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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 22:37

PCF Section Alès / UL CGT Alès / FSU / Collectif Gaz de Schiste Anduze / PG Alès-Cévennes /PG Comité G.
Tillon / PCF fédération Gard / CGT Richard Ducros / Comité de défense des services publics-Vivre en Cévennes /
CGT Territoriaux du Pays Gd Combien / CGT SDIS / Clarté et Démocratie St. Martin de V. / Citoyens Solidaires
Alès / CGT Cheminots / NPA / Les Alternatifs / UL Solidaires Alès / CGT Conseil Général / CGT Carmi (sécu
minière) / ATTAC Alès-Cévennes / CGT Merlin Gérin / CGT Shelbox / CGT Chômeurs Rebelles / CGT
métallurgie Alès / Femmes Solidaires / UR CGT mineurs / UD CGT Gard / Clarté et Démocratie Saint Christol lez
Alès / Mouvement de la Paix/ Réseau Education Sans Frontière / collectif Nîmes-Antischiste / objecteurs de
croissance / NPA / PCF Gardonnenque / ANCAC

Alès, le 30 sept. 2011

 


SARKOZY CASSE TOUT
DISONS-LUI « CASSE-TOI ! »


Sarkozy le 4 octobre à Alès.


Nous manifesterons notre colère.
C’est pour offrir aux riches que Sarkozy casse l’emploi, brise les solidarités, les services
publics (santé, école, retraites, …) et étrangle les communes, faisant des Cévennes un
désert social et bientôt un désastre écologique. Il prive d’avenir les jeunes.
C’est pour faire diversion qu’il oppose les populations entre elles et attise les haines.
Sarkozy et son fidèle ami député-maire UMP d’Alès M. ROUSTAN sont ceux qui mènent
une politique au service des requins comme leur complice FAYAT qui s’est payé
impunément la liquidation du fleuron Richard DUCROS, le sacrifice de centaines de
salariés, leur savoir faire et l’appauvrissement aggravé du bassin d’Alès déjà parmi les
plus pauvres de France !
La crise mondiale qu’ils provoquent en reportant sur les peuples leur dette qui est celle
des banquiers, enrichit toujours plus les plus riches, affame les peuples et prive les états
d’investissements pour l’humain.
Sarkozy a offert à des multinationales pétrolières le droit de fragmenter en profondeur ce
sol cévenol pour en tirer des gaz de schistes pour enrichir une poignée d’actionnaires au
prix d’une pollution extrême et d’un réchauffement accru de la planète avec ce gaz fossile
alors qu’il y a urgence en matière d’énergies renouvelables.
Et il oserait venir parader impunément sur notre terre !
C’est pour préserver les Cévennes des agressions humaines que l’UNESCO vient de
labelliser cette terre de résistances et de conquêtes sociales, pas pour frimer.
Sarkozy y est donc indésirable !
Non, il ne souillera pas cette terre blessée par les politiques libérales dévastatrices
sans entendre des milliers de voix monter des vallées, descendre des collines, sortir
des cités pour retentir dans la rue.
Ici, loin du Fouquet’s et des valises occultes, c’est un peuple résistant, la tête haute,
qui fera entendre sa colère, sa soif citoyenne de justice, de solidarité et de liberté.


MANIFESTATION D’INDIGNATION
MARDI 4 OCTOBRE DES 11H
DEVANT RICHARD DUCROS / ROCADE CROUPILLAC 

 

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 15:27

Mardi : Nicolas Sarkosy au MUSÉE du DÉSERT !

 

Nous, habitants des Vallées Cévenoles, appelons à un grand rassemblement

 

LUNDI 3 OCTOBRE

17h30

ÀMIALET(parkingduFoyer)

 

Manifestons notre indignation à l’utilisation du symbole de la résistance cévenole !

Nos valeurs habituelles de fraternité, d’accueil et de résistance s’opposent aux politiques actuelles d’injustice et d’inégalité.

 

À l’issue de ce rassemblement, nous envisagerons les actions à venir.

 

