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2 mars 2016 3 02 /03 /mars /2016 18:23

 

Source : https://blogs.mediapart.fr/laurence-karsznia

 

 

«Liquidation», un nouveau documentaire sur les 9 ans de lutte des Goodyear

 

 

Alors que 2016 est la date anniversaire des 80 ans du Front populaire, le code du travail est attaqué implacablement, les plans sociaux et délocalisations se multiplient, la répression et la criminalisation de l'action syndicale sont plus fortes que jamais, marquées par 8 condamnations à une peine de prison ferme, comment saisir les véritables mécanismes qui sous-tendent une telle casse sociale ?

 

Affiche du film Affiche du film "Liquidation" © Images contemporaines

 

Après «La mort en bout de chaîne », un documentaire qui aborde les risques de cancers dûs à l'exposition prolongée aux produits chimiques hautement toxiques (HAP-CMR) utilisés dans la composition des pneus Goodyear, Mourad Laffitte propose un nouveau film retraçant l'ensemble du conflit qui oppose la direction de la multinationale Goodyear-Dunlop aux salariés de l'usine Amiens-Nord.

Fruit d'une longue enquête, ce film documentaire est avant tout le temps de la réflexion. Mourad Laffitte revient sur la lutte des ouvriers de l'usine Goodyear Amiens-Nord pour défendre leurs emplois. Une véritable plongée au cœur de ce conflit loin des discours et des images qui criminalisent et condamnent de manière hâtive.

Durant 9 ans, le réalisateur a accompagné les ouvriers tout au long de leur lutte - grèves, blocages d'usine, tribunaux, manifestations, réunions, comité de soutien - réalisant ainsi près de 11 000 photos et des centaines d'heures d'entretiens et d'images.

Dans le même temps, il met en parallèle le combat mené par 1200 ouvriers d'une usine Continentale situé à 80 km d'Amiens. Dans un cas comme dans l'autre, malgré l'invalidation de plusieurs plans sociaux par les tribunaux et des bénéfices colossaux, ces 2 multinationales ont délocalisé leur production, mettant sur le carreau 2500 ouvriers.

Ceci n'est pourtant pas une fatalité. Ce documentaire donne à voir et permet de comprendre les stratégies économiques qui se jouent réellement dernière la façade d'une crise prétendue , ainsi que le cynisme et l'arrogance d'une multinationale avec lesquels elle anéantit la vie des salariés pour toujours plus de profits.

"Liquidation", un film nécessaire !
René Vautier disait "Filmer ce qui est, pour agir sur le développement de cette réalité et mettre l’image et le son à disposition de ceux à qui les pouvoirs établis les refusent."
C'est dans cet état d'esprit que nous avons choisi de faire ce documentaire ; un ciné-tract pour dire, montrer ce que la voix du pouvoir tait ou travesti en laissant entendre que la violence et l'irresponsabilité appartiendrait à celles et ceux qui se mobilisent.

Vous pouvez soutenir la construction de ce projet et le faire vôtre en contribuant à la souscription que nous venons de lancer sur la plate-forme de financement participatif Touscoprod
En soutenant ce film, vous contribuerez à aider la production audiovisuelle indépendante. De plus, vous permettrez à chacun de saisir que si nous ne sommes pas tous des Goodyear, nous sommes tous concernés par la violence du libéralisme et par la destruction systématique des conquis sociaux.

On compte sur vous !!!

 

La bande annonce

 

Bande annonce © Images contemporaines

 

Le 18 mars 2016, le film sera projeté en avant-première, à la Bourse du travail de Saint-Denis (93) à l'occasion d'une soirée de soutien aux Goodyear, organisée par le Comité de soutien de Seine-Saint-Denis.
''Liquidation'',  film documentaire de 52 min
Auteur-réalisateur: Laffitte Mourad
Production : Images Contemporaines (le site)
Contact : contact@images-contemporaines.com / 06 76 48 61 35

 

 

 

Source : https://blogs.mediapart.fr/laurence-karsznia

 

 

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 14:47

 

Source : http://rue89.nouvelobs.com

 

 

« Trepalium » : l’apartheid riches-pauvres a salement de l’avenir

 

 

 

 

A ceux qui croient que la science-fiction n’est qu’un prétexte à évasion et gros effets spéciaux, Arte offre à nouveau un beau démenti. La chaîne avait programmé la stimulante série « Real Humans », où la coexistence entre humains et robots trop proches de nous posait maintes questions : elle diffuse, à partir de ce jeudi, une mini-série en six épisodes, « Trepalium ».

