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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:59

 

 

Marianne - Jeudi 31 Janvier 2013 à 12:00

 

 

Attention aux raccourcis, le scandale de l’anti-acnéique Diane 35 largement prescrit comme contraceptif par les gynécologues et les généralistes n’est pas celui du Médiator. Le rapprochement des deux affaires aurait comme effet de banaliser les pratiques du laboratoire Servier, inventeur du Mediator dont les tribunaux auront prochainement à juger.

DURAND FLORENCE/SIPA
DURAND FLORENCE/SIPA
Dominique Maraninchi, patron de l’Agence du médicament (ANSM) a tenu parole. Il y a quarante huit heures, il avait assuré à Marianne, à l’issue d’un débat sur le médicament organisé au Centre Pompidou à Paris par la revue Books, que la décision concernant la suspension de l’autorisation de mise sur le marché de Diane 35 et de ses génériques interviendrait dans la semaine, c’est fait.

Mercredi 30 janvier, le directeur de l’Agence a annoncé que le retrait serait effectif d’ici trois mois, invitant néanmoins les patientes à ne pas interrompre le traitement sans consulter leur médecin. Selon les données officielles, 4 décès sont directement imputables au Diane 35 et à ses génériques, auxquels s’ajoutent 109 cas trhromboemboliques veineux dont 7 guérisons avec séquelles.


Une des raisons principales mise en avant par l’Agence pour justifier sa décision est le nombre important de prescriptions hors AMM, (autorisation de mise sur le marché), entre 50% et 75% selon que le prescripteur est un généraliste ou un gynécologue : Diane 35 et ses génériques disposent d’une autorisation pour soigner l’acné alors qu’il a été largement prescrit comme contraceptif.
Comment accepter que des prescriptions hors AMM, donc non autorisées, produisent des victimes ? Impensable. Inacceptable. Les prescripteurs ont évidemment leur part de responsabilité dans cette affaire, tout comme ceux qui ont prescrit larga manu le Mediator en dehors de son AMM, mis sur le marché en tant qu’anti-diabétique et détourné comme coupe-faim.
Là s’arrêtent les ressemblances. Deux raisons écartent Mediator et Diane 35 l’un de l’autre.

1. Servier, inventeur du Médiator est un laboratoire français, alors que Bayer, fabricant de Diane 35, est allemand. D’où la grande proximité voire même la perméabilité du premier avec les autorités de la santé amplement démontrée par le rapport de l’IGAS  (Inspection générale de l’action sanitaire) de janvier 2011, plus difficile à mettre en œuvre pour le second. En tout cas, rien pour l’heure ne prouve que de tels rapprochements ont été opérés.

2. Pour la pneumologue brestoise Irène Frachon, « le Médiator est un cas de pharmacodélinquance, alors que Diane 35 relève de la pharmaconégligence ». Traduction : Servier a tout fait pour non seulement masquer la vrai nature de la molécule mise sur le marché, mais aussi pour minimiser les effets secondaires dramatiques de son produit, année après année durant 17 ans jusqu’à recourir à des méthodes dont les tribunaux vont avoir à juger prochainement.

Bayer en revanche a mis en circulation une molécule parfaitement identifiée ; en outre la notice indique clairement les risques de la prise de son médicament. Les risques sont donc quantifiés, reconnus par le laboratoire, de l’ordre de 4 pour 10.000. Rien de tel avec le Médiator, où Servier en est encore à nier le nombre de victimes. Les auteurs du rapport de l’IGAS ont qualifié les pratiques du laboratoire Servier « d’enfumage des experts ». Rien de tel concernant Bayer.
 
Alors d’où vient ce sentiment de déjà vu ? A dire vrai, c’est à l’occasion de l’investigation sur les pratiques qui conduisent les laboratoires Servier devant la justice qu’ont été révélées les lacunes du système mis en place en France pour contrôler le fonctionnement des médicaments ; c’est en outre à cette occasion que le comportement de certains médecins prescripteurs a été mis en lumière révélant toute la force de conviction des visiteurs médicaux pour les amener en douceur aux prescriptions hors AMM. Or ces lacunes et ces pratiques médicales douteuses se retrouvent dans l’affaire de Diane 35 et de ses génériques. Les symptôme sont les mêmes, les causes bien différente.