LeshabitantsdesValléesCévenoles

Contact : habitantsdesvalleescevenoles@gmail.com

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 12:08
Les voilà présenté sous forme d'amendement par la commission action Bastille
Suppression = barré
ajouts en italique.
Le 15 octobre – Tous ensemble
pour un changement mondial
que règne la justice
Le 15 octobre des gens du monde entier descendront dans les rues et sur les places. De l’Amérique à l’Asie, de l’Afrique à l’Europe, ces personnes se mobilisent pour réclamer leurs droits et exiger une vraie démocratie. Maintenant il est temps de nous réunir dans une protestation révolution mondiale non-violente.
Le pouvoir en place travaille au profit de quelques-uns en ignorant aussi bien la volonté de la majorité que le prix humain et environnemental que nous payons. Cette situation intolérable doit cesser.
Unis d’une seule voix, nous allons faire savoir aux politiciens, et aux élites financières qu’ils servent, que c’est à nous, le peuple, de décider de notre avenir.
Nous ne sommes pas des marchandises entre leurs mains, ni entre celles des banquiers, qui ne nous représentent pas.
Le 15 octobre nous nous rencontrerons dans les rues afin d’initier le changement mondial que nous voulons. Nous allons manifester pacifiquement, débattre autour de revendications et nous organiser jusqu’à obtenir satisfaction.
Sont proposées :
Abolition de toutes les formes de violence et de domination :
- sexisme, racisme, discriminations contre les religions, homophobie.
- guerres, occupation, colonisation,
- exploitation
- Abolition des dettes indignes
Contre toutes les discriminations de toutes sortes = égalité des droits pour tous
- Sécurité sociale universelle
- Liberté de circulation
- droit à l'autodétermination des peuples
Démocratie réelle universelle
Il est temps de nous d'unir nos forces autour d'objectifs communs. Il est temps pour eux de nous écouter.
Peuples du monde, mobilisez-vous le 15 Octobre !
 
 
Le 15 octobre – Tous ensemble pour faire régner la justice
Le 15 octobre des gens du monde entier descendront dans les rues et sur les places. De l’Amérique à l’Asie, de l’Afrique à l’Europe, ces personnes se mobilisent pour réclamer leurs droits et exiger une vraie démocratie. Maintenant il est temps de nous réunir dans une protestation mondiale non-violente.
Le pouvoir en place travaille au profit de quelques-uns en ignorant aussi bien la volonté de la majorité que le prix humain et environnemental que nous payons. Cette situation intolérable doit cesser.
Unis d’une seule voix, nous allons faire savoir aux politiciens, et aux élites financières qu’ils servent, que c’est à nous, le peuple, de décider de notre avenir.
Nous ne sommes pas des marchandises entre leurs mains, ni entre celles des banquiers, qui ne nous représentent pas.
Le 15 octobre nous nous rencontrerons dans les rues afin d’initier le changement mondial que nous voulons. Nous allons manifester pacifiquement, débattre et nous organiser jusqu’à l’obtenir.
Il est temps de nous unir autour d'objectifs  communs.
 Il est temps pour eux de nous écouter.

OCTOBER 15TH – UNITED FOR #GLOBALCHANGE
On October 15th people from all over the world will take to the streets and squares. From America to Asia, from Africa to Europe, people are rising up to claim their rights and demand a true democracy. Now it is time for all of us to join in a global non violent protest.
The ruling powers work for the benefit of just a few, ignoring the will of the vast majority and the human and environmental price we all have to pay. This intolerable situation must end.
United in one voice, we will let politicians, and the financial elites they serve, know it is up to us, the people, to decide our future.
We are not goods in the hands of politicians and bankers who do not represent us.
On October 15th, we will meet on the streets to initiate the global change we want. We will peacefully demonstrate, talk and organize until we make it happen.
It’s time for us to unite. It’s time for them to listen.
People of the world, rise up on October 15th!
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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 13:55

L'héritage, copyright General Bye Bye

Grâce au Web, les créateurs disposent d'outils pour diffuser et de promouvoir librement leurs œuvres. Reste à en assurer le financement pour s'affranchir de l'emprise des producteurs. Pourquoi ne pas battre le rappel de ses amis internautes pour financer la création ?

S'il ne garantit pas richesse et gloire, le « crowdfunding » – littéralement « financement par la foule » – est un mode de financement participatif qui permet aux artistes de trouver des mécènes.

Sur Internet, chaque créateur peut présenter son projet et indiquer la somme qui manque pour le réaliser. Les internautes choisissent d'apporter leur obole aux chanteurs, cinéastes, journalistes… Ils donnent à la hauteur de leurs moyens et n'attendent en retour que des contreparties symboliques.

Par leurs recommandations sur les réseaux sociaux, ils peuvent agrandir le cercle des admirateurs et des donateurs. Une communauté de mécènes se crée, les « crowdfunders ».

Sur Kickstarter, 25 000 projets déjà financés

En France, Vincent Ricordeau et deux amis ont lancé, en 2010, le site KKBB pour KissKissBankBank, sur le modèle de l'américain Kickstarter. Il fait les comptes :

« Aux Etats-Unis, 8,7 millions d'euros sont collectés tous les mois sur Kickstarter, et 25 000 projets y ont déjà été réalisés. Environ 45% des projets présentés récoltent la somme nécessaire. »

Pas de risque pour le donateur : le crowdfunding est basée sur la règle du « tout ou rien ». Seul le projet qui atteint la somme escomptée, dans le temps imparti, perçoit les dons. Si la collecte rate, le donateur récupère sa mise.

