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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 15:40

 

essonneinfo.fr - 3 mai 2012 | Auteur Frédéric Baud

 

Société. Ils étaient à Rungis lundi matin et dormaient devant la gare de Massy-Palaiseau le soir, avant de rejoindre la manifestation du 1er Mai le lendemain. Les Indignés réunis pour la Marche des banlieues ont prévu de faire le tour de la périphérie parisienne d’ici le 12 mai, anniversaire de la naissance du mouvement en Espagne l’année dernière.


 

  • Photo : le campement des Indignés à Massy. (© FB/EI)

Ils sont partis le 14 avril dernier de Saint Denis. Venu de toute la banlieue, de la capitale ou encore de Bayonne, de Strasbourg et de Nice, le groupe de marcheurs indignés qui fait actuellement le tour de la banlieue parisienne était lundi en Essonne. Une trentaine de marcheurs, âgés de 18 à 60 ans se sont ainsi réveillés à Rungis avant de traverser Thiais et d’y faire une assemblée populaire (lire le reportage de 94 Citoyens sur la marche dans le Val-de-Marne). « Après s’être réunis dans le centre-ville, on a organisé une assemblée générale, raconte Mathilde. L’entre-deux-tours de la présidentielle est propice pour interpeller les gens sur les sujets que l’on porte. » C’est ensuite à Massy-Palaiseau que se sont retrouvés les marcheurs où ils ont passé la nuit en face de la gare. Sur le gazon d’une école maternelle, chacun a mis la main à la pâte afin de bâtir un « coin sympa  » pour reprendre des forces.

Si au vu des effectifs, sérieusement diminués depuis l’année dernière dans leurs rangs, on peut avoir des doutes sur l’impact d’une telle marche sur « les consciences », les marches populaires qui se multiplient partout en France et en Europe sont de réelles expériences de vie en communauté. Pour la première fois dans l’histoire de ce type de mouvement, la vie à plusieurs s’organise et s’articule autour de la contestation au jour le jour. Entre l’apprentissage de la vie en groupe et la tentative de réinventer un militantisme nouveau détaché des codes et des travers de l’engagement syndical et partisan, certains indignés vivent depuis le 15 mai dernier de la contestation et du refus « du système ». Teuf, traveller’s depuis quelques années, a rejoint le mouvement depuis quatre mois : « Je venais de Mulhouse et j’ai rencontré les Indignés à Strasbourg lors d’une action. On est ensuite montés à Paris en marchant et après la Marche des banlieues, on partira à Barcelone. On était deux en arrivant sur la capitale et on repartira à dix. »

L’exemple de Teuf est assez représentatif. Si le mouvement des Indignés se donne encore des ambitions globales en lançant des mots d’ordre de rassemblements internationaux comme le 12 mai prochain pour l’anniversaire du mouvement, c’est bien la multiplication de petits groupes réunis en marches populaires et engagés dans une fuite en avant, une marginalisation volontaire et en opposition frontale avec le mode de vie dominant, qui sont aujourd’hui la veine du mouvement. A moins que le retour du beau temps et les appels aux rassemblements ne fassent ressortir les milliers d’indignés qu’on avait pu voir à Paris ou à Bruxelles en septembre et octobre dernier. Réponse le 12 mai.

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 19:55

 

http://www.youtube.com/watch?v=6zgmtdN-_zM

 

 

 

Publiée le  2 mai 2012 par Toniobedda

Les marches arrivent sur Paris. Nous sommes les 99%, nous sommes légion.

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 12:01

RÉSUMÉ DE L'ASSEMBLÉE DU SAMEDI 21 AVRIL 2012 AU TROCADÉRO DE PARIS

19 H 30 150 personnes en cercle 150 personnes autour, le tout encerclé par des gendarmes.

Présentation des signes et conseils de parole en assemblée, interrompu par des annonces importantes.

Les policiers empêchent les indignés de partir et revenir.
Les marcheurs des banlieues veulent parler des marches.
[ Deux autres pas noté ]

La présentation reprend, on choisi les volontaires aux rôles d'animations. 2 facilitateurs. 2 distributeurs de parole. 1 script. On fait un tour de cercle pour choisir l'ordre du jour. Parler des marches. Parler de la journée d'aujourd'hui avec la manifestation. Débat sur la démocratie. Débat sur les lois votées par les députés. Prochaine grosse journée. Répression policière. 12 mai. Demande si possible de débattre en discrétion entourés par des policiers. Médias absents pendant la manif. 1er mai. Expérience des marches. Que fait on après l'assemblée.

