(Cogeco Nouvelles) - Une liste de 11 mille adresses courriel de policiers circule sur internet à la suite d'un nouvel acte de piratage du groupe Anonymous.
Selon le Journal de Montréal, le Service de police de la Ville de Montréal a envoyé mercredi un message à ses 5000 policiers, leur demandant de resserrer les paramètres de sécurité de leurs pages Facebook et adresses courriel.
Les données proviendraient d'une liste d'envoi de la Caisse d'économie Desjardins des policiers de Montréal.
En colère, quelque 2600 acteurs du milieu culturel, dans une fronde sans précédent, ont exigé des excuses publiques de la ministre de la Culture et des Communications, Christine St-Pierre, pour ses propos associant tous ceux qui portent le carré rouge à la violence. La ministre a refusé de présenter ses excuses hier.
Dans une lettre publiée sur le site Web du Devoir, ces milliers d’artistes, comédiens, metteurs en scène, cinéastes, écrivains, professeurs de cégeps et d’université, journalistes culturels et autres membres de la communauté artistique s’indignent des « propos démagogiques » tenus par Christine St-Pierre à la suite du refus de Fred Pellerin de recevoir, vendredi, le titre de chevalier de l’Ordre national du Québec. Dans une lettre envoyée à l’institution, le conteur avait invoqué la crise sociale actuelle pour justifier sa décision. La ministre a alors affirmé que le conteur avait le droit de porter le carré rouge, « mais nous, on sait ce que ça veut dire le carré rouge, ça veut dire l’intimidation, la violence ».
Les signataires qualifient de « propagande » cette généralisation. « Vous n’êtes pas sans savoir que la grande majorité des acteurs du milieu culturel arborent fièrement le carré rouge », écrivent-ils, ajoutant qu’une « ministre de la Culture ne peut se permettre de mépriser les artistes ».
« Si votre objectif, en stigmatisant la violence associée au mouvement étudiant, est de vous faire du capital politique, nous tenons à vous rappeler que ce genre de stratagème éveille ce qu’il y a de plus boueux dans les consciences », poursuivent-ils. Accusant la ministre de vouloir rabaisser le débat, les signataires soulignent que les voix qui s’opposent à la vision gouvernementale « constituent le terrain fertile de la culture humaniste et viennent précisément de ce pan de la société qui oppose une culture humaniste à cette culture d’entreprise qui violente la libre pensée ».
« Si le seul argument que vous décidez d’opposer à ce schisme idéologique profond est le recours à la peur pour justifier la nécessité du maintien de l’ordre, nous tenons à vous rappeler que ce flirt est extrêmement dangereux, et que dresser les vieux épouvantails de la peur au service de l’ordre rappelle de très mauvais souvenirs d’une histoire pas trop lointaine », dénoncent-ils.
La violence, elle s’incarne dans « un corps policier qui multiplie les gestes de brutalité envers des manifestants pacifiques », elle est « celle de vos mots menteurs et méprisants », lancent les artistes.
Parmi les signataires, on retrouve des comédiens comme Céline Bonnier, Sylvie Drapeau et Normand Chouinard, des metteurs en scène comme Brigitte Haentjens, Martin Faucher, Olivier Reichenbach et Dominic Champagne, des cinéastes comme Léa Pool et Hugo Latulippe, des chanteurs comme Pierre Lapointe et Martin Léon, des écrivains comme Marie-Claire Blais, Michel Tremblay et Élise Turcotte ainsi que des critiques et journalistes culturels, entre autres Odile Tremblay, du Devoir.