En 2009, General Bye Bye doit trouver 800 euros pour boucler le budget de sa tournée aux Etats-Unis. Partant du principe que « ce qui fait gagner de l'argent à un groupe, c'est son public », il commence par faire tourner le chapeau sur les sites de crowdfunding.

Le leader du groupe Philippe Beer-Gabbel sait qu'un projet réussi est un projet qui donne envie. « On avait besoin d'une vidéo courte, didactique et drôle pour attirer les gens. » Le groupe poste sur KKBB un petit film décalé.


En quelques semaines, la somme est réunie. KKBB prélève 10% de commission (hors TVA) mais n'exerce aucun droit sur l'utilisation des fonds. General Bye Bye part en tournée. Depuis, son leader est rôdé au crowdfunding :

« Je tiens à jour une mailing list pour rester en contact avec nos fans. Il faut communiquer de manière intelligente et ne pas se sentir gêné d'insister : en général, les gens ne donnent de l'argent qu'au bout du septième message ! »

Si chaque site de crowdfunding a ses règles propres, le principe est de garantir au créateur la propriété intellectuelle de son projet. La participation financière des internautes étant considérée comme un don, elle ne vaut pas royalties mais offre quelques contreparties.

Ainsi, General Bye Bye s'est engagé à composer une chanson « sur mesure » à l'internaute qui a donné 150 euros. Pour le double, le groupe proposait de venir chanter tout son répertoire, chez lui.

Sur Ulule, 5 000 euros levés en trois semaines

La cofondatrice de Black Rabbit Film Adeline Monzier a elle choisi le site Ulule pour soutenir sa première production. Elle fixe l'objectif de collecte à 5 000 euros en trois semaines de temps, pendant lequel la jeune maison de production s'active à faire connaitre son projet, le court-métrage de Michaël Terraz, auteur de BD.

Pour Adeline Monzier, « la magie du cinéma opère toujours » : « Ce qui plait aux internautes, c'est de pouvoir dire qu'ils ont été à l'origine du film. » Ils sont 83 crowdfunders à avoir donné un total de 7 420 euros. La production n'en espérait pas tant. La productrice s'enthousiasme :

« On pense obtenir environ 10% du budget du film par ce moyen. Ce qui nous a impressionnés, c'est que certaines personnes ont mis des sommes considérables : 100 ou 500 euros ! Et nous avons plus d'une centaine de personnes qui attendent la sortie du film et en parleront à leur entourage »

L'opération a permis à Black Rabbit Film de démarcher plus aisément des partenaires institutionnels. La Télévision suisse romande (TSR) vient d'investir 8 000 euros dans le film. Mais hors crowdfunding, la TSR ayant décider d'être coproducteur.

« Il faut bien se dire que ce sont d'abord la famille et les amis, puis les amis d'amis qui financeront un projet, confirme le cofondateur de KKBB, Vincent Ricordeau. Seuls les projets les plus originaux peuvent créer le buzz et obtenir un plus large soutien. »

S'il passe pour la nouvelle tendance du web, le crowdfunding tend à se fondre dans la coproduction, le microcrédit ou l'investissement participatif. Il n'est plus toujours évident de les différencier.

Le chanteur Grégoire est la tête d'affiche de MyMajorCompany, un label musical communautaire adossé à l'industrie du disque. Les internautes qui ont acheté des parts de son projet de disque participent à mutualiser les risques des producteurs. Tous attendent de Grégoire un retour sur investissement plus sonnant qu'un récital à domicile.

Le financement participatif peut sembler utopique à un investisseur aguerri. Mais les crowdfunders ont le goût du mécénat et l'esprit de réseau. Leur plaisir est de faire advenir des projets Triple A – artistiques, alternatifs, atypiques. Ceux-là même qui rebutent les producteurs grand public, parce qu'ils les jugent trop risqués.

Florent Chevallier pour Reporters d'Espoir

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 23:02

Nimes le 8 septembre 2011

 

