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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 15:53

 

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23 novembre 2012 à 08h50

 

 

500 gendarmes contre 500 "irréductibles" du bocage. L'opération d'évacuation des squatteurs de Notre-Dame-des-Landes a été lancée ce vendredi matin, six jours après la manifestation qui a réuni près de 40.000 opposants au projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes (44). Six jours mis à contribution par les sqatteurs pour reconstruire un immense "lieu de vie", fait de constructions collectives, de "lotissements", de barricades et de tranchées... [Le dossier de la rédaction]

 

Jean-Marc Ayrault, le faux gentil de Matignon

 

16H07. A priori, l'"opération escargot" pont de Cheviré fonctionne... (images ViaMichelin)

 

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15H45. La "photo du jour" d'Euronews : un gendarme couvert de chaux

 

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15H36. Il y aurait au moins 25 manifestations anti-NDDL aujourd'hui en France (carte Google maps via @Moatthieu)
Dont cinq en Bretagne : à Nantes (16h), à Rennes (17 h 30), à Brest et Saint-Brieuc (18 h), à Châteaubriand (18 h 30).

 

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15H20. Une opération policière « juridiquement bancale » (Rue 89)
Ce matin, la police est intervenue sur la propriété privée d'un agriculteur qui n'a pas encore été exproprié. Une opération "contraire aux accords signés en mai à l’issue de la grève de la faim".

 

15H10. Pont de Pirmil bloqué, Cheviré fermé dans un sens et Saint-Nazaire ralenti (France 3)

 

14H58. Greenpeace "scandalisé"
"Greenpeace est scandalisée par les nouvelles expulsions entamées ce (vendredi) matin par la préfecture de police à Notre-Dame-des-Landes", écrit dans un communiqué l'organisation, dénonçant un "décalage entre les intentions affichées (du gouvernement) de débattre de la transition énergétique et les expulsions brutales sur le terrain".

"Le gouvernement fait preuve d'un acharnement incompréhensible sur ce projet d'aéroport, hérité d'une vision du progrès appartenant au passé", assure Greenpeace.

 

14H40. Cinq opposants blessés par une grenade assourdissante (Le Mensuel de Rennes)
L'explosion d'une grenade assourdissante au Nouveau-Bois a blessé cinq militants, dont un à la tête. Les gendarmes commenceraient à manquer de lacrymogènes.

Description des grenades assourdissantes sur le site du GIGN (extrait) : "Il est parfois nécessaire d’entrer dans des enceintes où se trouvent des personnes armées qui peuvent tirer contre les civils qui se trouvent dans les parages ou les prendre en otage, ou encore faire usage de leurs armes contre des policiers qui montent à l’assaut. Il est alors nécessaire d’utiliser des engins dont la mission est de réduire le niveau de riposte des délinquants ou de les distraire de l’action principale qui est menée contre eux".

 

14H31. Les opposants tentent d'éteindre une maison en feu au Rosier
Des opposants essayent d'étouffer - avec de la terre et quelques extincteurs - le feu qui a pris dans une maison du Rosier, vraisemblement à cause d'un cocktail Molotov.

 

14H13. Le pont de Cheviré (Nantes) est désormais fermé dans le sens intérieur
Une déviation a été mise en place par le périphérique Est pour contourner le barrage bloquant.

 

13H49. Valls : "Il est hors de question de laisser un kyste s'organiser" (BFM TV)
"Il est hors de question de laisser un kyste s'organiser, se mettre en place, de façon durable, avec la volonté de nuire avec des moyens parfois dangereux (...). Nous mettrons tout en oeuvre pour que la loi soit respectée (...) pour que les travaux puissent avoir lieu", a affirmé le ministre de l'Intérieur Manuel Valls lors d'un déplacement à Lorient aux côtés du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

 

13H44. L'"opération escargot" ralentit la circulation sur le pont de Cheviré, à Nantes (vidéo Presse Océan)
Une dizaine de tracteurs circulent au ralenti dans le sens sud-nord du périphérique nantais. Un barrage filtrant a été mis en place sur le pont de Cheviré : une seule voie reste ouverte.

 

 

 

13H28. Les cabanes en passe d'être rasées (Citizen Nantes)

 

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13H25. Cocktails Molotov contre lacrymos et grenades assourdissantes au Rosier

13H11. Un gendarme et deux journalistes blessés (journaliste AFP)

 

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12H59. Les opposants manifestent à Lorient, en marge de la visite de Valls
En marge de la visite aujourd'hui à Lorient de Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, et de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, près de 80 opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes manifestent en ville. Des manifestants cantonnés au centre-ville et qui n'ont pas réussi, malgré plusieurs tentatives sans heurts, à se rapprocher du secteur de la gendarmerie maritime, où se déroule la visite ministérielle.