La ministre précise sa pensée
Lors de la période de questions à l’Assemblée nationale, Christine St-Pierre, pressée par l’opposition officielle, a refusé de s’excuser ; elle a plutôt choisi d’en rajouter dans le but de préciser sa pensée. « Nous avons tous vu qu’il y a eu des manifestations d’étudiants qui, parfois, ont conduit à des scènes tout à fait disgracieuses, des scènes d’intimidation, des scènes dont les médias ont été témoins et des images qui ont été rapportées sur tous les écrans de télévision. Ces façons de faire sont inadmissibles et c’est ce que j’ai voulu exprimer lorsque j’ai parlé du carré rouge. »
« Dans une société libre et démocratique, nous devons nous dissocier de la violence, nous devons nous dissocier des scènes que nous avons vues dans le métro de Montréal », a réitéré la ministre. Pour ne pas être en reste, le leader parlementaire du gouvernement, Jean-Marc Fournier, a parlé de « bidons d’essence sur les perrons des domiciles » et d’« enveloppes » contenant une poudre blanche.
« Comment peut-on associer Fred Pellerin à des bidons d’essence », s’est insurgé son homologue péquiste, Stéphane Bédard. « Donc, tous ceux qui portent le carré rouge appuient la violence et l’intimidation. C’est gros, c’est énorme, c’est stupide, c’est trop. C’est comme dire que tous les membres du PLQ se promènent avec la carte de crédit corporative d’un donateur du parti. »
À la toute fin de la période de questions, Jean-Marc Fournier a semblé vouloir s’excuser à la place de sa collègue. « Si les artistes sont lésés, nous devons nous excuser », a-t-il dit. Renseignements pris à son cabinet, ce n’était aucunement son intention.
Ce texte a été modifié après publication.
lexpress.fr - publié le 13/06/2012 à 08:49, mis à jour à 08:49
afp.com/Steeve Duguay
MONTREAL - Environ 200 manifestants ont défilé sous la pluie et le vent à Montréal, lors de la 50e manifestation nocturne d'affilée pour dénoncer la hausse des droits de scolarité et la loi spéciale.
Quelques dizaines de personnes, tapant sur des casseroles et des instruments de percussions pour tenter de se faire entendre, ont pris le départ de la marche devenue rituelle, vite rejoints par une foule un peu plus nombreuse d'environ 200 protestataires, selon des estimations des médias locaux.
Contrairement aux marches mouvementées de ces derniers jours, qui se sont conclues par des vitrines brisées et quelques dizaines d'arrestations, parfois musclées, notamment en marge du Grand Prix de Formule 1 du Canada le week-end dernier, cette manifestation nocturne s'est déroulée de façon "très tranquille" selon la police.
À peine les forces de l'ordre ont-elles dû appeler les manifestants à marcher dans le sens de la circulation pour ne pas gêner les automobilistes.
Le défilé a été déclaré illégal, faute d'itinéraire fourni à l'avance, mais aucune arrestation n'a eu lieu.
Par
Quelques centaines de manifestants ont de nouveau sillonné les rues de la métropole lundi soir dans le cadre de la 49e manifestation nocturne d'affilée contre la hausse des droits de scolarité et la loi 78.
Les étudiants et leurs sympathisants se sont rassemblés vers 20 h 30 à la place Émilie-Gamelin, avant d'entamer leur marche sur la rue Berri, dans une ambiance survoltée. La veille, la manifestation s'était soldée par des actes de vandalisme et une dizaine d'arrestations.
Aucun itinéraire n'ayant été fourni aux policiers, la 49e marche a été déclarée illégale d'entrée de jeu, mais elle était tolérée si aucun geste répréhensible n'était commis, avait indiqué le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), utilisant sa formule habituelle.
Les manifestants ont déambulé sur les boulevards Saint-Laurent et René-Lévesque, ainsi que sur les rues Sherbrooke, Ontario, de Maisonneuve, Saint-Antoine et Sainte-Catherine. Ils se sont notamment arrêtés un instant devant le Centre du commerce mondial, à la place Victoria.
Vers 22 h 20, les manifestants ont traversé la foule rassemblée au Quartier des spectacles dans le cadre des Francofolies de Montréal. Le spectacle tirant à sa fin, aucun incident n'a été signalé.
Munis de leurs casseroles, étudiants et citoyens ont poursuivi leur marche dans une ambiance festive. Vers 23 h, la manifestation s'est immobilisée à l'angle des rues Saint-Denis et de Maisonneuve.
