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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 15:30

 

Source : http://www.lemonde.fr

 

 

Attac bloque une agence de la Société générale

Le Monde.fr avec AFP |


 

 

 

 

 

En images

 

Une cinquantaine de militants de l’Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne (ATTAC) ont bloqué, jeudi 7 avril au matin, les accès à une agence de la banque privée Société générale à Paris pour protester contre son implication dans le scandale provoqué par les « Panama papers » et l’évasion fiscale en France.

 

Le Monde.fr avec AFP
 

 

Source : http://www.lemonde.fr

 

 

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 15:01

 

Source : http://blogyy.net

 

Pas d’autorisation à demander
 

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Beaucoup de projections de « Ne vivons plus comme des esclaves » et de « Je lutte donc je suis » dans les facs, lycées ou amphis occupés ces jours-ci…

Rappelons qu’IL N’Y A AUCUNE AUTORISATION À DEMANDER. C’est simple, rapide et entièrement gratuit.
1 – téléchargez gratuitement l’un des films sur youtube (en HD720p) ou commandez le DVD ici :
http://jeluttedoncjesuis.net/spip.php?rubrique4
2 – téléchargez gratuitement l’affiche sans texte du film ici, puis complétez-la comme bon vous semble :
http://jeluttedoncjesuis.net/spip.php?rubrique14
3 – informez-nous, si vous voulez, pour élargir la circulation de l’info.

Une projection de plus qu’on vient de nous signaler :

AUJOURD’HUI À LA FAC DE MARSEILLE ST-CHARLES (place Victor Hugo) : PROJECTION GRATUITE DE « JE LUTTE DONC JE SUIS » À 16H30 (suivre fléchage de l’entrée de la fac jusqu’à l’amphi).

Les étudiants grévistes de la fac du Mirail à Toulouse préparent également une projection et nous ont demandé un débat par skype (mais nous ne sommes pas indispensables, l’important, c’est votre lutte). Idem en régions parisienne, bordelaise et lyonnaise.

Solidairement,

Maud et Yannis

Contact : maud@jeluttedoncjesuis.net

 

 

Source : http://blogyy.net

 

 

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 13:05

 

Source : http://www.rue89lyon.fr

 

 

  • 20:20
  • 6 avril 2016
  • par Laurent Burlet
5 choses à savoir sur « Nuit Debout Lyon »
 
 

Le mouvement « Nuit Debout » se répand dans les grandes villes de France : Paris mais aussi Nantes, Strasbourg ou encore Toulouse. A Lyon, plusieurs centaines de personnes essaient également d’occuper une place publique.
Elles se sont réunies le 31 mars à la Croix-Rousse puis ce mardi 5 avril à la Guillotière. Prochain objectif : l’occupation de la place Guichard (3ème arrondissement) après la manifestation du samedi 9 avril contre la loi travail.


1. Occuper une place publique

Ce lundi, un appel avait été lancé pour à l’occupation de la place Mazagran à la Guillotière (Lyon 7ème) à partir de mardi 18h, après la cinquième manif contre la loi travail.

L’idée de « Nuit debout Lyon » est d’occuper un espace public à l’image du rassemblement continu qui se tient place de la République, à Paris. Une première tentative avait eu lieu le 31 mars à Lyon qui s’était transformée en manif sauvage sur les Pentes de la Croix-Rousse.

Mais à Lyon, ce mardi 5 avril, il a fallu compter avec les forces de l’ordre. Contrairement à la place de la République parisienne où les CRS ont pour consigne de rester à bonne distance des occupants, un imposant dispositif policier interdisait l’accès de la place Mazagran.

 

Place Mazagran à la Guillotière, des gendarmes mobiles ont été déployés pour interdire l'occupation "Nuit Debout Lyon". ©LB/Rue89Lyon

 

Place Mazagran à la Guillotière, des gendarmes mobiles ont été déployés pour interdire l’occupation « Nuit Debout Lyon ». ©LB/Rue89Lyon

300 personnes se sont alors rabattues sur un autre lieu : les quais du Rhône, sous le pont de la Guillotière. Jusqu’à 2 heures du matin, les temps d’assemblées générales et de commission ont alterné pour finir par la projection de « Merci Patron ! ».