Madame, monsieur,
Il ne vous a pas échappé que la question du nucléaire civil et militaire a connu
un certain nombre d'épisodes récents, malgré l'absence récurrente
d'information du public de la part des autorités et des médias :
La tragédie de Fukushima au Japon, et ses suites;
Les décisions de divers pays de sortir du nucléaire;
Les incidents graves dans la construction du prototype de l'EPR de Flamanville;
Les débats et mobilisations à partir du gaz de schiste, et qui débouchent sur
des oppositions partagées du nucléaire...
Le contexte et la conjoncture internationale et locale nous amènent à penser
qu'un effort s'impose pour structurer dans notre région une opposition vivace
au développement des activités liées au nucléaire civil et militaire.
C'est pourquoi, une rencontre publique est organisée le jeudi 29 septembre à
18h30 au Centre Pablo Néruda de Nimes, dans l'objectif de créer un collectif
consacré à ces questions. Pierre Péguin, scientifique, militant du Collectif
Cevennes-Garrigue stop au nucléaire, fera une introduction sur les raisons qui
justifient un tel Collectif à Nîmes.
Nous vous sollicitons afin que votre organisation soutienne l'initiative de cette
rencontre publique; votre soutien, ajouté à d'autres, pourrait donner du poids
et de la visibilité à cet évènement public.
Une fois structuré, ce collectif définira lui-même la nature de ses relations avec
votre organisation.
Nous vous remercions de bien vouloir communiquer cette information à vos
réseaux, et de nous retourner votre réponse avant le 14 septembre 2011 afin
que nous communiquions l'information.
Salutations antinucléaires,
les premiers signataires de cet appel: AG de Nimes, Les Alternatifs, Fédération
anarchiste.

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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 11:29

NOUS CITOYENS DE LA PLAZA DEL SOL ET DE SYNTAGMA MANIFESTONS NOTRE INDIGNATION ET INVITONS TOUS LES INDIGNES DE TOUTES LES PLACES A NOUS REJOINDRE.

 

Des USA à Bruxelles, de Grèce en Bolivie, d’Espagne en Tunisie, la crise du capitalisme s’approfondit. Responsables en sont ceux qui nous imposent des recettes pour la dépasser. Celles-ci sont : Transfert des ressources publiques à des institutions financières privées  tandis qu’ils font payer la facture aux peuples avec des plans d’ajustement qui ne nous font pas sortir de la crise mais nous y enfoncent davantage.

 

Dans l’UE, les attaques des marchés financiers contre les dettes publiques font chanter les gouvernements et prennent en otage les parlements, lesquels adoptent des mesures injustes dépourvues de toute légitimité démocratique et derrière le dos de leurs peuples. Les institutions européennes, au lieu de prendre des décisions politiques  fortes face aux attaques des marchés financiers, elles s’alignent à ceux-ci.   

 

Dès le début de cette crise, nous assistons a une tentative de convertir la dette privée en dette publique. Il s’agit de  socialiser impunément des pertes après avoir privatisé scandaleusement les profits.

 

Les taux d’intérêt élevés imposés afin d’obtenir le financement, ne sont pas dus aux doutes concernant notre solvabilité, mais  aux manœuvres spéculatives que réalisent pour s’enrichir les grandes entreprises financières, en connivence avec les Agences de Notation.

 

Les coupes économiques sont accompagnées par des restrictions des libertés démocratiques.  Citons parmi celles-ci, des mesures de contrôle et d’expulsion de la population immigrée ainsi que des limitations à la libre circulation des Européens dans l’UE. Seuls l’euro et la libre circulation des capitaux spéculatifs ont les frontières ouvertes.

 

Dans l’Etat Espagnol, nous sommes soumis à un processus d’arnaque collective. La dette publique (60% du PIB) N’EST PAS UN PROBLEME et pourtant ils l’utilisent comme prétexte pour nous faire croire que nous sommes dans une situation grave, qui justifie les dures attaques contre nos droits et notre patrimoine qui sont en cours et menacent de croitre. Au contraire, la dette privée (240% du PIB) est un vrai problème, mais au lieu d’appliquer aux banques les mesures d’austérité ils leur accordent des aides et des privilèges de toute espèce aux dépens du trésor public. La plus grande « aide » est la cession à des prix imbattables de presque la moitié du système de nos Caisses d’Epargne,  ainsi que des entreprises et activités rentables.

Pendant ce temps, contrevenant à plusieurs droits fondamentaux, l’accès à la Puerta del Sol, épicentre du mouvement du 15 mai (15M) est resté interdit.

 

En Grèce, ils nous ont imposé des Memoranda.  Ils nous ont dit que les coupes, l’austérité et les nouveaux impôts sont des sacrifices nécessaires pour faire sortir le pays de la crise et diminuer la dette.  Ils nous ont menti !

 

Jour après jour des nouvelles mesures sont prises, les salaires sont amputés, le chômage monte en flèche, la jeunesse émigre.  Et la dette n’arrête pas de gonfler, parce que les nouveaux emprunts sont destinés à payer les énormes intérêts de nos créanciers. Les déficits  de la Grèce et des autres pays du Sud européen deviennent les surplus des banques de l’Allemagne et des autres pays riches du Nord.

 

Les responsables pour le gonflement de la dette ne sont pas les salaires et les pensions de retraite. Les responsables sont les grands allégements fiscaux et les subventions en faveur du capital, la grande bouffe des armements des produits pharmaceutiques. Ils nous mettent en faillite afin d’appliquer des mesures et des coupes catastrophiques, afin de vendre la terre et les biens publics à des prix défiant toute concurrence.