Le SPVM a alors donné son premier avis de dispersion de la soirée, après que des projectiles eurent été lancés en direction des policiers. Une vitre d'un bâtiment de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) a également été fracassée.
Plusieurs personnes ont décidé de quitter les lieux dans le calme, d'autres ont choisi de poursuivre leur route sur la rue Sainte-Catherine Est. La manifestation a finalement pris fin vers 23 h 30.
Le SPVM n'a rapporté qu'une seule arrestation pour entrave au travail des policiers, arrestation survenue plus tôt en soirée lors d'une manifestation organisée par la Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC).
Manifestation de la CLAC
Vers 19 h, plusieurs dizaines de manifestants étaient descendus dans les rues pour dénoncer la tenue du Forum économique international des Amériques, qui se déroule jusqu'à jeudi à la Place Bonaventure.
Organisée par la CLAC, la manifestation s'est mise en branle de façon pacifique sur le boulevard René-Lévesque, sous haute surveillance policière. En plus des étudiants, des syndicats et des employés de Postes Canada étaient sur place.
Les protestataires se sont arrêtés devant l'hôtel Hilton de Montréal, où se tient le sommet économique, ainsi que devant le Centre de commerce mondial. Les participants à la marche ont notamment distribué des doigts d'honneur aux policiers qui protégeaient l'entrée de l'édifice.
Bien que peu nombreux, les manifestants se sont fait entendre bruyamment à coups de slogans et sous le thème de La marche impériale de Star Wars. « Le capital nous fait la guerre, guerre au capital! » ou « La police au service des riches et des fascistes », scandaient les contestataires.
Le cortège s'est ensuite dirigé vers le square Phillips, avant d'emprunter les boulevards René-Lévesque et Saint-Laurent, pour finalement déboucher à la place Émilie-Gamelin, point de départ habituel des manifestations nocturnes.
http://www.youtube.com/watch?v=uy-YI4R-lWA&feature=topics
Publiée le 9 juin 2012 par DominicTremblay1
Pour dissiper des étudiants qui manifestaient au coin Ste-Catherine et Crescent, les policiers se mettent à tabasser deux gars. Un qui est déja à terre, reçoit les coups de pieds répétés d'un policier et l'autre se fait tabasser par plusieurs policiers en même temps.
http://www.youtube.com/watch?v=C5SmPvGyPwM&feature=topics
Publiée le 10 juin 2012 par PlouilleZone
Le fait d'avoir un carré rouge sur soit semblait être un motif raisonnable pour les policiers de Montréal pour procéder à des fouilles et des arrestations. Non seulement il y a du profilage racial à Montréal mais aussi du profilage symbolique !!! Wowww !
La police a chargé à la matraque dimanche soir à Montréal plus d’un millier de manifestants, dont certains venaient de briser à coups de pierres les vitrines de deux banques, au soir du Grand Prix du Canada qui s’est déroulé dans le calme sous haute surveillance policière.
Suite à ces actes de vandalisme touchant la Caisse de dépôt et placement du Québec et la Banque nationale, la manifestation a été déclarée illégale et la police a donné l’ordre de dispersion par haut-parleur, aussitôt appuyé par des tirs de grenades assourdissantes, a constaté une journaliste sur place. Les marcheurs se sont alors éparpillés dans le centre ville.
Auparavant, leur marche s'était déroulée pacifiquement au son de casseroles, si l’on ne compte pas le salut nazi adressé aux policiers par les manifestants.
«On est ici pour terminer le Grand Prix en beauté et montrer que malgré toute la répression qu’il y a eu contre nous pendant toute la durée de l'événement pour nous empêcher de dire nos opinions politiques, on est là quand même encore ce soir et on a l’intention de se faire entendre», déclarait Virginie, une étudiante de 28 ans.
Les slogans scandés visaient souvent le Premier ministre québécois Jean Charest, partisan de la hausse des frais de scolarité, à l’origine du conflit vieux de près de quatre mois.