Son nom fait référence à l’étymologie de « travail », qui vient de « trepalium », déformation de « tripalium », un instrument de torture antique à trois poutres, où était attaché le sujet.

Réalisée par Vincent Lannoo, « Trepalium » se déroule dans un avenir non précisé. L’urbanisme y est simple  : la Ville, tirée au cordeau, avec des gratte-ciel et des bâtiments énormes et nickels, ceinte d’un mur démesuré. Et tout autour, un monde grouillant de bidonvilles, dont les habitants, les « zonards », survivent avec une maigre distribution de rations alimentaires.

 

« Trepalium », bande-annonce

 

A l’origine de ce monde radicalement scindé, le chômage qui n’a cessé d’augmenter, jusqu’à atteindre 80% de la population, et à amener des politiciens à séparer les privilégiés des autres, à l’abri d’une muraille géante.

 

Ambiance glaciale

Au début, un ministre, qui est aussi l’époux de la Première ministre, séquestré depuis des mois dans la Zone, est relâché. En échange, la Première ministre fait recruter 10 000 zonards, pour occuper en journée un emploi dans la ville.

Outre les décors et l’ambiance (glaciale, avec un zeste de « Brazil » dans un côté rétro-futuriste), « Trepalium » n’est pas si binaire que le résumé pourrait le laisser croire  : la vie est rude même côté Ville. Chacun, fut-il haut placé, vit dans la terreur de déchoir et d’être éjecté dans la Zone.

Les relations en apparence insensibles montrent un univers mis en coupe par des multinationales, où le conformisme étouffe toute joie et tout échange affectueux. L’acteur Aurélien Recoing, père déshumanisé d’un des principaux personnages, est saisissant.

 

La Ville derrière le mur de

La Ville derrière le mur de « Trepalium » - Arte France/Kelija
 

Les auteurs ont regardé nombre de films et de références pour en faire leur miel. Vincent Lannoo explique la conception de cet univers de ségrégation où l’avenir est en impasse :

« L’esthétique rétro-futuriste de la série fait écho à cette régression : les décors, les costumes, les accessoires, les vieilles voitures. On a regardé comment certains architectes du passé, des années 30 aux années 80, comme Le Corbusier, Oscar Niemeyer ou Ricardo Bofill, avaient imaginé l’avenir. »

Les riches à part  ? En 2154, en 2293...

Un monde coupé entre une poignée de privilégiés et tous les autres  ? La SF prolonge des tendances déjà marquées  : les villes privées, gérées comme des entreprises et protégées de l’insécurité extérieure, sont à la mode, et des géants ambitionnent de construire leur propre cité, comme Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, et son projet Zee-ville qui réinvente les corons.

« Zardoz », de John Boorman, montrait dès 1974 une Terre ravagée en 2293. Les Eternels, une poignée de privilégiés immortels, vivent dans une oisiveté décadente, derrière une barrière invisible ; à l’extérieur de leurs enclaves de luxe, des hordes d’humains dans la misère, les Brutes, travaillent sur une planète semi-détruite, pour alimenter les Eternels. Et un de ces derniers arme des exterminateurs, chargés de massacrer et réduire en esclavage les Brutes.

 

 

 

 

« Zardoz », bande-annonce

 

Récemment, dans « Elysium » (2013), Neill Blomkamp – qui prépare le prochain « Alien » – a mis en scène une Terre polluée et surpeuplée, en 2154, laissée aux pauvres, en proie à la violence et la maladie. Les plus riches, eux, ont pris le large en s’installant dans une énorme station spatiale luxuriante, dont les équipements médicaux guérissent n’importe quelle maladie.

 

« Elysium », bande-annonce

 

Tous contre tous

Dans le premier épisode de « Trepalium », on voit dans une scène un personnage trouver un mort, gisant dans un couloir de sa multinationale, et il réagit en pensant immédiatement à prendre le poste laissé vacant par le mort.

Un passage qui, en dehors de la science-fiction, évoque la compétition meurtrière du chômeur joué par José Garcia dans « Le Couperet » (2005) de Costa-Gavras  : désespérant de retrouver un emploi dans son domaine spécialisé, il assassine ses concurrents potentiels pour être sûr d’être embauché. Polar ou SF, l’avenir du chômeur s’annonce radieux.