 

Nous disons :

 

·       Qu’ils retirent leurs memoranda ! Qu’ils s’en aillent ! Nous ne voulons pas le gouvernement du FMI et de la Troïka.

·       Nationalisation des banques. Avec ses plans de sauvetage, l’Etat les a déjà payées bien au-dessus de leur valeur boursière pour qu’elles continuent à spéculer.

·       Ouvrir au peuple les livres de la dette pour que nous sachions où est allé l’argent. 

·       Redistribuer radicalement les richesses  et changer la politique fiscal pour faire payer les possédants : les banquiers, le capital et l’Eglise.

·       Nous voulons le contrôle populaire démocratique sur l’économie et la production.

 

Pour tout ca, les deux places ensemble NOUS DECLARONS que :

 

LES POLITIQUES D’AJUSTEMENT QU’ILS APPLIQUENT NE NOUS FERONS PAS SORTIR DE LA CRISE, MAIS NOUS ENFONCERONT PLUS PROFONDEMENT DANS CELLE-CI. ILS NOUS ENTRAINENT DANS UNE SITUATION LIMITE AFIN D’APPLIQUER DES MESURES DE SAUVETAGE, QUI EN REALITE SAUVERONT LES BANQUES CREANCIERES, QUI VONT SE CONCRETISER EN GRAVES ATTAQUES CONTRE NOS DROITS, NOS ECONOMIES FAMILIALES ET NOTRE PATRIMOINE PUBLIC.

Nous devons NOUS INDIGNER et NOUS REVOLTER contre pareilles attaques. C’est ce que nous faisons avec le mouvement 15M dans la Place de la Puerta del Sol  et à partir de l’Assemblée Populaire de Syntagma. Nous invitons tous les indignés de toutes les places à s’y joindre.

 

·       Stop aux plans d’ajustement et de sauvetage

·       Non au paiement de la dette illégitime. Cette dette n’est pas la notre ! Nous ne devons rien, nous ne vendons rien, nous payerons rien !

·       Pour une démocratie directe et réelle MAINTENANT.

·       Défendre le public. Pas une vente de propriété ou de services publiques.

 

Pour la coordination de tous les indignés de toutes les places.

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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 14:53

Le procès des 60 Faucheuses et Faucheurs de la vigne OGM de l'INRA en 2010 aura lieu à Colmar les 28, 29, 30 septembre 2011.
Au programme : Procès, manifestations, informations diverses, dégustations vins sans OGM.
Nous affrétons un bus au départ de Nîmes (gare routière) le mardi 27 septembre départ à 23h.
Arrivée à Colmar à 7h30
Retour le mercredi 28 septembre départ à 19h30
Arrivée à Nîmes à 4h00.
Participation aux frais entre 40 à 50 euros, le prix ne doit pas être un frein pour les volontaires désargentés (caisse de solidarité).
Ceux qui ne peuvent s'y rendre mais soutiennent peuvent faire un geste financier.
Inscriptions avec vos noms et coordonnées téléphoniques. Réservez vos places car les inscriptions seront effectuées par ordre chronologique.

Nous comptons sur vous !

  
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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 13:07

Pacte Euro+ : dégage !

 

Le parlement européen s’apprête à voter le 15 septembre six propositions législatives qui durciront le Pacte pour l’Euro, pour sauver une fois de plus les banques.

 

Cela renforcera les plans d’austérité au mépris de la volonté populaire.

 

Les conséquences seront :

 

-      affaiblissement des protections sociales,

-      destruction des Services Publics,

-      appauvrissement des populations

-      souveraineté démocratique muselée 

 

Le processus par lequel ces mesures sont adoptées est antidémocratique. Ainsi le président de la Commission européenne parlait en 2010 d’une « révolution silencieuse ».

 

Nous, Indigné-e-s de la Bastille (+…), disons non à cette contre-révolution, au pacte euro+ et à la nouvelle gouvernance économique ! Il faut mettre fin aux politiques d’austérité. Cette dette n’est pas la nôtre !

 

Ensemble, nous pouvons construire une autre Europe, un autre monde,

et mettre en œuvre une réelle démocratie

par la mobilisation internationale 

è le 15 septembre, contre le pacte euro+

è le 17 septembre contre les banques

è le 15 octobre dans le cadre de la journée mondiale d’action.

 

 

INDIGNONS-NOUS, REJOINGEZ-NOUS !

 

Assemblée Générale de Paris

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 15:29

LEMONDE | 30.08.11 | 17h28   •  Mis à jour le 30.08.11 | 18h44

 
 

 

Une vingtaine de jeunes gens finalisent un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante.

