétiques, médicaments, tous les vaccins quasiment, l’eau du robinet souvent, c’est un scandale sanitaire.
 
 
En Grande Bretagne, il avait été mesuré des quantités dans le lait infantile de 0.4 à 0.63 mg/litre soit trois fois plus de que ce qui est utilisé pour l’eau du robinet (0.2 mg/l). C’est ce qui a mis le feu aux poudres (de lait) pour ainsi dire…
 
Pour des raisons de coût, ce produit reste dans les processus industriels.
 
Si l’aluminium a fait polémique en grande Bretagne (et exit la France au passage), c’est parce que avant 6 mois la barrière encéphalique n’est pas formée, faisant pénétrer dans le cerveau des enfants de grandes quantités de ce produit, ce qui, étant donné que l’aluminium reste dans les tissus, va causer des maladies neurologiques graves à l’âge adulte, une fois la dose limite* dépassée ainsi plus rapidement.
 
(*Il existe néanmoins une norme européenne conseillée* de l’EFSA : 1 mg/kg et par semaine : ce qui est déjà en fait beaucoup…)
 
(*Ce qui veut dire que les industriels en font strictement ce qu’ils en veulent, ce qu’ils ne se privent pas de faire).
 
L’aluminium est utilisé comme additif en agent levant, de blanchiment, le sulfate d’alumine est utilisé comme agent de transformation de réaction pour des substances comme les amidons modifiés, c’est aussi un conservateur générique (charcuterie, plats préparés), un antiagglomérant (présent même dans le sel de table), un colorant alimentaire, un pénétrant pour les crèmes, un durcissant pour le vernis à ongle, un agent anti-transpirant dans les déodorants…
 
Parfois les publicitaires mentent carrément, enlevant l’aluminium sous forme chlorhydrate et s’en ventant avec grand renfort de pub… pour le remettre discrètement sous une autre forme chimique mais ça reste de l'aluminium.
 
Il est présent pour une dizaine d’additifs alimentaires, dont le E541 (boulangerie), le E173 (colorant), le E520 (épaississant), le E1452 (émulsifiant), le E559...
 
Bien que l’approche en dose limite utilisée par la réglementation est soit de fait une arnaque (déjà personne n’est sensible à la même dose pour commencer…), il est impossible en définitive de calculer le cumul absorbé par une même personne dans une même journée. Sauf à dire que, nous explosons forcément ce maximum quotidiennement à cause des produits multiples utilisés.
 
Car dans la pratique, les fabricants en usent énormément. Il n’y a bien que le bio pour ne pas utiliser l’aluminium.
 
Pour la vaccination, pratiquement tous les vaccins sont à l’aluminium, et en particulier les vaccins conçus sur le sol Français. En cause principalement en effet "secondaire", la MFM. C’est une maladie auto-immune grave neuromusculaire !!!.
 
Car il a été démontré que, dans le muscle, en particulier à l’endroit de la vaccination, puis ailleurs aussi, l’aluminium des vaccins persistait dans les tissus très longtemps (des années) chez les personnes qui déclarent une MFM, leur donnant des douleurs musculaires et des fatigues chroniques. Il a été mise en évidence en particulier une relation avec l’adjuvant aluminium et non pas uniquement une relation avec un vaccin donné.
 
Une étude du docteur Romain Gherardi met en cause chez la souris les vaccins à l’aluminium, avec une neurotoxicité dans le cerveau évidente.
 
De nombreux autres articles sont parus à ce jour sur le sujet dans le monde...
 
Après le vaccin, les anti-transpirants chargent considérablement le corps avec l’aluminium. Les sels d’aluminiums seraient aussi été impliqués dans le cancer du sein avec des cosmétiques appliqués localement.
 
Les vaccins peuvent être fabriqués en utilisant le phosphate de calcium avec le même bénéfice que l’hydroxyle d’aluminium, mais avec une garantie d’innocuité car le calcium est, lui, métabolisé normalement par l’organisme.. dans les os !
 
Ce composé alternatif a été supprimé des vaccins sans autre justificatif que le profit industriel. Lorsque Pasteur a fusionné avec Mérieux, il a abandonné la fabrication des anciens vaccins à base de calcium, pour privilégier une unique chaine de fabrication préconisée par l’Institut, chaîne répandue à l’époque, et donc conservée depuis.
 
En témoignait ainsi Marc Girard, directeur scientifique pasteur de 84 à 88, dans le reportage de France 3.
 
Sanofis-pasteur a même été jusqu’à affirmer que son laboratoire n’a jamais fait de vaccin à base d’adjuvant au calcium, pour ensuite revenir sur cette déclaration (il en existait bien un en 2008, supprimé depuis).
 