MARCHES. Récit d'expérience de marcheur de Toulouse, importance de tisser un lien et de rencontrer des gens formidables. Récit d'expérience de marche des banlieues, bonne énergie, on parle des violences des policiers pendant les assemblées en banlieues. Jamel 23 ans tué sur nanterre. PROPOSITION D'ACTION déposer une banderole devant le ministère de la justice quand la marche passera devant. ANNONCE rdv 14 h 30 le 22 04 2012 mairie de Montreuil avec la marche banlieue, marche dans la ville, repas, ateliers, assemblée, concert jusque minuit. L'objectif de la marche des banlieues est de faire montrer la justice en france.
[ ON AJOUTE DANS L'ODJ LA PRIORITÉ AUX SOURDS DE S'EXPRIMER MAINTENANT AVEC UN TRADUCTEUR CAR LA NUIT ILS NE PEUVENT PAS VOIR LES SIGNES ]

SOURDS. Il existe un réel problème en france pour les sourds, car ça revient trop cher d'avoir le confort de vie des autres. La société nous délaisse.
RETOUR SUR MARCHES. Récit d'expérience des marseillais.
[ DEVANT LA PRESSION DES POLICIERS, ON CHANGE L'ODJ, POUR PARLER DE CE QUE L'ON FAIT MAINTENANT ]

MAINTENANT. Le problème est que les policiers font partir les gens par groupe de vingt seulement et tous les quarts d'heure maximum et ne laissent pas revenir dans l'assemblée alors que nous avons l'autorisation jusque 23 h 00. PROPOSITION de rester ici 2 h en résistant en assemblée face aux policiers. [ une personne en haut du mur surplombant l'assemblée, n'ayant pas le droit de revenir, prend le tour de parole ] Que faites vous après. PROPOSITION de ne pas résister après. PROPOSITION de reporter la lutte car résister épuise. PROPOSITION de reporter. On lâche rien. La démocratie ne nous permet pas de nous exprimer beaucoup, ou de proposer des choses. PROPOSITION qu'il aurait fallu faire une diversion pendant la manif pour partir de ce piège, parce que maintenant nous sommes enfermés et nous aurions pu être en assemblée tranquilles. Sur Clermont Ferrand, l'organisation se fait avec les policiers et ici les policiers auraient pu être prévenus pour que l'on puisse rester plus tranquille. Les assemblées sont des endroits où on construit avec nos règles. L'écrit est important pour nous construire. PROPOSITION de rester car c'est la suite de la manif. Nous voulons une vraie démocratie et les policiers nous empêchent de rester construire cela. ANNONCE une personne peut héberger du monde ce soir. Pas de médias. PROPOSITION de rejoindre the tv et de devenir autonomes en vidéo diffusion. Bravo aux marches. PROPOSITION nous pouvons faire des actions ce soir pour les élections de demain, il faut partir. ANNONCE beaucoup de marcheurs vont rentrer maintenant car ils marchent demain.

[ L'ASSEMBLÉE SE TERMINE PROGRESSIVEMENT EN DISCUSSIONS ENTRES PETITS GROUPES ]
Fin 22 H

[ UNE DEUXIÈME ASSEMBLÉE C'EST FAITE 50 M PLUS LOIN VERS 21 H ]
60 personnes serrés en cercle, assis au milieu et debout autour. 1 facilitateur distributeur de parole.

DÉBAT SUR L'ORGANISATION DE LA GESTION DE LA PRESSION POLICIÈRE. Plusieurs avis divergent, partir les mains levées tous ensemble, partir en force, rester assis et attendre, partir en petit groupes. L'accort est trouvé de partir tous ensembles.
Fin 22 H 30

Les tentatives de partir ensemble échouent devant le blocus en force des policiers.

Les policiers laissent partir tout le long de la soirée des petits groupes de vingt personnes espacés de 15 / 20 minutes. Vers minuit et demi la place est vidée
.


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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 21:27
http://www.scoop.it/t/marche-banlieues
www.youtube.com - Today, 1:41 AM

Paris 21 avril 2012 , que s'est il réellement passé ?