Une vingtaine de jeunes gens finalisent un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante.Conspiritech / Wikimedia commons

Un immeuble confortable et anonyme, au cœur de Washington, à quelques rues de la Maison Blanche. Dans une enfilade de bureaux au fond du 5e étage, une vingtaine de jeunes gens, surtout des garçons, travaillent discrètement, dans une ambiance à la fois studieuse et décontractée. Cette petite équipe, composée d'informaticiens, de juristes et de sociologues, est en train de réaliser l'utopie suprême des hackers et des militants libertaires du monde entier : un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante – ni relais téléphonique, ni câble, ni satellite. Ils seront mouvants, horizontaux, entièrement décentralisés et échapperont à toute surveillance, car le trafic sera anonyme et crypté.


Ce projet ambitieux – nom de code Commotion– est dirigé par Sascha Meinrath, 37 ans, militant de longue date de l'Internet libre et précurseur des réseaux citoyens – au sein du collectif de journalistes en ligne Indymedia, puis à l'université d'Urbana-Champaign (Illinois), un des berceaux du logiciel libre, et dans diverses start-up et ONG d'action sociale : "J'ai bricolé mon premier réseau autonome il y a dix ans. Les antennes étaient faites avec des boîtes de conserves." Depuis ces temps héroïques, Sascha Meinrath a fait du chemin. Dans sa version actuelle, Commotion est un projet très officiel. Il est hébergé et financé par l'Open Technology Initiative (OTI), département high-tech de la New America Foundation, organisme prestigieux consacré à l'étude des grands problèmes de la société américaine, et présidé par Eric Schmidt, l'un des patrons de Google.

Grâce à cette tutelle, Sascha Meinrath dispose d'un budget annuel de 2,3 millions de dollars (1,6 million d'euros), auxquels est venue s'ajouter une subvention exceptionnelle de 2 millions, octroyée par le département d'Etat. En effet, les diplomates américains s'intéressent de près à la technologie des réseaux sans fil autonomes, légers et faciles à installer. Ils espèrent les déployer bientôt sur le terrain dans diverses situations d'urgence : dans des zones dévastées par une guerre ou une catastrophe naturelle ; dans les régions les plus déshéritées de la planète, où les populations sont privées de moyens de communication modernes ; et, enfin, comme "outil de contournement" dans des pays dictatoriaux, pour aider les dissidents politiques à communiquer entre eux et avec le reste du monde, en déjouant la surveillance policière et la censure. "Fin 2010, se souvient Sascha Meinrath, j'ai appris un peu par hasard que le département d'Etat avait décidé d'aider ce type de recherches. Nous avons déposé un dossier, en concurrence avec d'autres organisations, et nous avons été choisis. Les autres projets s'appuyaient en partie sur les infrastructures existantes, alors que Commotion les court-circuite entièrement."

"LE SEUL OUTIL À APPORTER SUR LE TERRAIN, C'EST UNE CLÉ USB"

La subvention fédérale n'a pas suffi à transformer l'équipe de Commotion en fonctionnaires. Josh King, 28 ans, le responsable technique, a gardé son look très rebelle – vêtu de noir de la tête aux pieds, avec chaîne, piercing et cheveux en bataille... Son bureau est encombré d'appareils de toutes sortes, sur lesquels il fait des tests approfondis, car Commotion doit pouvoir fonctionner avec un assemblage hétéroclite. Ses logiciels transforment un routeur Wi-Fi ordinaire, un simple PC ou un smartphone en relais intelligents, capables de connaître en temps réel la configuration du réseau, et de trier les données pour les envoyer vers leurs destinataires, ou vers un autre relais, plus proche du but. Par ailleurs, Commotion peut être facilement raccordé au reste du monde : il suffit qu'un seul des appareils soit connecté à Internet pour que tous les autres profitent de l'accès. "En fait, résume Josh King, le seul outil indispensable à apporter sur le terrain, c'est une clé USB contenant les logiciels, qui doivent être installés sur chacun des appareils appelés à faire partie du réseau." Depuis le printemps 2011, OTI propose des éléments de Commotion en téléchargement libre sur Internet. Une version de travail complète sera disponible en septembre, afin que des experts de tous les pays puissent l'étudier et faire des suggestions. Sascha Meinrath ne sait pas exactement qui télécharge quoi, car il ne garde aucune trace des internautes venant sur le site : "Si nous conservions une liste de nos visiteurs, nos serveurs pourraient être piratés par différents gouvernements – y compris le nôtre."

Récemment, OTI a reçu des messages de militants du "printemps arabe", vivant en Egypte, en Syrie, en Libye, à Bahreïn et au Yémen : "Ils veulent se procurer Commotion, mais nous essayons de les dissuader. C'est trop tôt, il n'est pas sécurisé, ce serait risqué de s'en servir contre un régime répressif. Cela dit, si ça se trouve, des groupes clandestins utilisent déjà des versions provisoires, sans nous le dire. Certains interlocuteurs sont peut-être des agents au service des dictatures, mais peu importe, nous montrons la même chose à tout le monde."