 

« Le Couperet », bande-annonce

 

 

 

Source : http://rue89.nouvelobs.com

 

 

 

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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 20:35

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=vQB5aYA3AJU

 

 

RSA dans le Haut-Rhin, le moment Meurice

 

Dans Si tu écoutes, j'annule tout, j'ai interrogé le (quasi) bénévole président du conseil départemental du Haut-Rhin. ‪#‎RSA‬

 

Ajoutée le 9 févr. 2016

Guillaume Meurice s'est intéressé à ceux qui ne travaillent pas mais qui aimeraient bien. Il a contacté Eric Straumann qui a son idée sur le traitement des bénéficiaires du RSA qui devraient se mettre au bénévolat pour se remettre dans la vie active.

Retrouvez Si tu écoutes, j'annule tout du 9 février 2016 http://www.franceinter.fr/emission-si...

Le moment Meurice par Guillaume Meurice (17h30 - 9 Février 2016)
Retrouvez toutes les chroniques de Guillaume Meurice sur www.franceinter.fr

 

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=vQB5aYA3AJU

 

 

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1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 21:30

 

 

Source : http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/13h15-du-dimanche-31-janvier-2016_1283737.html

 

 

Soigneurs de terres. On les appelle les médecins des sols, loin de l'agriculture conventionnelle, ils réinventent un système pour protéger la terre à long terme.
 
 

Lydia et Claude Bourguignon sont des biologistes reconvertis en médecins des sols. Depuis vingt-cinq ans, ils réparent les dégâts causés par l'agriculture industrielle et tentent de convaincre les paysans de changer de modèle… Extrait de "13h15 le dimanche" du 31 janvier.

Extrait

Soigneurs de terres Diffusé le 31/01/2016 Durée : 00h43

 
Pour voir toute la vidéo, cliquer ici

 

 

Soixante-dix ans d'agriculture industrielle intensive ont épuisé les sols français. Les rendements baissent et les bonnes terres réduisent comme peau de chagrin. Produits chimiques à gogo et labours agressifs les font disparaître hectare après hectare. Et si la France, vieux pays agricole, se couvrait de champs devenus infertiles dans le prochain quart de siècle ?

La valeur nutritionnelle des fruits, légumes et céréales diminue au fil des traitements à répétition qui leur sont infligés au nom de la productivité et de la rentabilité. Et si la culture paysanne et les pouvoirs publics, contre l'avis de puissants lobbies, changeaient en profondeur pour mettre un terme à ce désastre agricole, sanitaire et environnemental ? Certains pionniers sont déjà au travail pour inverser la tendance. 

Le choix de l’agro-écologie

Le magazine "13h15 le dimanche" (Facebook, Twitter, #13h15) diffusé sur France 2 a rencontré les "médecins des sols" Claude et Lydia Bourguignon. Ces biologistes affirment que "l'agriculture conventionnelle est un massacre pour les sols… Elle anéantit leur fertilité". Ils trouvent des remèdes pour soigner les terres exsangues. Jean-Christophe Bady, "repenti" de l'agriculture intensive, n'utilise ni engrais ni pesticides pour des raisons de santé et fait le choix de l’agro-écologie… sans recevoir d'aide de l’Etat.

Emmanuelle Chartoire, Clément Montfort, David Geoffrion et Mathieu Houel ont suivi le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, pour qui le modèle agro-écologique n’a que des avantages : plus sain, moins cher, durable et même plus productif ! Le maraîcher normand Charles-Hervé Gruyer exploite depuis une dizaine d'années une ferme agro-écologique de pointe, au rendement dix fois supérieur à celui d’un maraîcher classique. Les pionniers du changement sont déjà à l'œuvre, aux petits soins du bien commun des hommes, la Terre.


La ferme expérimentale se trouve à cette adresse : http://www.fermedubec.com/
 
 
 
 
 
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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 21:42

 

 

 

Ajoutée le 19 janv. 2016

"On a l'impression que c'est plus facile d'aller péter la gueule à 3 bédouins au fin fond de la Syrie que de pousser Pierre Gattaz à partager sa terrine aux truffes".

Suite à la condamnation de deux salariés de Goodyear Amiens à neuf mois de prison ferme pour séquestration de deux cadres dirigeants. Guillaume Meurice a voulu donner un droit de réponse au président du MEDEF dans le département de la Somme, Jean-Claude Oleksy.