 

 

 

 

http://www.scoop.it/t/marche-banlieues
April 24, 7:41 PM

Manifestation : du jamais vu

Résumé : Les indignés et les marches des possibles ont manifesté des halles de Paris au trocadéro, rassemblant les marches Marseilles, Toulouse, Bayonne, Anger, Lille (marche des possibles, marches populaires) et les banlieue de Paris (marche des indignés), ainsi que des indignés d'autres pays (Espagne, Belgique...).La manifestation s'est terminée de façon très étrange restreignant la liberté de déplacement des manifestants, l'intervention du sevice des pompiers, le droit de se nourrir. Il semble que la police ait voulu mettre la pression sur les manifestants pacifiques afin de détruire l'essence de leur mouvement. Heureusement malgré la diversité des personnes présentes (docteurs, maires, étudiants, sans-domiciles ...) aucun débordement majeur n'a eu lieu, rendant la tentative de manipulation par les forces de l'ordre inutiles.

Plus d'infos sur : http://www.scoop.it/t/marche-banlieues

 

 

14H-23H30 Les Halles, Paris, France

Les indignés et les marches des possibles rassemblés en fanfare dès 14h ce 21 avril, sont partis vers 15h depuis la fontaine des innocents à Paris. Cet évènement rassemblait des indignés venus à pied avec les marches Marseilles, Toulouse, Bayonne, Anger, Lille (marche des possibles, marches populaires) et les banlieue de Paris (marche des indignés), ainsi que des indignés d'autres pays (Espagne, Belgique...). De nombreux marcheurs avaient déjà fait les marches de 2011 vers Madrid ou Bruxelles, ainsi qu'une partie des marches vers Rome ou Athènes (cette dernière étant toujours d'actualité et devant bientôt arriver à sa destination).

 

Ils sont donc partis sous les percussions des tambours de la fanfare des indignés vers la banque de France puis la bourse et son autorité de régulation des marchés financiers afin de rappeler les vrais coupables de cette crise et de la dette. Ils se sont couchés sur le sol pour rappeler que le système tue chasque jour nos enfants et nos frères en France, en occident et dans le tiers-monde sans que personne ne s'en inquiète réellement.


Ils se sont ensuite dirigés vers la concorde et l'assemblée nationale où ils ont effectué un sitting afin de rappeller que les technocrates ne représentent pas le peuple mais servent la plutocratie au sein d'une oligarchie, conformément à leurs slogans "Ils ne nous représentent pas" ou "Nos rêves ne tiennent pas dans leurs urnes". Ils souhaitent une démocratie directe afin que le peuple retrouve tous les pouvoirs qu'ont lui a dérobé au fur et à mesure des deux derniers siècles.


Même s'ils semblent perplexes sur la possibilité de réveillez les aveugles endormis par le système et la fausse démocratie, ils ne désespèrent pas : "Un peuple unis, sera toujours invincible" et appelent donc à rejoindre la mobilisation du 12 mai 2012 pour une union de tous les humanistes afin de procéder à une grève générale mondiale, apartide et apatride.


Le nombre de manifestant a grandit sans cesse tout au long de la manifestation et peu de média ont suiivit la manifestation au delà des halles.
La manifestation ayant rejoint le trocadéro vers 19h, elle se trouve encerclée par des gendarmes, quasiment aussi nombreux que les 300 manifestants officialisés par la presse.

 
Dès lors des circonstances très étranges caractérisent la fin de la manifestation :

-interdiction de sortir du cercle formé par les gendarmes de 19H à 23H30.

-même pour une femme ayant besoin d'aller aux toilettes

-même pour un chiot en train de tomber malade (tremblottements aigües)

-même pour un officiel (maire)

-interdiction aux pompiers d'accéder au regroupement (appels pour malaises)

-interdiction aux personnes de rentrer dans ce cercle au bout d'un certain temp

-malgré une déclaration autorisée en prefecture, le cercle de gendarme rapetisse autour de la manifestation, obligation de se déplacer sous le retressisement de leur cercle, "vous devez obéir aux ordres" selon le gendarme, résultat: 2 personnes plaquées au sol et embarquées parce qu'elles étaient assises dans une manifestation autorisée par la prefecture...

 

Le gradé a donné l'autorisation à la camionnette de la marche banlieue de se garer devant le trocadéro, puis la fourrière l'a enlevée...