Sascha Meinrath se donne jusqu'à fin 2012 pour produire une version utilisable par le grand public. Pour aller plus vite, OTI s'approprie des systèmes mis au point par d'autres équipes. Pour la sécurisation, Commotion va intégrer les programmes du projet TOR (The Onion Router), inventé par une bande d'hackers allemands et américains pour circuler sur Internet en évitant d'être repéré. TOR a notamment été utilisé pour protéger les communications du site WikiLeaks –qui a divulgué en 2010 des masses de documents secrets appartenant au gouvernement des Etats-Unis. L'un des créateurs de TOR, l'Américain Jacob Appelbaum, fut un temps très proche de l'équipe de WikiLeaks. A deux reprises, en 2010, il a été arrêté par la police américaine, qui l'a interrogé sur ses activités au sein de WikiLeaks et a saisi ses téléphones et ses ordinateurs. Or, Jacob Appelbaum est aussi un ami personnel de Sascha Meinrath, qui fait appel à lui comme conseiller pour la mise au point de Commotion.

Pour expliquer cette situation paradoxale, Sascha Meinrath évoque la "schizophrénie" du gouvernement fédéral : "Parmi les responsables de Washington, il y a encore des gens formés pendant la guerre froide, qui rêvent de tout bloquer et de tout surveiller, mais il y a aussi des jeunes arrivés avec Obama, qui sont partisans de la transparence et de la liberté d'expression. En privé, de nombreux fonctionnaires du département d'Etat étaient en colère de voir leur hiérarchie critiquer WikiLeaks aussi violemment. Selon eux, l'affaire aurait pu être l'occasion de montrer au monde que les Etats-Unis savent défendre la liberté d'expression et la transparence, en toutes circonstances."

A présent, Jacob Appelbaum participe à un vaste projet baptisé Freedom Box – un ordinateur basique et bon marché transformé en serveur crypté et sécurisé pour le grand public. Sascha Meinrath envisage d'intégrer Freedom Box au réseau Commotion, notamment pour bénéficier d'une fonction dite de "connexion différée" : "Par exemple, lors d'une manifestation réprimée par la police, un manifestant prend une photo avec un smartphone connecté à Commotion. Internet a été coupé ce jour-là dans le quartier par les autorités, la photo ne peut pas sortir du pays, mais grâce à Commotion, elle est stockée à l'abri, sur une freedoom box locale. Puis, dès qu'Internet est rétabli, la box envoie automatiquement la photo dans le monde entier."

LES ENTREPRISES DE TÉLÉCOMS, ENNEMIS POTENTIELS

OTI songe à intégrer d'autres appareils expérimentaux, qui permettront aux utilisateurs de partager des masses de fichiers lourds, de faire transiter sur Commotion des appels téléphoniques passés avec des mobiles ordinaires, de transmettre des données dans toutes les gammes de fréquences, et même d'interconnecter plusieurs réseaux voisins : "En juillet, raconte Sascha Meinrath, une équipe d'hackers en camionnette a monté un réseau éphémère, couvrant une zone de 60 km sur 30, à cheval sur l'Autriche, la Croatie et la Slovénie. C'est la preuve qu'on peut fournir une connexion Internet à toute une zone frontalière, sans être physiquement présent dans le pays." Commotion n'est pas prêt pour un déploiement dans les zones à risque, mais il peut déjà être testé aux Etats-Unis – par exemple, dans les quartiers pauvres des grandes villes, dont les habitants ne peuvent pas se payer d'abonnement Internet classique. A Washington, à Detroit, et dans une réserve indienne californienne, l'OTI est entré en contact avec des associations de quartiers et des groupes militants qui avaient entrepris de créer des réseaux sans fil sauvages, pour offrir aux habitants des accès Internet gratuits. Grâce à son expertise et à son carnet d'adresses, l'équipe d'OTI a fourni à ces amateurs une aide technique et financière décisive.

Cette fois, les ennemis potentiels sont les entreprises de télécoms, qui pourraient faire pression sur les autorités, pour qu'elles tuent ces initiatives citoyennes à coups de lois et de restrictions bureaucratiques. Sascha Meinrath est conscient de la menace : "Notre technologie va bousculer pas mal de choses, y compris aux Etats-Unis. Si les gens se mettent à construire leurs propres réseaux, le business model des groupes de télécoms va s'effondrer. Il faut s'attendre à ce qu'ils contre-attaquent brutalement." Commotion devra aussi affronter l'hostilité des majors d'Hollywood, car il peut faciliter le piratage des œuvres sous copyright. Sascha Meinrath est à la fois fataliste et optimiste : "Que ce soit aux Etats-Unis, au Moyen-Orient ou ailleurs, qui va mettre en place ces réseaux alternatifs ? Pas des vieux, on le sait. Ce sont les ados qui vont s'en emparer. Ils s'en serviront pour contester l'ordre établi et aussi pour partager leur musique et leurs films. Ce sera peut-être négatif pour les détenteurs de droits, mais le bilan global sera très positif."