Le moment Meurice par Guillaume Meurice (17h30 - 19 Janvier 2016)
Retrouvez toutes les chroniques de Guillaume Meurice sur www.franceinter.fr

 

 

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22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 22:52

 

Source : https://vimeo.com/32619549

 

 

LE FACTEUR HUMAIN (G.R.E.C. 2011)

 

Histoire du management : « L’efficacité devient une fin en soi »

 

de letexier

 
 

"Ce qui est bon pour l'usine
est bon pour la cuisine"

 

Un film de Thibault Le Texier.
Prix SACD, Meilleur premier film, Clermont-Ferrand (2012)

 

Avec Aurélien Recoing et Cécile Garcia-Fogel.

 

Plus sur le film: letexier.org/article.php3?id_article=95
Projections: grec-info.com/fiche_film.php?id_film=958

 

 

Source : https://vimeo.com/32619549

 

 

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21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 16:22

 

Source : http://Projection " In Transition 2.0 "

 

 

Ce soir à 19h30, projection du film " IN TRANSITION 2.0" au "SPOT" , 8 rue Enclod Rey à Nîmes

Anglais sous titré Français.
Durée : 1h06

" In Transition 2.0 " est un film relatant des initiatives de transition à travers le monde, répondant à des temps incertains avec un optimisme engagé, de la créativité et des solutions.
Des initiatives prises par des habitants comme vous et moi, qui se rassemblent et qui oeuvrent à l'échelle de leur rue, quartier, ville, pour améliorer leur cadre de vie, au niveau social, écologique, économique.
Des actions qui parfois pourraient paraître anodines, deviennent grâçe à "l'effet papillon" vecteurs de grandes évolutions positives.
La dynamique est lancée.

( Suite à la projection vous pourrez échanger avec des membres à l'initiative de la reconquète du Parc Meynier de Salinelle : http://miller5570.wix.com/pmds , et d'autres projets en cours sur le quartier Gambetta )

 

 

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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 20:40

 

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com

 

Mort de Glenn Frey : slow, drogue, disques d'or...10 choses à savoir sur "Hotel California"

 

 

La pochette d'"Hotel California". (Montage L'Obs)La pochette d'"Hotel California". (Montage L'Obs)
 

La mort de Glenn Frey, l'un des fondateurs et guitariste du groupe de rock américain "The Eagles" nous ramène UN souvenir précis : il s’appelle "Hotel California". Un morceau qui aura valu d’interminables slows en boîtes ou en soirées (pas toujours avec la bonne personne et là, c’était un calvaire) et qui a été repris par des dizaines d’autres artistes. Sans compter les tutoriels vidéos sur internet qui proposent d’en maîtriser les principaux accords et, pour les plus courageux, son fameux solo. Mais savez-vous tout sur ce titre mythique ? Voici dix choses que vous ignorez peut-être sur ce monument.

 

1Le titre de tous les records

Dans les bacs dès la fin 76, "Hotel California" a croulé sous les récompenses. Disque de l'année en 1977, le morceau a été propulsé number one au Billboard Hot 100, récolté une paire de disques d’or, un autre de platine et figure en 49e position des 500 plus grandes chansons de tous les temps, selon le classement de "Rolling Stone".

 

2Une chanson-marathon

La chanson dure 6 minutes et trente secondes. Une rareté dans la musique où les morceaux avoisinent généralement les 3 minutes. Cette durée est héritée des contraintes techniques des 78 tours puis des 45 tours vinyles.

 

3Un solo mythique

La pièce de bravoure à la guitare dure pas moins de 2 minutes et 10 secondes.

 

4Un hôtel qui n'en est pas vraiment un...

Si vous avez un jour la chance de vous promener sur la côte ouest américaine, ne cherchez pas le véritable Hotel California. Selon l'interprétation généralement admise des paroles de cette chanson, il s’agit en fait d’un centre de désintoxication qui était l’ultime refuge pour les stars accros de l’époque.

Don Henley, dans une interview souvent mentionnée à propos de la chanson avait déclaré au "San Francisco Chronicle" :

 

Les paroles de ce morceau reproduisent parfaitement l'esprit de l'époque, qui était une période de grands excès dans cette région et dans le business de la musique en particulier".

 

 

5Des paroles sous influence

Les références à la drogue et aux autres dépendances transpirent dans les paroles d’"Hotel California". Au tout début du morceau, est évoquée "la senteur tiède des colitas", terme signifiant d’une part "petits bourgeons", mais aussi, au Mexique, les joints de marijuana. Drogue toujours, cette fois plus dure : le terme "steely knives" (couteaux d’acier), également employé dans la chanson, ferait selon certains référence aux aiguilles de seringues.