A une « grande majorité », l’occupation de la place Guichard a été décidée pour le samedi 9 avril, après la sixième manifestation contre la loi travail. Une demande d’autorisation doit être déposée auprès de la préfecture du Rhône. Comme cela avait été fait pour la place Mazagran. Mais « hors délai », reconnaissait un coordinateur du mouvement.

A l’image du mouvement parisien, l’objectif est toujours d’occuper en continu une place publique.
Comme d’autres participants, Cyril, un intermittent de 30 ans, l’un des coordinateurs du mouvement lyonnais, cite les références espagnoles et américaines.

« Les Indignés et Occupy Wall Street courent dans toutes les têtes ».

Ces deux mouvements étaient notamment fondés sur l’occupation de places publiques par une assemblée permanente.

A Lyon, quelques dizaines d’indignés avaient occupés la place des Terreaux en novembre 2011.

 

L'assemblée générale "Nuit Debout Lyon" sous le pont de la Guillotière. ©LB/Rue89Lyon

L’assemblée générale « Nuit Debout Lyon » sous le pont de la Guillotière. ©LB/Rue89Lyon


2. Reprendre la parole

L’occupation d’une place n’est pas une fin en soi. Tous les participants de ce mouvement, des curieux aux coordinateurs, mettent en avant « l’assemblée citoyenne » permise par ce type d’occupation.

« Les manifs, c’est bien, mais elles sont accaparées par les syndicats. On veut faire entendre d’autres choses », lance une étudiante.

Mais à ce stade, difficile de dire ce que porte « Nuit Debout Lyon ». Pour Cyril, cela permet surtout de créer un « mot d’ordre unitaire ».

Sylvain, un autre coordinateur de 32 ans, qui travaille pour une ONG, affirme que le mouvement a « plein de revendications » :

« Bien sûr, on va parler de chômage, d’homophobie, de racisme ou de la loi travail. Mais on ne veut pas imposer des choses. C’est à l’assemblée de choisir les sujets de débat ».

Irène, une étudiant de 25 ans en Master de Sciences sociales, trouve le moment « magique » :

« On reprend la parole. On aborde des questions dont on ne parle plus depuis longtemps. Qu’est-ce qu’on peut faire pour se réapproprier nos vies ? Pour changer cette société esclave de la loi du marché ? »


3. Une organisation horizontale, « sans leader »

Les coordinateurs ne veulent pas être pris en photo. Ce n’est pas de la coquetterie mais la crainte de retombées dans ce qu’ils dénoncent : la personnalisation à outrance de la politique.

Au contraire, c’est l’assemblée générale souveraine qui se veut le cœur du mouvement « Nuit Debout ».

Mardi soir, à une courte majorité, l’occupation d’« un lieu culturel de premier plan » a, par exemple, été rejetée. Il a été décidé de préparer la future occupation sur la place Guichard.

Lors des débats, ce sont les techniques popularisées par les mouvements altermondialistes qui sont utilisées : on agite les mains quand on est d’accord ; on croise les bras quand on est en désaccord.

Mais de nombreuses décisions pratico-pratiques sont discutées et prises à l’échelle de commissions : « débat », « action », « bouffe », « logistique », « festif », « coordination » et « accueil et sérénité » (autrement dit sécurité et rapport avec la police).

Cette organisation en commissions commence à se roder. Pour la tentative d’occupation de la place Mazagran, le mouvement disposait par exemple d’une sono, d’un barnum et de soupe pour 300 personnes.

Pour la prochaine tentative, il manque des tables, des bâches, des palettes et un groupe électrogène.

 

 

Pour cette soirée du 5 avril, une soupe pour 300 personnes et une salade de fruit avaient été préparées. Le tout à prix libre. ©LB/Rue89Lyon

Pour cette soirée du 5 avril, une soupe pour 300 personnes et une salade de fruit avaient été préparées. Le tout à prix libre. ©LB/Rue89Lyon

4. Une majorité de jeunes non-organisés mais pas de lycéens

Mardi soir, sous le pont de la Guillotière, la grande majorité des participants avaient entre vingt ans et une trentaine d’années.
Étudiants, chômeurs, travailleurs précaires en nombre mais pas de lycéens.
Aucune des personnes rencontrées appartenaient à une organisation politique ou syndicale.

Cyril, l’un des coordinateurs, modère ce constat :

« Beaucoup de gens ne sont pas organisés mais il y a des quelques personnes du Front de gauche, de la CGT spectacle, de Sud ou des anarchistes ».