En règle générale, il semble que les laboratoires Sanofis-pasteur-merieux (ce consortium en fait) ne fabrique à ce jour plus aucun vaccin autre qu’avec de l’aluminium.
 
On savait pourtant alors que l’aluminium favorisait la production d’IGE (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/707792) , impliquée dans les réactions allergiques, et plus généralement dans les problèmes immunitaires comme pour la MFM.
 
À ce sujet, on ne parle que de cette maladie liée à l’immunité, alors que d’autres maladies immunitaires sont en cause.
 
Pour terminer, j’en parle de source sûre, et j’enlève le conditionnel, puisque votre serviteur est personnellement concerné. Je donne ici relativement courageusement mon propre témoignage, en preuve et à charge (et c'est là que l'anonymat tant contesté par le pouvoir sert !).
 
Depuis une dizaine années, à chaque fois que je fais la vaccination pour la grippe, environ exactement 7 à 15 jours plus tard, après que les réactions immunitaires du vaccin sont effectives, je contracte une éruption allergique cutanée systématique et de plus en plus forte d’année en année. Cette éruption met plusieurs mois à se dissiper incomplètement.
 
D’abord discrète et quasi invisible, elle est devenue handicapante depuis ces trois dernières années. Bien que reconnu génétiquement comme étant dans la communauté des allergiques, je mets à ce jour en cause le vaccin.
 
En effet, si le corps médical attribue ma réaction à une Dermatite Atopique érythémateuse, je l’ai bien développée à la suite des injections du vaccin de la grippe. La maladie ne se déclare essentiellement qu’après la vaccination et s’estompe de plus en plus difficilement après.
 
Plus grave encore, je fais d'autres poussées éruptives inexplicables alors qu'avant j'en faisait pas. Mais elles sont sans commune mesure avec celle qui suit la vaccination.
 
Devant la fulgurance de la dernière réaction de 2011 (j'aurais pu croire avoir eu de nouveau contracté la variole, or c'est impossible  !), J’ai donc décidé d’arrêter le vaccin… (malgré les risques de grippe) et ce, malgré également le discours médical, que bien entendu je ne crois plus, d’autant plus que la D.A. est une maladie héréditaire qui ne se déclare normalement* que pendant l’enfance… Ce qui n’est mystérieusement (d’après le corps médical) pas mon cas : cherchez l’erreur !.
 
(*en fait,  je connais avec certitude au moins une cause pour laquelle l’adulte la déclare !).
 
Pour moi, il n’y a donc plus de mystère à ma maladie. J’en tire enfin les conséquences (il était temps). Bien entendu, je fais partie des pauvres malheureux qui ont une prédisposition génétique aux allergies. Mais mon cas est répertorié nulle part. Il est juste concerné par le lien entre aluminium et maladies immunologiques.
 
Par ailleurs, La médecine n'étant pas capable de me soulager, surtout au niveau des douleurs, ayant des érythèmes extrêmement et anormalement douloureux, j'ai pu avec succès avoir de bons résultats avec la phytothérapie, que j'ai dû m'auto prescrire après des recherches poussées sur Internet (au passage : parfois la phyto ça se prescrit aussi), les médecins étant "infoutus" de bien me conseiller, bien au contraire...
 
Non seulement j'ai été victime de l'aluminium, mais également j'ai dû subir l'incapacité de la médecine (voir le mépris du sachant) vis-à-vis des malades de la D.A., avec en cause aussi le manque de moyens de recherche. Abandonné, je n'ai eu mon salut qu'a la présence d'esprit de rechercher seul et vite une alternative. (et je ne suis même pas guéri, juste que j'essaye de garder les choses sous contrôle, étant comme vous quotidiennement toujours exposé. depuis je cours derrière le train de la santé, mais peut-être il aurait mieux valu ne pas le laisser filer...)
 
Depuis, je relativise fortement sur la capacité qu'a la médecine à faire son travail : il vaut mieux agir en cas de doutes et ne pas tout croire, je puis vous l'affirmer.
 
Combien d’autres cas en France vont à l’insu des Français causer des maladies auto-immunes diverses, des dégénérescences cérébrales, des cancers du sein et peut-être d’autres maladies, parce que l’usage de l’aluminium (et d’autres produits) n’est (ne sont) pas règlementé(s), voire interdit(s), comme il le devrait(aient) ?.
 
De plus en plus de Français sont ou deviennent des allergiques à divers degrés, et certains ne le savent même pas, et surtout ne savent pas qu'ils vont devenir malade. Si moi suis concerné, je fais le pari que la sensibilisation à l’aluminium est bien plus rependue et plus potentielle qu'on voudrait bien nous le faire croire... Mais à des degrés divers.
 