«Charest dehors, on va te creuser une tombe dans le Nord», répétaient les jeunes gens, faisant allusion au Plan Nord, un vaste projet de mise en valeur des ressources naturelles dans le nord de la province francophone, critiqué par l’opposition et certains écologistes.
Des groupes étudiants et anticapitalistes avaient menacé de perturber le Grand Prix du Canada de Formule 1, mais ce grand événement sportif a pris fin sans encombre dans l’après-midi, la police procédant à plus de trente «arrestations préventives» et se saisissant aussi de six personnes à qui des actes criminels étaient reprochés. Les nombreux filtrages qu’il fallait franchir pour pénétrer sur le circuit Gilles-Villeneuve ont joué un rôle dissuasif efficace.
(AFP)
Amir Khadir, député de Mercier pour Québec solidaire, a fait la déclaration suivante à la suite de l'arrestation de sa fille Yalda, à son domicile, au petites heures du matin:
« Ce matin, à l'instar d'une douzaine d'étudiantes et d'étudiants, ma fille Yalda a été arrêtée par la police de Montréal. La police cherche à l'incriminer relativement à des méfaits qui ont été commis dans le cadre du conflit étudiant.
La police fait son travail et les tribunaux trancheront sur la responsabilité des uns et des autres. Tout le monde est égal devant la loi, et ma fille assumera ses responsabilités. Ma fille et moi-même ne sommes pas différents des autres personnes qui ont été arrêtées ou ont reçu des contraventions. Aussi, comme tout le monde, celles et ceux qui ont été arrêtés ce matin sont présumés innocents jusqu'à preuve du contraire.
Mon épouse Nima Machouf et moi-même allons assumer notre rôle de parents et accompagner notre fille dans ce qui lui arrive.
J'en profite pour remercier tous les gens qui m'ont appelé et envoyé des messages d'appui, comme Yann Perreau et le Dr Archambeault de Terrebonne, qui s'exprimait au nom de ses collègues.
Mais tout cela est bien peu de choses devant la crise importante que vit le Québec.
La population affiche une profonde insatisfaction à l'égard du gouvernement libéral. Des centaines de milliers de gens manifestent pacifiquement depuis des mois pour exprimer leur rejet des politiques de ce gouvernement et pour protester contre la loi 78.
Notre peuple ne se laissera pas distraire, encore moins décourager, par la répression policière ou l'intimidation politique. Notre peuple a montré son courage depuis trois semaines en rejetant massivement la loi 78. Et il va continuer à le faire.
Toute cette poussière ne doit pas nous faire oublier que la population du Québec a perdu confiance dans ses institutions à cause de la corruption du gouvernement et d'une partie de la classe politique. La population a perdu confiance dans le gouvernement parce que ses ministres sont continuellement sur la sellette, notamment pour :
Pour ces raisons, la lutte étudiante est devenue une lutte sociale. Des couches très diverses de la population y participent. Cela entraîne son lot d'actions très diverses, généralement légales et pacifiques. Le gouvernement du Québec a largement contribué à la dégradation du climat social en refusant tout compromis acceptable avec les mouvements étudiants et en imposant une loi odieuse qui brime les libertés démocratiques. Ce gouvernement doit prendre acte de la grogne populaire. C'est une erreur de compter sur l'essoufflement des mouvements sociaux et des groupes de citoyennes et de citoyens. Il se trompe.
La lutte continue. Elle doit demeurer à la fois ferme et non viol ente. Le peuple du Québec a le droit de s'exprimer sur son avenir. Il a le droit de revendiquer des politiques fondées sur l'intérêt public et le bien commun. Comme Québec solidaire, j'ai confiance en ce peuple et en sa capacité de se battre avec dignité et conviction.
Québec solidaire a toujours affirmé que les gestes de violence et d'intimidation n'ont pas leur place dans le débat politique. Manifestants, militants, politiciens, représentants des médias et autres citoyens doivent pouvoir exprimer leurs opinions sans crainte, peu importe les opinions qu'ils et elles défendent. Et nous allons ensemble rester debout. »
Publiée le 9 juin 2012 par degaspes
Le mouvement étudiant se poursuit au Québec.