Chacun vient à titre individuel. Au vu la défiance qui règne à l’égard des politiques voire des syndicalistes, il serait plutôt mal venu de sortir drapeaux et autocollants d’une organisation.

« Les confédérations syndicales n’attendent qu’une choses, c’est l’essoufflement du mouvement », affirme une étudiante.

Fabien, un chômeur de 30 ans, a participé à la commission « débat » :

« On a discuté sur la manière de remettre de la démocratie. Comment pouvons-nous nous réapproprier la politique alors que les élus ne respectent pas leur mandat ? »

5. « Convergence des luttes » et « Merci patron ! »

A entendre les participants de la « Nuit Debout », la loi travail est « une étincelle », ou encore « la goutte d’eau » qui aurait amené les personnes à se réunir spontanément en suivant le modèle parisien.

Le mouvement est plutôt la conséquence d’un travail de plusieurs semaines de « convergence des luttes », autrement un rapprochement des différentes revendications.
« Nuit Debout Lyon » s’appuie notamment sur certains outils Internet (notamment le forum) et le compte Facebook de « l’Assemblée de Lyon ». Ce qui permet une meilleure organisation surtout pour la logistique.

Cette « Assemblée de Lyon » est issue la mobilisation contre l’état d’urgence. Un collectif s’était alors formé à qui l’on doit notamment la manifestation du 6 février. Lorsque le projet de loi travail a été rendu publique, « l’Assemblée de Lyon » a alors grandement élargi sa plateforme revendicative en ajoutant aux revendications anti-sécuritaires le retrait de la loi travail.

Le mot d’ordre national « On vaut mieux que ça », plus fédérateur et représentatif de cette « convergence des luttes », a été adopté.

Cyril, lui-même issu du Collectif unitaire 69 des intermittents et précaires, ajoute une autre origines au mouvement : le film « Merci Patron ! » de François Ruffin :

« Le film et le journal Fakir dont il est issu ont porté cette idée de convergences des luttes. Ça nous a inspirés ».

Ce sont ces mêmes personnes de « l’Assemblée de Lyon »/« On vaut mieux que ça » qui ont lancé un appel pour « Nuit Debout Lyon » le 31 mars à la Croix-Rousse puis pour une nouvelle AG le 3 avril, dans le 8e arrondissement, avec pour seule mot d’ordre « Nuit Debout Lyon ».

Ce jour-là, près d’une centaine de personnes sont venues et ont décidé de mener une occupation de la place Mazagran. On connaît la suite. Le mouvement « Nuit Debout Lyon » était lancé.

 

 

 

Source : http://www.rue89lyon.fr

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 21:46

 

Source : http://www.rue89strasbourg.com/

 

 

En direct – Suivez la #NuitDebout strasbourgeoise en vidéo

 

Des centaines de Strasbourgeois se sont donnés rendez-vous place de la République pour imiter les Parisiens qui occupent la place du même nom chaque nuit depuis le 31 mars. Ces regroupements visent à débattre d’un changement de société. Suivez en direct vidéo la manifestation.
 
 

À l’issue de la manifestation contre la réforme du code du travail du jeudi 31 mars, plusieurs milliers de personnes sont restées place de la République toute la nuit. Depuis, des centaines, voire des milliers de personnes reviennent chaque soir, avant d’être évacués au petit matin par la police.

L’initiative, que l’on compare souvent à celle des « Indignés » espagnols, vise dans un premier temps à se « réapproprier la parole et l’espace public.« . L’initiative fait des émules dans d’autres villes de France (voir la carte). C’est au tour de Strasbourg d’avoir sa première « Nuit debout ».

Quelles revendications avons-nous ? »

L’ordre du jour de cette première #NuitDebout est conséquent :

– Quelles revendications (concrètes ou théoriques) avons-nous ? Le sentiment de mécontentement peut-il aller au-delà de la simple loi travail ?
– Organisation de #NuitDebout à Strasbourg : Quelles règles de base pour s’organiser (méthodes horizontales de travail, …) et pour ne pas discréditer le mouvement (pas de drapeaux partisans, ni alcool ; pacifisme vis-à-vis des forces de l’ordre)
– Comment peut-on envisager une réelle démocratie participative/citoyenne à Strasbourg, dans ses quartiers et à l’échelle nationale ?
– Liens entre habitant.e.s de différents quartiers de Strasbourg (notamment le lien banlieue / centre ville), et parler de préjugés.
– Comment peut-on faire pression sur nos élus locaux.aux ? Certains seront présents, il faudra les solliciter.
– Projection du film « Demain ! »
– Inviter des groupes de musique locaux .
– Le revenu minimum plutôt qu’une loi du travail mal foutue. Demander le salaire à vie ?