Yves Eudes

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 12:14

15 Septembre 2008 : La Banque américaine Lehman Brothers faisait faillite. Cet évènement marqua le début de la "crise financière" des subprimes qui entraînera d'autres faillites d'institutions financières qui avaient investi leurs actifs dans des "produits financiers toxiques". La panique qui en résulta entraîna les puissances publiques du monde entier à s'endetter de façon colossale, auprès des banques et marchés financiers, pour sauver d'autres banques de la faillite en les renflouant.

Tout naturellement, les Etats qui se sont endettés pour sauver ces banques se sont rapidement trouvés en situation critique de quasi-défaut de paiement. Incapables de se refinancer en faisant appel à l'émission monétaire (procédé jadis naturel puisque régalien, aujourd'hui interdit depuis 1913 aux Etats-Unis, et depuis 1973 en France), ils ont entrepris des "plans de rigueur budgétaire" asphyxiant encore d'avantage l'économie réelle et livrant les patrimoines publics aux spéculateurs, véritables rapaces dont le cynisme n'a manifestement aucune limite. Ce véritable putsch du cartel bancaire trouve en France sa réalisation ultime dans la "règle d'or", dont j'ai eu l'occasion d'évoquer la nature abjecte dans un article précédent, "Instituer la règle d'or : Abattre l'arbre des possibles".

Ce rapide résumé de la situation ne peut que révolter les citoyens sincères qui ne peuvent se résoudre à voir la souveraineté de la France ainsi livrée aux spéculateurs apatrides ; il ne peut qu'exaspérer les millions de travailleurs Français qui sont contraints, quotidiennement, de verser une part grandissante du fruit de leur labeur à l'Etat, Etat qui, dans une posture schizophrène (et coupable), continuera à ponctionner notre Peuple pour enrichir des institutions financières et contribuer de ce fait à pérenniser un système absurde qui détruit l'économie réelle et les patrimoines publics.

Face ce putsch bancaire, nous devons résister. Cette guerre de la Banque, contre les Peuples qu'elle entend mâter, met en lumière la totale inadaptation des moyens classiques de résistance politique. Ce n'est pas par des manifestations ou par de quelconques pétitions que nous ferons plier un pouvoir bancaire aux ramifications nombreuses et aux auxiliaires zélés. Et c'est parce que nous sommes désarmés, et donc désemparés, que l'oligarchie politico-financière peut se livrer à ce pillage abjecte.

Cette analyse, je ne suis pas le premier à la faire, et elle fut notamment exprimée à l'occasion du premier BankRun organisé, le 7 Décembre 2010, qui eu un succès relatif mais qui eu au moins le mérite de poser les jalons d'une nouvelle forme de résistance, en ébauchant ce que pourrait être une dissidence économique organisée.

En ces temps d'imposture politique, où les gouvernements et le pouvoir bancaire travaillent ensemble aux pillages des Nations et à la destruction des souverainetés populaires, il semble urgent d'organiser la riposte populaire, par une dissidence économique et politique organisée et coordonnée, comme nous avons commencé à le faire par le Projet Spartacus.

Le 15 Septembre prochain, 3 ans jour pour jour après la faillite de Lehman Brothers, nous réaliserons un nouveau BankRun. Nous devrons nous mobiliser en masse, mobiliser nos réseaux respectifs, et converger dans cette action commune de dissidence économique : fermer nos comptes et livrets bancaires, retirer un maximum d'argent aux distributeurs de billets, et créer ainsi un "effet boule de neige" susceptible de s'accentuer, de s'autoalimenter, pour menacer véritablement le pouvoir bancaire en le privant de liquidités.

J'espère pouvoir compter sur le soutien des organisations Françaises de résistance, sur celui des sites internets et des blogs, pour relayer cet évènement. Tous les dissidents Français sont invités à y participer activement, à diffuser ce message, par mails ou par les réseaux sociaux. Sur le terrain, les Brigades de la Dissidence vont propager ce message par le biais d'une affiche réalisée spécialement pour l'occasion.

Le BankRun du 15 Septembre devra être une action de grande ampleur, concrétisant notre volonté de dissidence économique et notre résistance à l'hégémonie du pouvoir bancaire. Le 15 Septembre, on fait sauter la Banque !

Vincent V le 29 Aout 2011


__________________

Un évènement lancé par La Dissidence : http://la-dissidence.org/

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