Dans cet endroit pour "tuer la bête" ("kill the beast")  de la dépendance, un "endroit délicieux" où "nous sommes tous simplement des prisonniers ici/ De notre propre initiative", l’interprète réclame du vin au "Captain". Ce dernier répond "We haven't had that spirit here since 1969" ("Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969").

 

6Une étrange ressemblance

Coécrite par Glenn Frey et le chanteur (et batteur) Don Henley, "Hotel California" a de toute évidence été inspirée par "We used to know" de Jethro Tull. On raconte que Henley suivait partout le groupe anglais, qui mentionnera d’ailleurs plus tard sur son site : "'Hotel California', par les Eagles, provient de l’écoute par Henley de cette chanson alors qu’il suivait la tournée de Tull".

 

 

7Une machine à bisous

On estime à 100 millions le nombre de pelles roulées sur la chanson (information absolument non-vérifiée).

 

8Une prison

À Chicago, au plus fort du succès de cette chanson, de nombreuses personnes ont surnommé la prison du comté de Cook "Hotel California" , puisque située… sur le boulevard California. Le nom est resté…

 

9Changement de ton

Afin de correspondre à la voix du chanteur Don Henley, le morceau composé à la base en mi mineur a été finalement enregistré en si mineur.

 

10Karaoké

Hotel California a beau être le classique des classiques dans les vieilles boîtes de nuit, peu d'entre nous pouvons nous targuer d’en connaître les paroles par cœur tant le morceau est… long. Les voici donc, histoire de se rattraper et d’épater votre partenaire de danse durant ce long, très long séjour à l'hôtel :

 

"Hotel California"

 

 

On a dark desert highway, cool wind in my hair

Warm smell of colitas, rising up through the air

Up ahead in the distance, I saw a shimmering light

My head grew heavy and my sight grew dim

I had to stop for the night There she stood in the doorway

I heard the mission bell

And I was thinking to myself,

"This could be Heaven or this could be Hell"

Then she lit up a candle and she showed me the way

There were voices down the corridor,

I thought I heard them say

 

Welcome to the Hotel California

Such a lovely place, such a lovely place

Such a lovely face

Plenty of room at the Hotel California

Any time of year, Any time of year

You can find it here

 

Her mind is Tiffany-twisted, she got the Mercedes bends

She got a lot of pretty, pretty boys she calls friends

How they dance in the courtyard, sweet summer sweat

Some dance to remember, some dance to forget

 

So I called up the Captain

"Please bring me my wine"

He said : "We haven't had that spirit here since nineteen sixty nine"

And still those voices are calling from far away

Wake you up in the middle of the night

Just to hear them say

 

Welcome to the Hotel California

Such a lovely place, Such a lovely place

Such a lovely face

They livin' it up at the Hotel California

What a nice surprise, what a nice surprise

Bring your alibis

 

Mirrors on the ceiling

The pink champagne on ice

And she said : "We are all just prisoners here, of our own device"

And in the master's chambers

They gathered for the feast

They stab it with their steely knives

But they just can't kill the beast

 

Last thing I remember, I was

Running for the door

I had to find the passage back

To the place I was before

"Relax, " said the night man

"We are programmed to receive. You can check-out any time you like

But you can never leave! "

Jean-Frédéric Tronche

 

 

 

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com

 

 

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 16:13
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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 15:45

 

Info reçue de "Rupture et transition"

 

 

Nous ici , et maintenant que pouvons nous, que voudrions nous faire concrètement?
 

sera à nouveau à l'affiche dans les prochains jours de Janvier au cinéma “LE VENISE” à SOMMIERES
 
Mercredi 13 à 16h00
Samedi 16 à 14h00
Dimanche 17 à 14H00
Lundi 18 à 18h30
 
Il est possible que des discussions soient organisées après la présentation du film, de nombreuses personnes déjà (plus de 500 à LUNEL) ont appréciées ce film et s’interrogent sur ce qu’elles peuvent faire, ici et maintenant, dans divers domaines de l’alimentation, de l’énergie, des transports, de la démocratie...
 
Si vous souhaitez participer à la préparation de ces rencontres contactez Christian Mercier: mercier.leschenes@wanadoo.fr

 

 

 

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