 

En direct vidéo sur Periscope

Il est possible de suivre la #NuitDebout de Strasbourg, en direct et en vidéo, via Periscope en cliquant sur le lien ci dessous :

 
 
Et pendant ce temps, sur Twitter

Claire-Charlotte Retweeted

Vers 23h30, encore 200 personnes environ pour l'assemblée générale de à Strasbourg. Rebelote demain.

 

Christoph de BARRY Retweeted

Pendant ce temps là à Strasbourg 6 familles n'auront pas d'hébergement et devront errer dans la ville @NuitDStrasbourg

  1.  
  2. Ckiki Retweeted

    Pendant ce temps là à Strasbourg 6 familles n'auront pas d'hébergement et devront errer dans la ville @NuitDStrasbourg

     

    Ulyss Retweeted

  3. AG bilan de la 1ère nuit, fonctionnement des groupes

 

Sur Rue89 : #NuitDebout sur Periscope, c’est grâce à lui : rencontre avec Rémy Buisine

Sur Le Monde.fr : La « Nuit debout » continue de rassembler place de la République à Paris

Sur Reporterre : La Nuit debout : de plus en plus de monde pour inventer la démocratie

Sur LePoint.fr : Nuit debout, les Indignés et les autres...

 

 

Source : http://www.rue89strasbourg.com/

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 21:43

 

Source : http://nuitdebouttoulouse.fr/

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 21:32

 

Source : http://www.ouest-france.fr

 

 

Rennes. Une première Nuit debout, sur l'esplanade Charles-de-Gaulle

La première Nuit debout de Rennes, sur le modèle du mouvement lancé place de la République, à Paris, réunissait 250 personnes, mardi, en début de soirée.

Rennes vit sa première Nuit debout, ce mardi 5 avril, rebaptisé 36 mars par les organisateurs de ce « mouvement citoyen ». L'événement, lancé sur Facebook, réunissait quelque 250 personnes, vers 21 h. 

« Inventer autre chose »Les premiers participants sont arrivés vers 18 h, installant une banderole « Convergence des luttes, autogestion », aux abords de l'esplanade Charles-de-Gaulle. 

Depuis, les prises de parole se succèdent, avec une sono un peu faiblarde et le même thème, résumé par l'un des participants : « La loi travail, on s'en fiche, il faut inventer autre chose tous ensemble ».
 

Ambiance bon enfant, vers 21 h, sur l'esplanade Charles-de-Gaulle, à Rennes.

 

 

Ambiance musicale et bon enfant pour ce rassemblement que les autorités n'ont pas interdit. Le parti pirate et plusieurs élus écologistes de Rennes ont été vus dans l'assistance, de même que de nombreux médias.

 

Quelque 200 personnes sont maintenant rassemblées esplanade De-Gaulle dans une ambiance musicale



 

Les prises de parole se succèdent sur l'esplanade.



La Nuit Debout s'organiseAprès un vote en AG, il a été décidé de rester sur l'esplanade et non de rejoindre la place du Parlement. Des barnums on été installés. Les contacts sont échangés pour préparer la suite
 

 

A , sous le barnum, les volontaires s'inscrivent : action ou logistique



«  Le but est de revenir demain mercredi puis de se retrouver chaque soir. On occupe symboliquement une place ou chacun peut venir échanger librement et tenter de trouver un moyen de peser sur les politiques qui ne nous représentent plus », explique un participant, étudiant à Rennes 1 
 

A minuit, l'esplanade comptait encore quelque 150 manifestants



A 1h du matin, le moment reste festif. Danses, débats et musique animent l'esplanade qui se vide doucement.
 

La pancarte a du mal à tenir debout. Au milieu de la nuit les manifestants étaient, eux, toujours debout.



Lire aussi : 

Rennes. La première Nuit debout en cinq questions

 

 

 

Source : http://www.ouest-france.fr

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 21:25

 

Source : https://www.radioscoop.com

 

1ère Nuit Debout : Jean-Jaurès devient la place de la République stéphanoise

 

Mercredi 6 Avril à 08:35

 

 

La Nuit Debout, le 5 avril, à Saint-Etienne. - © Facebook
Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées mardi soir à Saint-Étienne pour débattre.
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plusieurs dizaines de personnes ont participé mardi soir à la 1ère Nuit Debout à Saint-Étienne.