 

Le repas offert par une association n'a pu être distribué, aucun moyen de se nourrir sachant que certains ne s'étaient pas nourrit depuis 24 heures.

 

Le concert prévu a de fait été annulé, le matériel n'ayant pu parcourir les 10 mètres nécessaires.

 

Libération des indignés:

-en lots de 4 ou 10 comme un troupeaux, au compte goutte toutes les demi-heures, sous le regard désabusé des passants et touristes. Ils ont étés escortés jusqu'au métro par les gendarmes. Les indignés restant ne désirant pas être traités comme du bétail on fait du forcing jusqu'à un relachement de tous les indignés restants, qui ont bien évidemment aussi été escortés jusqu'à la station Iéna.

 

La mise sous pression des manifestants pacifiques afin qu'ils perdent leur calme n'a pas marché, il n'en reste pas moins que de telles pratiques sont celles d'une tentative de détournement médiatique de la violence induite volontairement par les services de l'ordre. Nous laissons à chacun le qualificatif adéquat pour ce genre de méthode...

 

Il est à noter que les passant en haut du trocadéro sont descendus afin de faire comprendre aux gendarmes leur désaccord. Nous les en remercions, car la Défense nous a appris ce qui arrivait quand il n'y avait ni passants ni média.

 

Le campement n'a pas été possible... il faudrait une démocratie pour cela...

(voir streaming)

 

lamidesbetes

 

Mise à jour:

Une journaliste de Libération qui nous a suivi plusieurs jours et a subi une forme de violence des CRS en présentant sa carte de presse au Trocadéro, et elle n'a pas été autorisée à aller s'acheter un sandwich qui se trouvait à deux pas d'où on était.

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 14:04

 

http://www.youtube.com/watch?v=QiDldM6t7qk

Publiée le 22 avril 2012 par BlackMetalNoW

 

 

 

 

http://blackmetalnow.wordpress.com/2012/04/22/jaccuse-la-police-de-mavoir-pris-en-otage/

 

J’accuse la Police de m’avoir pris en otage

 

La police m’a pris en otage, pendant quatre heures de temps, en tant que référent juridique de la soirée sur Paris, je tiens vraiment à m’exprimer et à donner mon point de vue sur la soirée, face à ce délit qui reste impunis par la loi.

Je fait certes des fautes d’orthographe et de grammaire mais je fait partit du peuple alors j’ai le droit à l’erreur.

J’accuse Michel Gaudin, Préfet de Police, Laurent Simonin, adjoint au sous-directeur de l’ordre public de l’agglomération parisienne  , de non respect de la loi et de prise d’otage.

J’accuse ces mêmes personnes de refuser de faire appliquer aux Compagnies Républicaines de Sécurité ainsi qu’au gendarme mobile, l’article 13 de la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme : “Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat.”

J’accuse ces mêmes personnes de refuser de faire appliquer l’article 66 de la constitution : “Nul ne peut être arbitrairement détenu” ainsi que l’article VII de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen :”Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi”

J’accuse ces mêmes personnes de refuser de faire appliquer l’article X de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen : “Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.” ainsi que l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme  : “Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.” et puis l’article 10 de la Convention de sauvegardedes droits de l’homme et des libertés fondamentales : “Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n’empêche pas les Etats de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d’autorisations.”

J’accuse ces mêmes personnes de refuser de faire appliquer l’article 11 de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales : “Toute personne a droit à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association, y compris le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts”

J’accuse ces mêmes personnes de refuser de faire appliquer l’article 21 du Pacte Relatifs aux droits civils et politiques du 16 décembre 1966 : “Le droit de réunion pacifique est reconnu par la loi”.

J’accuse toujours ces mêmes personnes, d’avoir refuser de donner des ordres pour venir en aide à une personne qui a fait un malaise, soit l’article  article  223-6 du code pénal : ”  Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75000 euros d’amende. Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours.”.

J’accuse encore et encore, ces personnes de prise d’otage et de séquestration, conformément à l’article Article 224-1 du code pénal : “ le fait, sans ordre des autorités constituées et hors les cas prévus par la loi, d’arrêter, d’enlever, de détenir ou de séquestrer une personne, est puni de vingt ans de réclusion criminelle.”

J’accuse Monsieur Simonin, de refuser de faire appliquer toujours et toujours l’article 431-3 du Code Pénal ainsi que l’article 111-4 de ce même code :”La loi pénale est stricte d’application”.