 

12H55. Heurts entre forces de l'ordre et opposants
Alors que deux pelleteuses et une benne se trouvaient sur ce site pour ramasser les matériaux de construction et les outils, plusieurs dizaines d'opposants ont surgi des bois jouxtant les constructions, en jetant bouteilles de verre et cailloux, tandis que les forces de l'ordre répliquaient avec des grenades et bombes lacrymogènes, a constaté l'AFP.

Dans la zone noyée dans un épais brouillard de lacrymogènes, au milieu des cris, des opposants ont aussi lancé de gros pétards tandis que les forces de l'ordre faisaient des sommations.

 

12H43. "Très, très mauvais signe" pour Durand (EELV)
"Je regrette de voir que le gouvernement réagit par la force à la mobilisation de ce week-end. C'est un très, très mauvais signe", a déclaré Pascal Durand, le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV)."Nous réitérons la demande de médiateur et la demande au Premier ministre de prendre du recul, il n'est pas objectif", a ajouté le chef de file des écologistes qui réclame "l'ouverture d'un espace de dialogue".

Pour le secrétaire général d'EELV, la question de la présence des deux ministres écologistes au gouvernement ne se pose pas encore. "Cette question ne peut être posée qu'à la fin d'un processus qui aurait démontré qu'il n'y a pas de dialogue", a-t-il expliqué.

 

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12H32. Lacrymos et jets de projectiles dans la forêt (journaliste AFP)

 

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12H26. Une manifestation à Brest ce vendredi à 18 h, place de la Liberté
Le Collectif brestois opposé au projet d'Ayraultport de NDDL appelle à un rassemblement à 18 h place la Liberté à Brest. Les banderoles sont les bienvenues (avec de quoi faire du bruit).

 

12H10. Vidéo en direct du site du Rosier

 

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11H47. "Opération escargot" lancée à l'appel de la confédération paysanne
Les militants appellent à bloquer le pont de Cheviré à Nantes et celui de Saint-Nazaire.

11H31. Des rangées de véhicules policiers (Télé Nantes)

 

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11H29. "Parfaitement légitime", selon Le Roux
"L'intervention pour mettre fin à l'occupation illégale du chantier de Notre-Dame-des-Landes est parfaitement légitime", a dit le chef du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, dans un communiqué. "C'est le devoir de l'Etat de faire appliquer les décisions de la justice qui a rejeté tous les recours intentés par les opposants à ce projet".

"A chaque élection cantonale, municipale, régionale, la population des Pays de Loire et de Bretagne élit et réélit des majorités favorables à la construction de l'aéroport et aucune minorité ne peut s'arroger un droit de blocage", a encore relevé Bruno Le Roux. "Le débat public sur ce projet a eu lieu pendant 20 ans. La moindre des choses est d'en accepter le verdict", a-t-il conclu.

"Force reste à la loi", a souligné pour sa part le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, sur i>TELE, appelant que "trois régions de l'Ouest" s'étaient prononcées en faveur de ce projet pour renforcer notamment "l'attractivité économique de tout l'Ouest". "Chacun remarquera que ce n'était pas l'un des éléments du programme national qui a lié les Verts et le Parti Socialiste", a relevé aussi Claude Bartolone.

"Que les uns et les autres déposent le cas échéant des documents pour contester, notamment dans le cadre de la loi sur l'eau. Après il faut respecter les décisions", a-t-il poursuivi.

11H19. Un hussier de justice vient constater l'effraction du site de La Châtaigneraie
Me Geairon, hussier de justice du tribunal de Saint-Nazaire, est arrivée sur place pour constater - appareil photo à la main - l'effraction du site de La Châtaigneraie, en bordure de la forêt de Rohanne. Une centaine d'opposants a réussi à se faufiler entre les forces de l'ordre pour regagner les bois.

 

11H11. Et maintenant, les pelleteuses... (journaliste AFP)

 

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11H10. "Situation désolante" déplore Laurent (PCF)
"La situation est désolante, et la concertation est toujours préférable à la méthode policière, j'espère que le dialogue reviendra", a déclaré le secrétaire national du PCF Pierre Laurent sur France Info. "Nous sommes favorables à cet équipement", a-t-il rappelé, estimant toutefois qu'il "aurait dû être mis en oeuvre dans d'autres conditions", car selon lui "les grands équipements de cette nature devraient être 100% publics" et non pas réalisés par un partenariat public-privé comme c'est le cas avec cet aéroport.

En décembre 2010, un contrat a été signé confiant à Vinci la conception, le financement, la construction et l'exploitation de Notre-Dame-des-Landes, une concession de 55 ans. En juillet 2012, le Conseil d'Etat a rejeté plusieurs recours contre le décret approuvant cette concession.