Quelque chose ne fonctionne pas dans le système de santé français, et le laboratoire Servier en a profité pour « enfumer les experts ». Diane 35 après le Médiator, sans oublier le scandale des prothèses mammaires PIP : Dominique Maraninchi a des pilules sur la planche.
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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:51

 

 

Marianne - Jeudi 31 Janvier 2013 à 16:00

 

Laurence Dequay

 

21,3 milliards d'euros, ce sera le déficit cumulé par les caisses du régime général selon les dernières prévisions du COR, le Conseil d'orientation des retraites.

 

Une agence Pôle Emploi à Paris - FRANCOIS MORI/AP/SIPA
Une agence Pôle Emploi à Paris - FRANCOIS MORI/AP/SIPA

En 2010, en reculant de 60 à 62 ans l'âge légal de la retraite, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy promettait un retour à l'équilibre des caisses du régime général à l'horizon 2017. Las, à cette date, selon les dernières prévisions du COR, le Conseil d'orientation des retraites, elles accuseront un déficit cumulé de plus de 21,3 milliards d'euros !

Un trou que le Medef entend classiquement combler en repoussant une nouvelle fois à 65, voire 67 ans, l'âge plancher de départ en pension. Sauf que cette injonction paraît quasi surréaliste dans une France qui compte déjà près de 1 million de seniors pointant au chômage, ce depuis 438 jours en moyenne, soit deux fois plus longtemps que l'ensemble des demandeurs d'emploi !

De fait, en 2011, le nombre d'inscrits de plus de 55 ans à Pôle emploi a encore bondi de 22,6 %, après une hausse de 24,2 % en 2010. Surtout, alors que les partenaires sociaux viennent de signer un accord favorisant la gestion prévisionnelle des emplois (GPEC), on peut redouter que, devant l'atonie de la croissance européenne, nombre de grands groupes en voie de mondialisation, dans les transports notamment, n'en fassent une lecture pour le moins défensive.

A l'exemple de Renault qui déjà propose à 3 000 de ses salariés tricolores de partir de façon anticipée à la retraite... afin de supprimer leurs emplois dans l'Hexagone. Ce qui à très court terme signifie autant de cotisations retraite en moins. Alors que d'ici à 2035 le nombre de pensionnés augmentera en France de 30 %.
Devant ce casse-tête, le gouvernement veut s'accorder le temps de la réflexion. Et, pour rester concentré sur la bataille de l'emploi, ne programme aucune réforme d'envergure des pensions en 2013.

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:43

 

Rue89 - « Autopsychalanyse » 31/01/2013 à 21h43
Mathieu Deslandes | Journaliste Rue89

 

 

Pour donner un peu de chair à leurs propos, il n’est pas rare que les politiques citent des tranches de vie, puisées dans des courriers d’électeurs ou des rencontres de campagne. Le procédé a été abondamment utilisé au cours de ces premiers jours de débat parlementaire sur « l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe ». Il faut dire que le sujet s’y prêtait – a-t-on jamais autant parlé d’amour et de vie de couple dans cet hémicycle ?

Mais certains élus sont allés plus loin. Ils ont exposé leur vie personnelle, comme si le fait de vivre une situation conférait plus d’autorité à la position qu’ils défendent. C’est Henri Guaino (UMP) qui a commencé. « Les deux femmes qui m’ont élevé m’ont aimé sans compter », a-t-il souligné, avant de dire combien un père lui avait manqué, et quelle « profonde douleur » il avait toujours éprouvée.