J’accuse Monsieur Simonin, de refuser laisser accomplir l’ensemble des 14 besoins de Virginia Henderson c’est à dire manger, boire, uriner, faire la selle, dormir etc…

J’accuse Monsieur Simonin de recruter des personnes qui ont des propos xénophobes comme celle-ci de la part d’un CRS :”La France tu l’aimes ou tu la quittes” montre bien la mentalité et le refus d’accepter l’article 1 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen :”Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.”

J’accuse Monsieur Simonin de refuser de faire appliquer ces suppléants l’article 17 du Code déontologie de la Police Nationale :” Le subordonné est tenu de se conformer aux instructions de l’autorité, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public. Si le subordonné croit se trouver en présence d’un tel ordre, il a le devoir de faire part de ses objections à l’autorité qui l’a donné, en indiquant expressément la signification illégale qu’il attache à l’ordre litigieux. Si l’ordre est maintenu et si, malgré les explications ou l’interprétation qui lui en ont été données, le subordonné persiste dans sa contestation, il en réfère à la première autorité supérieure qu’il a la possibilité de joindre. Il doit être pris acte de son opposition.”

J’accuse cette fois ci l’ensemble des Policiers sur place, de barbarie, de tentative d’intimidation, etc …

Pour tout cela, je demande leur démission sur le champ, pour avoir trahis autant, la Nation, le Pays, la Région, etc …

 

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 15:38

 

Libération - Aujourd'hui à 16h05
Samedi, devant la fontaine des Innocents, à Paris.
Samedi, devant la fontaine des Innocents, à Paris. (Floriane Leclerc pour Libération)
Par FLORIANE LECLERC

Ils étaient près de 200 à défiler, samedi après-midi, dans les rues de la capitale. Les Indignés, rejoints par des anonymous et des clownactivistes, se sont rassemblés aux Halles, vers 14 heures, avant de s'élancer en direction du Trocadéro. Partis à pied il y a quelques semaines de Marseille, Lille, Toulouse, Bayonne ou Paris, tous sont venus dénoncer «un simulacre de démocratie».

A la veille du premier tour de la présidentielle, ils tiennent à préciser que leur action s’inscrit en marge du calendrier électoral, mais les échéances sont dans toutes les têtes. «Ils ne nous représentent pas» pouvait-on lire sur des affiches en carton à l’effigie des candidats.

Devant l'Assemblée nationale, samedi

Dans le cortège mené par une camionnette des marcheurs de Marseille, David, Tourangeais de 30 ans, un cœur rouge dessiné sur le front, paraît désabusé. «Nos dirigeants, on ne les a pas choisis. Qu’importe les partis, ça ne changera pas. Tous essayent de s’accaparer nos votes à des fins personnelles.» Autour de lui, Jérôme, 25 ans, venu de Bretagne et Germain, 30 ans, de Marseille, renchérissent : «On assiste à une mascarade électorale. Les électeurs ne votent plus pour un candidat aujourd’hui, mais contre un autre. C’est un vote par défaut». Dimanche, David glissera une enveloppe vide dans les urnes. Ses deux compagnons de route, eux, s’abstiendront. «Nous nous sentons davantage citoyens en manifestant qu’en allant voter, lancent-ils. Au moins, nous sommes sûrs de défendre nos propres valeurs».

 «Révoltés mais pas résignés»

 

Devant la Banque de France, place de la Bourse, de la Madeleine, ou Boulevard des Italiens, à chaque fois, ces citoyens, «révoltés mais pas résignés», ont organisé de brefs sitting pour dénoncer le pouvoir d'«une oligarchie financière dictant sa loi aux hommes politiques» et appelé à refonder «une démocratie réelle». Invitant les passants et les policiers, dépêchés sur place, à les rejoindre ils sont arrivés en masse, brandissant des banderoles colorées, sous les fenêtres de l’Assemblée nationale, vers 18 heures. Une étape symbolique. «Nous voulons convoquer une Assemblée constituante», explique Laurent, un indigné de Tours, citant en exemple le mouvement citoyen qui a émergé en Islande, fin 2010.