 

10H43. Les opposants délogés d'une clairière attendent dans le champ voisin, autour d'un feu (journaliste AFP)

 

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10H37. Noël Mamère "accablé et révolté"
"On ne peut être qu'à la fois accablé et révolté par l'attitude du gouvernement, parce qu'il répond par la force" après une manifestation "qui a rassemblé 40.000 personnes pacifiques non violentes", a réagi Noël Mamère sur l'antenne de BFM-TV. "Nous avions" demandé "au Premier ministre de nommer un médiateur. Ils préfèrent la force et les matraques, il a fait un choix, nous en ferons un aussi", a affirmé l'élu écologiste.

Les opposants "protestent contre un projet qui a valeur de symbole puisque c'est un projet du XXe siècle qui est totalement contraire aux engagements du président de la République sur la transition énergétique", a-t-il par ailleurs estimé. "C'est à la fois de la provocation et c'est en même temps un risque considérable qu'est en train de prendre le gouvernement, parce que - comme nous l'avons dit à plusieurs reprises - ils sont en train de créer les conditions d'un nouveau Larzac", a poursuivi Noël Mamère.

 

10H07. L'Etat cherche à empêcher "un camp retranché"
"Cette opération consiste à empêcher la reconstitution d'un camp retranché. Il s'agissait de ne pas laisser fortifier ce genre de camp", a déclaré le préfet de Loire-Atlantique Christian de Lavernée. "Aujourd'hui, la ferme du Rosier va être expulsée et déconstruite, ainsi que les cabanes dans les arbres dans le bois de Rohanne qui avaient déjà fait l'objet d'une expulsion il y a 15 jours, car c'est un cas de réoccupation", a annoncé le préfet.

 

9H34. Un opposant historique parle de "véritable sacage" (Presse Océan)
"C'est l'amour-propre de Jean-Marc Ayrault qui doit triompher !" a lancé un agriculteur, opposant historique au projet. "Ces cabanes sont situées sur un terrain privé en cours d'expropriation dont le jugement n'a pas été rendu". Un haut fonctionnaire de l'Etat estime toutefois que ces destructions de cabanes sont légales.

 

9H25. José Bové appelle à la mobilisation
"J'appelle à la mobilisation et je relance un appel solennel au président de la République, Monsieur François Hollande, pour qu'on mette en place une médiation pour remettre l'ensemble du dossier à plat", a déclaré José Bové, quelques heures après le début de l'opération de la gendarmerie sur le site du futur aéroport nantais."On appelle les gens à se mobiliser à la fois à Notre-Dame-des-Landes et aussi partout en France où c'est possible", a ajouté le militant écologiste depuis le plateau du Larzac.

"Le gouvernement, en menant cette action, a dérapé et est en train de se mettre dans un très mauvais pas", a observé José Bové. "On va se retrouver dans une situation qui va être inextricable. Le gouvernement va se trouver confronté à une larzaquisation du conflit", a-t-il averti, en référence au mouvement de défense du site du Larzac dans les années 1970.

A propos de la possibilité d'une médiation, José Bové a dit réfléchir "avec d'autres personnes pour faire une proposition qui puisse être acceptable des deux parties". "Aujourd'hui, du côté des habitants de Notre-Dame-des-Landes, des associations, l'Acipa, ils sont en accord avec le principe. Ce que j'essaye maintenant, c'est de convaincre le président de la République et son gouvernement d'accepter cette idée. Ce n'est pas baisser son pantalon que d'accepter une médiation, c'est se grandir", a-t-il estimé.

 

09h16. Les CRS démontent les 10 cabanes "planche par planche, clou par clou" (journaliste de Mediapart)

 

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09h03. Opération d'évacuation : "Désolant", selon EELV
"C'est désolant. C'est la réponse à la mobilisation citoyenne de samedi dernier. Monsieur Hollande a invoqué la force du droit mais c'est la force qui répond", a estimé le porte-parole national d'Europe Ecologie-Les Verts, Jean-Philippe Magnen.

"C'est d'autant plus désolant que nous avions proposé une sortie par le haut avec la nomination d'un médiateur pour réinstaurer un dialogue", a ajouté le porte-parole, qui est également vice-président du conseil régional des Pays de la Loire. Il avait l'intention de se rendre sur place vendredi, en compagnie de plusieurs élus EELV de Loire-Atlantique.

Le sénateur EELV de Loire-Atlantique Ronan Dantec a pour sa part estimé que "ce n'est pas la bonne méthode, ce n'est pas la bonne réponse à près de 40.000 personnes en majorité de gauche qui ont manifesté samedi dernier".