« Si vous lisiez toutes les lettres que j’ai reçues de Français connus et inconnus, vous sauriez qu’en parlant de moi, j’ai parlé pour tous ceux qui ont vécu le même drame intime, souvent sans en parler jamais. »

« Double peine »

 


Yves Nicolin (Assemblee-nationale.fr)

 

Yves Nicolin (UMP) est ensuite venu dévoiler son histoire familiale :

« Oui, ma femme et moi avons eu la chance de pouvoir adopter et fonder une famille avec trois enfants. »

Il est aussi président d’une association, SOS Orphelinats du monde. Et c’est fort de cette double légitimité qu’il assure que le projet de loi « va créer une nouvelle catégorie d’orphelins : ceux que [la] loi va priver, sans qu’ils puissent s’y opposer, d’avoir ce qu’ils attendaient le plus au monde : un père et une mère ».

L’adoption, dit-il, est « un remède à un accident de la vie ». Mais Yves Nicolin prédit que le fait de confier un enfant « à deux personnes de même sexe qui ne sont pas vraisemblablement son père et sa mère constituera pour lui une double peine ».

« Couple en déséquilibre »

 


Catherine Lemorton (Assemblee-nationale.fr)

 

Catherine Lemorton (PS), après avoir raillé « l’autopsychanalyse de monsieur Guaino », est à son tour intervenue sur un registre intime.

« Si je réagis aujourd’hui, c’est à titre personnel et au nom des 50 000 personnes qui sont des individus faits avec don de gamètes depuis 1973. Ils sont 50 000, dont mes deux filles ! [...] 50 000 personnes élevées dans des couples hétérosexuels, ce modèle que vous voulez promouvoir depuis le départ. »

Elle qui, depuis des heures, bouillonnait sur son banc livre alors les raisons de sa colère :

« Monsieur Guaino nous a lu hier une lettre [...]. Voici ce qu’il a lu, et qui ne manquera pas de choquer tous ces enfants, dont les premiers ont déjà 40 ans et sont eux-mêmes parents : “Mon mari et moi avons des jumelles de 14 ans issues de PMA [procréation médicalement assistée, ndlr] à partir de mes gamètes et de ceux de mon mari.

Je ne juge pas les couples qui font appel à un don de spermatozoïdes – et c’est mon cas, mes chers collègues – mais c’est de tout autre nature. Il y a un vrai déséquilibre dans le couple – je remercie monsieur Guaino de rapporter que mon couple est en déséquilibre –, car c’est l’enfant biologique d’un seul des parents.” Eh bien non, mes chers collègues ! Mes filles sont les filles des deux parents qui les ont élevées avec amour. »

« Des insultes qui me sont faites »

 


Sylviane Alaux (Assemblee-nationale.fr)

 

Et puis il y a eu Sylviane Alaux (PS), venue parler de son fils :

« Mon fils a été élevé dans l’amour et l’attention. Il est l’héritier des valeurs morales qui nous fondent son père et moi-même, et dont je ne permets à personne de douter.

Mon fils vit avec l’homme qu’il aime. Il a choisi la liberté de dire, d’affirmer, de montrer ce qui fait son bonheur et de le vivre. Il reste mon fils.

C’est pourquoi je considère les rapprochements douteux qui nous sont infligés depuis des semaines, terreau d’un discours virulent que l’opposition n’a pas suffisamment condamné, comme des insultes qui me sont faites en tant que mère autant qu’elles le sont à la cause que je défends en tant que législateur. »

Outre qu’ils sont souvent touchants, ces témoignages personnels sont désarmants pour l’adversaire. Que voulez-vous répondre à la douleur d’Henri Guaino ou de Sylviane Alaux ?

Servent-ils pour autant le débat parlementaire ? « Peut-être faudrait-il faire attention à ne pas faire assaut de tranches de vie, si respectables soient-elles », estime ainsi Philippe Gosselin (UMP), quelque peu « gêné de voir ainsi exposer dans le Journal officiel la situation de tel ou tel enfant, de telle ou telle famille ». Il considère que la vie personnelle des élus doit « s’effacer devant le législateur que nous sommes ».