Site : www.odasselin.wordpress.com
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La 47e manifestation nocturne a donné lieu à de violents affrontements entre policiers et manifestants
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09/06/2012 22h12 - Mise à jour 09/06/2012 23h11
MONTRÉAL - La 47e manifestation nocturne a donné lieu à de violents affrontements entre policiers et manifestants à l'entrée du site des festivités du Grand Prix de F1, à l'angle des rues Sainte-Catherine et Crescent, en plein coeur du centre-ville de Montréal.
En fin de soirée, la police de Montréal confirmait avoir effectué plus d'une vingtaine d'arrestations.
Une fois de plus, l'itinéraire de la marche n'a pas été remis aux autorités, rendant du même coup la manifestation illégale dès le départ.
Destination rue Crescent
Mais les policiers n'ont semblé aucunement surpris de voir les manifestants quitter la place Émilie-Gamelin pour se diriger tout droit vers la rue Crescent, où les festivités du Grand Prix de Formule 1 battaient leur plein.
Le mot d'ordre chez les policiers était toutefois de tout mettre en oeuvre pour empêcher les protestataires de se rendre à destination.
Ainsi, les forces de l'ordre ont systématiquement bloqué toutes les rues permettant aux manifestants de progresser vers l'ouest du centre-ville et ce, à partir de la rue City Councillors.
Parmi la foule d'environ 500 à 600 personnes, un groupe d'environ 250 manifestants est parvenu à prendre les policiers de vitesse en se faufilant à travers les véhicules sur la rue Sainte-Catherine, pour finalement atteindre la rue Crescent.
De ce nombre, plusieurs étaient masqués.
Un peu avant 22h, à l'intersection des rues Sainte-Catherine et Crescent, les policiers présents ont reçu une pluie de projectiles. Appelés en renfort, les groupes anti-émeute sont intervenus en force et ont dispersé les manifestants.
Les groupes de l'unité d'urgence de la Sûreté du Québec ont également été déployés dans le secteur, afin de prêter main-forte à leurs collègues du SPVM.
La grande majorité du noyau dur des protestataires s'est alors enfui en empruntant des ruelles.
Fait à noter, au moins trois véhicules de police ont été endommagés au cours de l'intervention policière musclée.
C'est la deuxième fois en deux soirs que la manifestation nocturne dégénère aux abords de la rue Crescent; vendredi soir, une douzaine d'arrestations ont eu lieu.
«La plupart des gens ayant été arrêtés ce (samedi) soir devraient faire face à des accusations criminelles et les autres recevront des constats d'infraction pour avoir contrevenu à divers règlements municipaux», a dit l'agent Raphaël Bergeron, porte-parole de la police de Montréal, en toute fin de soirée.
Incident impliquant un taxi
Plus tôt dans la manifestation, samedi, soit un peu après 21 h 30, au moins une ambulance a été demandée à l'angle de la côte du Beaver Hall et de la rue De La Gauchetière après qu'un chauffeur de taxi eut roulé sur les pieds de trois manifestants.
Quelques instants plus tard, des vitrines auraient été fracassées par des manifestants à la Place Bonaventure.
http://www.youtube.com/watch?v=z_5NMvXrdto
Publiée le 8 juin 2012 par WatcherQC
Désobéissance civile le 7 Juin 2012
Extraits regroupés d'une manifestation spéciale au Centre-Ville de Montréal en soirée, en réaction à la hausse des droits de scolarité et l'adoption de la loi 78.
Dans une soi-disant démocratie au Québec cette manifestation a été déclaré illégale par la police de Montréal dès le départ en raison de la loi 78 de Jean Charest et du règlement municipal du maire Gérald Tremblay de Montréal qui interdit le droit de manifester librement et pacifiquement.
20120607195703 (1).m2ts (toutes les séquences réunies)
L'auteur de cette vidéo, (moi) n'est associé ou affilié à aucun groupe que ce soit. 100% caméraman amateur.
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