Il faut comprendre que la maladie se déclare n'importe quand. Il n'y a pas de règles : pourquoi telle année alors qu'avant tout se passait bien ? mystère... Des enfants verront la réaction dès les premiers vaccins, mais cela n'est pas obligatoire, voici ce que je peux vous en dire...
 
Car si l’Aluminium est mise en cause directement par les personnes ayants des prédispositions immunologiques héréditaires, la population entière reste concernée, au même titre que pour l’amiante, le mercure, le plomb… pour ne citer que dans les métaux déjà connus et reconnus.
 
Pire encore que le "quand," le "n'importe qui" est aussi probable...
 
Pour faire comprendre l'étendue du problème, il faut savoir que les déficiences de type génétiques ne sont pas uniquement du ressort de la génétique seule mais aussi de l'épigénétique, ce qui fait qu'un individu peut déclarer de son vivant une maladie que normalement il ne devrait pas contracter d'après les seules loies génétiques. Et qui plus est, à n'importe quel moment. J'ai le droit de le dire, je l'ai vécu, ayant combiné en fait les deux problèmes. Ayant fait des recherches sur le sujet, j'affirme aussi que l'épigénétique suffit à elle seule à expliquer certains cas.
 
Ce point de vue est largement mis entre parenthèse par la communauté scientifique (sans le nier), mais qui néanmoins mène activement des recherches dans ce sens depuis bien des années...
 
Il en ressort que la définition des malades de demain sera différente de celle supposée hier... Oui la médecine a beaucoup à apprendre.... de ses patients, quand elle veut bien les écouter, chose qui n'est visiblement pas si évidente que cela...
 
L’AFFSAPS, à ce jour, refuse de mettre en cause l’utilisation de l’aluminium dans les vaccins. Les parents qui refusent l’administration d’un vaccin à leur enfant se retrouvent dans l’illégalité, même si le lien est démontré par affiliation génétique (parent malade et reconnu comme tel avec relation avec les vaccins) démontrant ainsi que les enfants courent notoirement un risque.
 
L’EFSA, à ce jour, n’impose pas aux industriels de limite à l’utilisation de l’aluminium. Songez simplement aux containers que vous manipulez tous les jours contenant des denrées alimentaires ou en contact avec, mais aussi des médicaments divers… Et puis il y a les additifs criminels, bien entendu.
 
À ce jour, le plein permis de nous empoisonner la vie est délivré. Y compris sur ordonnance. Et s’il n’y avait que l’aluminium encore, mais ce n’est qu’un petit exemple des méfaits de l’industrie capitaliste
 
Un petit post-scriptum toutefois.
 
Il n'est malheureusement pas question d'arrêter les vaccinations en général, mais il faut ouvrir l’œil. Mon conseil : en cas de défaillance immunitaire ou neurologique quelconque constatée après le vaccin ou connue héréditairement, il sera bon d'arrêter promptement la vaccination. Sachez que le serpent ne prévient pas plusieurs fois. A la moindre alerte : arrêtez. Sinon il y aura des séquelles importantes assurées.
 
J'estime avoir "gagné" le droit de l'affirmer ici, sans que nul ne me le conteste.
 
Et pour les autres : il faudrait une mobilisation générale pour qu'enfin les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités. Tout le monde est potentiellement exposé en fait. Un jour ou l'autre. Pourquoi attendre ? Ah oui, je sais, c'est l'histoire une certaine autruche mythique qui visite le fond d'un bac à sable...


                                                                        **************************************
 
                                                                                                                                                                                                                        http://www.youtube.com/watch?v=t00IQlVOwpM
Du poison dans l'eau : l'aluminium (1) - Sophie Le Gall - France 3 - mai 2010


Du poison dans l'eau : l'aluminium (2) - Sophie Le Gall - France 3 - mai 2010

 


 

Du poison dans l'eau : les fermiers - Sophie Le Gall - France 3 - mai 2010


 


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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 01:27

 

 

Agoravox - par Herve.C (son site) mardi 12 mars 2013


 

Eau du robinet : l’abus de dérogations nuit-il à la santé ?

En janvier dernier, les associations 60 millions de consommateurs et France Liberté ont révélé la carte des communes dont l’eau ne respecte pas les critères réglementaires, mais qui continuent à distribuer cette eau comme si de rien n’était. Nous nous sommes plongés dans cette liste qui révèle le profond malaise de la gestion de la ressource en eau en France. Inquiétant pour la santé et l’écosystème. 