Jean-Jaurès, la place de la République stéphanoise
Le mouvement parti jeudi dernier de la place de la République à Paris commence à faire tâche d’huile en France.

Mardi soir, les participants s’étaient donnés rendez-vous place Jean-Jaurès pour débattre une partie de la nuit, malgré la pluie.
 

 Des participants à la Nuit Debout 



Changer la politique
Les participants sont venus demander un changement de politique et plus largement de société.

Selon les messages postés sur Facebook, les derniers courageux sont restés jusqu'à 4h du matin.
 

Première à .


Discussions et propositions
Parmi les sujets de discussion : la loi Travail, l’état d’urgence, mais aussi le cumul des mandats, le vote blanc et l’évasion fiscale.

Après le rassemblement, les participants se sont retrouvés sous le kiosque de la place Jean-Jaurès pour écrire leurs propositions. Ils ont prévu de discuter de la suite du mouvement ce mercredi soir.

Manifestations des jeunes
Il y a aussi eu des rassemblements de lycéens et d’étudiants mardi contre la réforme du Code du Travail.

Ils ont mobilisés près de 24 000 personnes en France, selon les autorités. Ils étaient quelques centaines à Saint-Étienne et au Puy-en-Velay.

Une nouvelle journée de mobilisation est prévue samedi 9 avril.

 

 

Source : https://www.radioscoop.com

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 21:04

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=5Oe6nA0CR1o

 

 

Des activistes bloquent le sommet du pétrole offshore!

Action Non-Violente COP21

 

 

Ajoutée le 6 avr. 2016

Plus de 300 militants pour le 1er jour de mobilisation, un palais bloqué!
On lâche rien, on vous donne rendez-vous ce soir, Mercredi 6 avril, au Parc Beaumont de #Pau à 17h30
plus d'info : http://anv-cop21.org/
#STOPMCEDD

Un appel lancé par Action non-violente COP 21, La Coordination des Alternatiba, Les Amis de la Terre- France, Attac-France, Bizi !, Le Village Emmaüs Lescar-Pau, Nation Ocean, 350.org, Surfrider Foundation Europe.

Crédits:
Une production Vincent Verzat http://vincentvideos.com

 

 

 

 

Bloquons le sommet du pétrole offshore !

Action Non-Violente COP21

Ajoutée le 4 mars 2016

Ils se retrouvent pour que l'industrie fossile offshore reste compétitive. Nous nous rassemblons pour les bloquer.

---
Bloquons la tenue du sommet MCE Deepwater Development rassemblant les plus grandes entreprises de forage en eaux profondes. Tous à Pau du 5 au 7 avril 2016 pour 3 journées d'actions de désobéissance civile de masse, non-violentes et déterminées pour le climat.

Signez l'Appel de Pau : http://anv-cop21.org/appel-de-pau-sto...
L'événement : http://anv-cop21.org/1282-2/
Inscriptions : http://bit.ly/1SZW0Nm
Contribuez financièrement : http://www.bizimugi.eu/mce/

Un appel lancé par Action non-violente COP21, La Coordination des Alternatiba, Les Amis de la Terre- France, Attac-France, Bizi !, Le Village Emmaüs Lescar-Pau, Nation Ocean, 350.org

Vidéo : Vincent Verzat - http://vincentvideos.com/

 

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 20:45

 

Source : https://comptoir.org

 

 

Frédéric Lordon : « La jonction de la jeunesse et du salariat est le pire cauchemar du pouvoir »

 

La figure de l’intellectuel engagé n’est décidément pas près de disparaître et l’économiste et philosophe Frédéric Lordon nous le rappelle depuis quelques semaines. Le disciple de Karl Marx et de Baruch Spinoza, visiblement porté par l’enthousiasme qui a suivi la sortie en salle du film “Merci patron” de François Ruffin, est aux avant-postes du mouvement de contestation au projet de loi El Khomri. C’est lors de la première soirée “Nuit Debout” du 31 mars, après un discours enflammé place de la République à Paris, que nous l’avons brièvement questionné.
Le Comptoir : Vous êtes l’un des rares intellectuels que nous voyons aux côtés des manifestants. Le rôle de l’intellectuel a-t-il changé ?