 

08H45.  L'Acipa appelle à un rassemblement à 9h à La Vache rit
Le Rosier et le site d'implantation des cabanes étant pris d'assaut, l'Acipa appelle à un rassemblement au local syndical en face de la mairie de Notre Dame des Landes : "Pour les gens du Sud Loire, se rassembler à Vigneux de Bretagne, au parking du Miron (ancien Unico), en bas de l'église, route de Notre Dame des Landes" poursuit l'organisation des opposants.

 

07H15. L'acipa en direct Quelque 500 gendarmes mènent donc ce vendredi matin une "importante opération" d'évacuation de squatteurs opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique. L'information a été rendue publique par le ministère de l'Intérieur. Et en effet, d'importantes forces de l'ordre sont arrivées dès l'aube surel site de Notre-Dame-des-landes. Depuis, indique un témoin sur place, "ça attaque de partout".

acipaok


JEUDI 22 NOVEMBRE
"C'était bien qu'ils nous expulsent, ça a resserré les liens entre les différents opposants : tout ce qui a été détruit a été refait... en double", se félicite Jérôme, un militant anti-aéroport installé depuis plus de trois ans sur la Zad, la zone d'aménagement différée réservée au futur aéroport. De quelque 150 "zadistes" qui habitaient déjà début octobre l'"un des plus grands squats à ciel ouvert d'Europe" selon leurs propres termes, les effectifs ont bondi à au moins 500 à la suite de la mobilisation qui rassemblé le 17 novembre sur place entre 13.000 (préfecture) et 40.000 personnes (organisateurs), venues de toute la France.

 

 

Visions bucoliques et militants encagoulés
Le long des routes, plus d'une centaine de véhicules de toutes sortes cohabitent : caravanes ou cars habitables, utilitaires d'entrepreneurs, voitures individuelles redécorées de motifs de lutte anti-nucléaire ou capitaliste, ou petites voitures de ville propres. Dans plusieurs champs, des campements de tentes, dont certains en comptent plusieurs dizaines.

En se promenant de lieu en lieu, à condition de ne pas prendre de photo pour les journalistes, on passe de la vision bucolique d'un chalet en voie d'achèvement au fond d'un bois, à celle, nettement moins paisible, du jeune cagoulé de noir surveillant un hélicoptère de gendarmerie qui tente de survoler une assemblée générale en plein air...

 

Entrepreneurs du BTP, étudiants en architecture...
Un groupe de quatre hommes d'une quarantaine d'année avance, le sourire au lèvres, dans le chemin boueux qui mène à l'un des nouveaux "lotissements", dans la "Lande de Rohanne". Dans une première clairière où se dressent trois grands chalets de bois parfaitement réalisés, ils déposent une table et une grande bâche, "pour aider", puis cherchent à se rendre utiles. Ils sont paludiers à Guérande. Dans une autre clairière, des étudiants en architecture sont venus apporter leurs connaissances et leurs bras.  

Dans les chantiers où résonnent les coups de marteaux, on entend aussi des visseuses électriques et un groupe électrogène tourne. Aux commandes, visiblement, des "vrais" entrepreneurs du bâtiment. "Oui, certains ont pris deux semaines de vacances pour venir nous aider", reconnaît Michel Tarin, figure historique de la lutte.
Sur internet, les tenants de la "Zone à défendre" font leurs courses...

Plus d'une dizaine de barricades
Les marteaux résonnaient aussi jeudi au fond du "bois de Rohanne", où se déroulait, il y a à peine deux semaines, une lutte acharnée entre les gendarmes chargés d'évacuer et de détruire une dizaine de cabanes dans les arbres, et leurs occupants. On pouvait dénombrer au moins autant de cabanes dans les arbres qu'avant, avec également une nouvelle maison sur deux étages. Tout autour, dans les arbres, équipés de matériel d'escalade, des "constructeurs" habillés de noir s'affairaient à une dizaine de mètres au-dessus du sol.
Pour autant, la reconstruction n'a pas concerné que les maisons: plus d'une dizaine de barricades, dont certaines très difficiles à escalader, se sont érigées en plusieurs point du bocage. Un tronçon de route "stratégique", proche des nouvelles zones de construction, est désormais barré de barricades. Même s'ils ont compliqué la donne des pouvoirs publics sur le plan juridique, les opposants savent que ces derniers peuvent ordonner à tout moment au moins l'évacuation d'une vieille ferme, le "Rosier", premier "squat" du mouvement à avoir été investi. Du coup, il est défendu aussi bien par les "zadistes", que par les agriculteurs qui y ont disposé leurs tracteurs tout autour.

 

acipaok

Un militant se fait saisir ses ordinateurs (article Numerama)
Accusé d'avoir participé aux dégradations de permanences PS, en protestation au projet de Notre-Dame-des-Landes, un blogueur anonyme a reçu la visite de la police pour éplucher ses données informatiques.

  • Rédac web avec AFP
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