En attendant, est organisée chaque jour une assemblée populaire dans les villes où passe «la marche» afin de recueillir les doléances de ses habitants. «Echec scolaire à Saint-Denis, prix prohibitifs du logement à Montreuil, violences policières à Villiers-le-Bel et Argenteuil... Chaque ville a des revendications spécifiques», témoigne Délia, 48 ans, qui participe à la marche des Banlieues, qui regroupe les Indignés de la région parisienne. «Mais le gouvernement ne veut pas les entendre», se désole-t-elle.

Il est 21 heures. Les manifestants, qui s'étaient réunis en cercle en haut des jardins du Trocadéro afin de tenir une assemblée populaire, se retrouvent encerclés par la centaine de gendarmes et de policiers nationaux qui les a suivis tout l’après-midi. C'est finalement vers 23 heures qu'ils seront autorisés à rejoindre le métro par groupe de dix, sous escorte policière.

 

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 15:29
http://www.scoop.it/t/marches-lille-paris-2012

 

Par Europe1.fr avec AFP

Publié le 21 avril 2012 à 21h31 Mis à jour le 21 avril 2012 à 21h31

Les Indignés manifestent devant l'Hôtel de Ville à Paris © REUTERS

Près de 300 manifestants ont défilé dans la capitale pour dénoncer une "mascarade électorale".

Les indignés sont de retour à Paris. Quelque 300 militants, venus pour certains à pied de Toulouse, Bayonne, Marseille, Angers et Lille, se sont rassemblés samedi à Paris pour dénoncer une "mascarade électorale". Au son des tambours, les "marches populaires", parties entre le 3 mars et le 7 avril, ont convergé jusqu'à Paris.

A la veille du premier tour de la présidentielle, les militants demandent "une démocratie réelle", car "les candidats actuels ne nous représentent pas", a déploré Yannick, un militant de 27 ans venu en marchant de Bayonne. "Nos rêves ne rentrent pas dans leurs urnes", "ils ne nous représentent pas", pouvait-on lire sur des banderoles dans le centre de la capitale.

"Certains n'iront pas voter"

"Parmi les candidats, il n'y a jamais le candidat que je voudrais. Et je ne suis pas le seul à penser ça", poursuit Yannick. "A nous de nous réorganiser, pour au moins au niveau local, avec des assemblées démocratiques, nous faire entendre et mettre en place des idées alternatives en matière d'environnement, de santé, d'éducation, d'alimentation", ajoute-t-il. Ce dernier avoue toutefois que même s'il n'est pas satisfait, il votera quand même, par procuration, "pour un candidat plutôt de gauche et plutôt proche des questions environnementales".

"Les politiciens ne portent pas nos attentes" :


 

Rassemblés à la Fontaine des Innocents du quartier des Halles, les manifestants ont déploré, à l'instar d'Arthur, 26 ans que "dans le panel des candidats, il y ait des idées et des alternatives qu'on ne nous propose jamais, comme par exemple réduire le productivisme". Selon lui, parmi les manifestants, "certains n'iront pas voter, d'autres voteront blanc ou nul, ou peut-être pour un candidat qui se dit anticapitaliste", ajoute-t-il en souriant.

Une manifestation géante le 12 mai

Les manifestants devaient ensuite se rendre au Champ-de-Mars, où ils espèrent pouvoir rester jusqu'au 12 mai. Date à laquelle une journée d'actions internationale de tous les "Indignés" est prévue, un an après le début du mouvement espagnol. Ils envisagent d'organiser d'ici là des assemblées populaires ou des actions symboliques contre des banques ou des supermarchés à Paris.

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 15:25

 

http://www.youtube.com/watch?v=43s8YRpL2QQ

Publiée le 21 avril 2012 par MrCorlolol

 

 

 

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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 18:27

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francesoir.fr - Publié : 21/04/12 - 18h19

 

Quelques centaines de personnes (militants du mouvement des Indignés ou simples citoyens) venues d'Ile-de-France mais aussi, à pied, de Toulouse, Bayonne, Marseille, Angers et Lille, se sont rassemblées samedi à Paris pour dénoncer la "mascarade électorale", que représente l'élection présidentielle.