LordonFrédéric Lordon : Je ne sais pas s’il a changé ou si ce sont les gens que l’on appelait auparavant “intellectuels” qui ont changé. Depuis la fin des années 1970, qui étaient des années de haute théorie et d’engagement politique intense, les universitaires se sont repliés dans leurs tours d’ivoire. Ils en sont même venus à considérer que prendre part à des débats politiques était honteux. Je pense que c’est une erreur profonde. Ça ne veut pas dire qu’il faille faire n’importe quoi dans l’engagement politique. Et disant cela, je me rends très bien compte qu’on pourrait m’accuser de faire n’importe quoi, ce dont je me fous d’ailleurs, comme de mon premier papier. Mais il faut essayer de conjuguer les deux ensemble : le travail théorique et l’attention à ce qui se passe dans la société et aux mouvements qui naissent. Il n’y en a pas eu beaucoup, quand même, ces dernières décennies. Là il se passe quelque chose, et je pense que ça serait une faute politique, et même une faute intellectuelle, de ne pas intervenir.

« C’est comme si à presque cinquante ans de distance, des générations se parlaient. »

Ce mouvement peut-il mener à un nouveau Mai-68 ou en sommes-nous encore loin ?

Je ne sais pas. Je me méfie en général du rabattement du présent sur des références historiques. Mais, je dois vous dire qu’hier à Tolbiac (30 mars 2016, NDLR), j’étais quand même très impressionné par l’ambiance, l’effervescence, l’engagement collectif et par toute une atmosphère, notamment par ce qui était écrit sur les murs. C’est comme si à presque cinquante ans de distance, des générations se parlaient. C’était assez drôle.

mai68Mais comme le relevait Marx dans Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte, l’histoire se répète toujours deux fois, « la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce ».

Ce serait bien de faire mentir la prophétie marxienne – si l’histoire se répète, que ça ne soit pas comme farce. Après coup d’ailleurs, on pourra peut-être dire que la première fois, Mai-68, aura été la farce. Il faudrait que cette fois-ci n’en soit pas une. Non, j’exagère un peu en disant ça. On ne peut pas jeter Mai-68 simplement au nom de quelques pitres qui en ont trahi l’esprit et l’intention. Mai-68 a bel et bien existé et ça n’était pas une farce. C’est cela qu’il faut retrouver.

 

Vous réclamez plus que l’abrogation de la loi El Khomri. Alors que devons-nous défendre ? La démission du gouvernement ? La sortie de l’euro ? L’abolition du salariat ?

En effet, je pense qu’il faut en finir avec les combats défensifs. Les trente dernières années nous ont vu parer les balles en fond de cours et courir dans tous les sens comme des malheureux. Le patronat et le gouvernement nous en remettent chaque fois une dans les pattes et on n’en finit pas. Il faut sortir des combats défensifs. C’est pour ça que j’insiste sur ce thème de l’abandon de la revendication. Évidemment, la revendication conserve un sens, notamment pour ceux qui ont choses très concrètes, très prosaïques, à gagner, dont les combats ne sont pas vains. Mais on ne peut pas s’arrêter là. Ce qui s’offre à nous, c’est le moment de la réappropriation politique.

Vous souhaitez une convergence des luttes : Goodyear, les cheminots, NDDL, etc. Comment pourrait-elle s’effectuer ? Avec quelles forces et quelles alliances de classes ?

C’est précisément cela que les gens qui organisent cette soirée travaillent à produire. Alors comment le faire ? On ne sait pas : on essaye et puis on voit ! On va voir ce que ça donne.

Une manifestante : Vous croyez qu’on leur fait peur ?

Lorsque je vois la violence avec laquelle ce pouvoir-là a envoyé la flicaille dans l’amphithéâtre de Tolbiac ou tabasser des lycéens, je comprends que c’est un pouvoir qui est en train de perdre les pédales. C’est un pouvoir qui commence à avoir peur et fait n’importe quoi ! Je pense que la jonction de la jeunesse et des classes ouvrières, et plus largement du salariat, est le pire cauchemar du pouvoir. Et c’est ça que nous essayons de faire advenir tous ensemble.

Rêve général

Est-ce que vous pensez que la jonction de Paris et de la province est envisageable actuellement ?