JPEG - 266.6 ko
Carte des dérogations sur les normes de qualité de l’eau
Voir la carte agrandie : http://www.agoravox.fr/IMG/jpg/cart...

Ainsi, ce sont aujourd’hui 419 communes (la liste est téléchargeable ici) qui distribuent une eau du robinet dont les teneurs en nitrates, arsenic, atrazine, glyphosate et autres polluants industriels ou agricoles dépassent, parfois de très loin, les seuils autorisés.

Seine-Maritime : un cocktail au ‘Chlortoluron’

Exemple : les habitants de Fontaine-Sous-Preaux, en Seine Marîtime, boiront une eau surchargée en Chlortoluron jusqu’en février 2015 grâce à une dérogation accordée par la préfecture. Même situation jusqu’en 2015 à Rouen, dans les quartiers de Bas de Ville, de la Jatte, Ernemont, Sapins et Saint-Hilaire. Ou dans l’agglomération rouennaise du côté de Malaunay, Le Houlme ou Barentin. Le chlorotoluron est un puissant herbicide toxique pour l’homme.

Maine et Loire : un cocktail au ‘bentazone’

Selon 60 millions de consommateurs et France Liberté, ce système de dérogation a permis à la commune de Beaufort en Vallée, dans le Maine et Loire, de délivrer une eau dont la teneur en bentazone – un résidu d’herbicide – était trois fois supérieure à la dose journalière acceptable. Et cela pendant 35 jours !

Les autorités locales n’ont même pas jugé utiles de prévenir le consommateur. Ce n’est pas un cas isolé : des dizaines de communes du Calvados, de l’Orne et du Lot distribuent actuellement une eau dont la teneur en bentazone dépasse les normes habituellement autorisées.

Orne et Atrazine

Plus inquiétant encore, on constate dans une trentaine de communes des teneurs en atrazine dans l’eau distribuée qui dépassent largement les seuils autorisés. Or ce pesticide, jugé particulièrement nuisible pour la santé humaine et l’écosystème, est interdit depuis 2004 par l’Union Européenne !

Une étude publiée en 2011, révélait que les femmes ayant des traces d'atrazine ou d'un de ses métabolites dans les urines ''avaient 50% de risque supplémentaire d'avoir un enfant ayant un faible poids à la naissance et 70% de risque supplémentaire d'avoir un enfant ayant une faible circonférence crânienne à la naissance'' rappelle le site actu-environnement.

Dans l’Orne, toute la partie ouest du département est actuellement classée en zone vulnérable, notamment en raison de contaminations à l’atrazine. Or comme le rappelle un site local (Perche-avenir-environnement.com), le syndicat intercommunal a pour projet d’investir 12 millions d’euros dans une station de production pour lutter contre l’atrazine.

L’abus de dérogations

Plutôt que de contrôler les pollutions à la source, en responsabilisant ou en incitant les agriculteurs, on préfère une fois plus investir dans la dépollution, avec l’argent des contribuables. Le principe du pollué payeur, l’emporte donc sur le bon sens, qui commanderait d’investiguer l’origine de ces pollutions liées à un produit interdit depuis maintenant 10 ans…

Des dizaines de communes dans l’Isère, l’Eure et Loire, la Dordogne ou le Lot sont dans la même situation : leur eau est rendue conforme par dérogation malgré des teneurs en atrazine supérieures aux normes sanitaires actuelles.

Le TOP 5 des départements sinistrés

Dans le classement des départements les plus sinistrés par cette pratique des dérogations, la Seine-et-Marne arrive largement en tête, avec plus de trente dérogations en cours, suivie par le Val d’Oise, l’Orne, le Calvados, la Seine-Maritime et l’Essonne.

La diversité des polluants (nitrates, arsenic, fluorures, métalochlore et plusieurs dizaines d’autres molécules…) est d’autant plus préoccupante que l’interaction des pesticides démultiplierait la nocivité de ces produits par 30, si l’on en croit une très sérieuse étude britanique publiée l’année dernière !

Quel impact sur la santé ?

Dès lors, que penser, lorsque les autorités répètent régulièrement que les dépassements de seuls de produits toxiques dans notre eau du robinet, ne mettent pas en danger la population ? Or on sait avec l’exemple de l’atrazine ou d’autres pesticides, que ces produits sont soupçonnés d’être cancérigènes en cas d’exposition longue et répétée de nos organismes.

Dans ce contexte, est-il bien raisonnable d’accorder des délais de 6 ans pour rendre l’eau conforme ? Les distributeurs, qui crient toujours plus fort leur attachement à la transparence, semblent avoir trouvé avec l’abus de dérogations, un moyen simple et discret de transgresser un certains nombres de normes fixées par les autorités sanitaires.

 

 

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