 

 

Les Indignés venus de toute la France se sont retrouvés à Paris ce samedi
Les Indignés venus de toute la France se sont retrouvés à Paris ce samedi MaxPPP/PHOTOPQR/LA PROVENCE

« Les loups sont entrés dans Paris » chantait Serge Reggiani. Ce samedi, les Indignés en ont fait de même. Venus des quatre coins du pays, quelque centaines de personnes se sont rassemblées dans la capitale afin de dénoncer « la mascarade électorale » que symbolise l'élection présidentielle. Tous ne sont pas militants du mouvement des Indignés, il y a aussi beaucoup d'individus lambdas, mais l'objectif est commun : faire entendre leurs voix à la veille du premier tour. Ainsi, au son des tambours, les « marches populaires », parties entre le 3 mars (Marseille) et le 7 avril (Angers), ont convergé jusqu'à Paris pour demander « une démocratie réelle », car « les candidats actuels ne nous représentent pas », a expliqué Yannick, 27 ans, venu en marchant de Bayonne.

 

Cliquez ici !

Les centaines de personnes présentes sont partis de Toulouse, de Bayonne, de Marseille, d'Angers et de Lille et ont retrouvé les participants de la « marche des banlieues », qui s'est élancée le 15 avril de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). « Parmi les candidats, il n'y a jamais le candidat que je voudrais. Et je ne suis pas le seul à penser ça », assure Yannick. « A nous de nous réorganiser, pour au moins au niveau local, avec des assemblées démocratiques, nous faire entendre et mettre en place des idées alternatives en matière d'environnement, de santé, d'éducation, d'alimentation », ajoute-t-il, avouant que même s'il n'est pas satisfait, il votera quand même, par procuration, « pour un candidat plutôt de gauche et plutôt proche des questions environnementales ».

 

"Réduire le productivisme"

Rassemblés à la Fontaine des Innocents du quartier des Halles (Ier arrondissement), derrière des banderoles sur lesquelles il était inscrit « Indignez-vous ! », les manifestants ont déploré, à l'instar d'Arthur, 26 ans, de Toulouse, que « dans le panel des candidats, il y ait des idées et des alternatives qu'on ne nous propose jamais, comme par exemple réduire le productivisme ». Etudiants, enseignants, coiffeurs, aides-soignants, sans emploi ou retraités, militants du mouvement des « Indignés » ou simples citoyens, parmi l'ensemble des manifestants « certains n'iront pas voter, d'autres voteront blanc ou nul, ou peut-être pour un candidat qui se dit anticapitaliste », déclare l'un d'entre-eux.

« Les politiciens portent les attentes des financiers, pas nos attentes, et les décisions se prennent au niveau européen, loin de nous », a regretté Maryline, 38 ans, de Paris. Les manifestants devaient ensuite se rendre au Champ-de-Mars (VIIe), où ils espèrent pouvoir rester jusqu'au 12 mai, journée d'actions internationale de tous les Indignés, un an après le début du mouvement espagnol.

 

Par Actu France Soir (avec AFP


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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 16:31

 

Le Monde - il y a 1 heure

 

Des Indignés venus de tous les coins de France se sont rassemblés samedi 21 avril à Paris, à la veille du premier scrutin présidentiel.

Des Indignés venus de tous les coins de France se sont rassemblés samedi 21 avril à Paris, à la veille du premier scrutin présidentiel.AFP/KENZO TRIBOUILLARD


Quelques centaines de personnes, militants du mouvement des Indignés ou simples citoyens, venues d'Ile-de-France mais aussi, à pied, de Toulouse, Bayonne, Marseille, Angers et Lille, se sont rassemblées samedi 21 avril à Paris pour dénoncer une "mascarade électorale". Au son des tambours, les "marches populaires", parties entre le 3 mars (Marseille) et le 7 avril (Angers), ont convergé jusqu'à Paris pour demander, à la veille du premier tour de l'élection présidentielle, "une démocratie réelle".

 

"Parmi les candidats, il n'y a jamais le candidat que je voudrais. Et je ne suis pas le seul à penser ça", dit-il. "A nous de nous réorganiser, pour au moins au niveau local, avec des assemblées démocratiques, nous faire entendre et mettre en place des idées alternatives en matière d'environnement, de santé, d'éducation, d'alimentation", explique Yannick, 27 ans, venu à pied de Bayonne. Rassemblés à la Fontaine des Innocents du quartier des Halles dans le Ier arrondissement, les manifestants devraient ensuite se rendre au Champ-de-Mars dans le VIIe arrondissement, où ils espèrent pouvoir rester jusqu'au 12 mai, journée d'actions internationale de tous les "Indignés", un an après le début du mouvement espagnol.

 

 

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