Je pense qu’elle est très importante. Elle est même stratégique. Au moment où nous parlons, il y a des soirées similaires qui sont organisées dans des villes de province : à Rennes, à Lyon, à Toulouse, etc. Ce n’est pas un événement parisien ponctuel et isolé. Ce qui nous agite, agite toute la société. Et il faut en effet que toutes les villes s’établissent en réseau. Je ne sais pas jusqu’où ira ce commencement.

« Si j’étais à la hauteur de ce que je vous dis maintenant et que je savais joindre le geste à la parole, il faudrait que j’aille faire des interventions en banlieue. »

Mais n’est-ce pas un leurre ? Est-ce que ce mouvement ne concernerait pas que les centres-villes, sans les banlieues et le périurbain ?

Moi, je pense que l’une des grandes jonctions à faire, et probablement la plus difficile, est celle qui ajouterait au regroupement du salariat et de la jeunesse, la jeunesse ségréguée des banlieues. Il ne faut pas se raconter d’histoire, cette jeunesse est absente ou très peu présente ici. On a loupé le coche en 2005. Il s’est passé quelque chose qu’on a aussitôt disqualifié, en le plaçant dans la catégorie infamante d’émeute, comme si c’était une espèce de soulèvement aveugle. Alors que c’était un soulèvement dont le caractère profondément politique était indiscutable. Il aurait fallu travailler à le politiser. Je dis ça, ça fait inspecteur des travaux finis. Mais des gens ont essayé avec plus ou moins de bonheur. C’est ce travail qu’il faut continuer. Si j’étais à la hauteur de ce que je vous dis maintenant et que je savais joindre le geste à la parole, il faudrait que j’aille faire des interventions en banlieue.

Les partis sont discrédités. Les syndicats se sont enfermés dans leur grande majorité dans une forme de réformisme. Quelle organisation pour ce mouvement ?

Pour le moment, il n’y a pas d’organisation. Toutes les formes institutionnelles de l’ordre politique présent sont totalement disqualifiées. C’est un ordre institutionnel qui est en train de crever et la seule chose à faire, c’est de lui passer sur le corps.

Mais l’État – renforcé par l’état d’urgence –, l’Union européenne et le patronat sont très puissants. Comment une poignée comme nous, sans organisation, pourra-t-elle résister ?

En travaillant à l’extension d’un mouvement comme celui-ci. C’est seulement de cette manière que nous devons agir. Et nous verrons bien quelle est notre puissance réelle et si nous produisons un effet ou si nous échouons. Il est très possible que nous échouions, car c’est le lot de l’activité politique dans la condition minoritaire. Si nous échouons, ce n’est pas grave, parce qu’il en restera quelque chose.

Et on aura essayé…

Et nous réessaierons dans dix ans, etc. Car les mêmes choses continueront de produire les mêmes effets, jusqu’à ce que ça craque.

Entretien réalisé avec l’aide de Noé Roland et des manifestants.

Nos Desserts :

 

 

Source : https://comptoir.org

 

 

 

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 15:05

 

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com

 

 

PHOTOS. Islande : manifestation monstre après les Panama Papers

 

 

PHOTOS. Islande : manifestation monstre après les Panama Papers

Des milliers de personnes sont descendues dans la rue à Reykjavik, lundi 4 avril, pour réclamer la démission du Premier ministre David Sigmundur Gunnlaugsson, éclaboussé par le scandale d'évasion fiscale Panama Papers.

 

PHOTOS. Islande : manifestation monstre après les Panama Papers

Sigmundur David Gunnlaugsson a détenu une société dans les îles Vierges britanniques, révèlent les Panama Papers, ce qui soulève l'indignation des Islandais. Ici, devant le parlement, le 4 avril.

La banane, qui symbolise la république bananière que serait l'Islande, vue ici dans le cortège. En-dessous, un montage-photo montrant le Premier ministre Gunnlaugsson empochant des dollars.

"Du vent !" est-il écrit sur cette main au majeur levé : le message de la rue au chef du gouvernement islandais est sans détour.

Devant le parlement.

Du papier hygiénique flottant au vent, devant le parlement, à Reykjavik, le 4 avril.

A Reykjavik, le 4 avril. Selon la police, cette manifestation a rassemblé plus de monde que celles qui avaient eu lieu en 2009, après la révélation des graves manquements des responsables politiques dans la surveillance des banques. Le gouvernement avait démissionné.

 

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