« La politique charnelle »

Sous nos yeux, et par-delà les frontières partisanes, deux conceptions des limites de la parole politique se dessinent.

D’un côté, un Hervé Mariton (UMP), qui s’inquiète que « les uns ou les autres en arrivent à s’exprimer sur le fondement de situations privées » ou une Dominique Bertinotti, la ministre (PS) déléguée à la Famille, qui juge que les hommes politiques doivent savoir s’extraire de leur itinéraire personnel pour penser la société.

De l’autre, on trouve par exemple le président (PS) de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, qui comprend ces députés qui s’exposent : « Nous ne sommes pas les uns et les autres à couper en rondelles ; nous sommes le produit d’une évolution professionnelle, personnelle et culturelle », justifie-t-il. En intervenant à la tribune, Henri Guaino ne disait pas autre chose :

« On ne fait pas de politique sans qu’elle soit profondément ancrée dans l’expérience d’une vie, les épreuves affrontées, les peines et les joies ressenties. A la politique sèche et froide des idéologues, il faut, sans cesse, opposer la politique charnelle, la politique humaine. »

MERCI RIVERAINS ! Pierrestrato
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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:31

 

 

Rue89 - Tribune 01/02/2013 à 15h28
Eric Beynel | syndicaliste, porte parole de l'Union syndicale Solidaires

 

 

L’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 pour la compétitivité des entreprises et la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés comporte 24 pages contenant 28 articles et quatre annexes. Les syndicats et le patronat avaient à peine quitté les salons du Medef que le gouvernement se félicitait de cet accord et demandait aux parlementaires de le transcrire dans la loi tel quel.

Positon surprenante tant ce texte marque un recul général des droits des salariés et est au seul profit du patronat. Mais le gouvernement l’avait-il lu en détail – annexes comprises – avant de se prononcer ?

L’accord mérite d’être examiné de manière approfondie et suscite de multiples inquiétudes et interrogations, entre autres, du point de vue de la santé des salariés et des conditions de travail.

Nous allons essayer de les éclairer sur deux points en nous appuyant sur l’expérience de ce qui s’est passé à France Télécom/Orange ces dernières années.

France Télécom au tribunal : plus possible

Si les dirigeants de France Télécom/Orange ont pu être poursuivis en justice après des suicides, c’est sur la base d’expertises réalisées dans l’entreprise à la demande des Comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).

Ce sont aussi ces rapports qui ont permis de faire reconnaître des suicides comme accidents du travail.

Avec l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, cela n’aurait pas été possible. Le texte aurait interdit les nombreuses expertises qui se sont déroulées dans les différents CHSCT de France Télécom et qui ont permis de mettre en lumière les causes de la souffrance au travail des salariés de cette entreprise.

Des expertises bâclées à prévoir

Pourquoi ? Pour l’instant, les entreprises de plus de 50 personnes possèdent un CHSCT, composé d’élus du personnel, qui peut demander une expertise quand un risque grave est constaté das l’établissement ou en cas de projet important modifiant les conditions d’hygiène et de sécurité ou les conditions de travail.

Or :

  • l’accord prévoit que lorsqu’une entreprise compte plusieurs établissements et CHSCT, chacun d’entre eux ne pourra plus, comme aujourd’hui, décider d’une expertise sur un projet de l’employeur, mais devra participer à la création d’une instance de coordination ad hoc qui fera appel à une expertise unique ;
  • celle-ci devra être réalisée dans un délai 21 jours au lieu de 45.

Une instance ad hoc, sans capacité juridique avec une expertise bâclée en 21 jours sur l’ensemble des sites d’une entreprise, ne pourra jamais être en capacité d’agir. Par cet alinéa, les signataires suppriment purement et simplement un outil important des CHSCT et brisent toute une jurisprudence en faveur de la santé des salariés.

La condamnation de France Télécom ne serait plus possible aujourd’hui.

Les mobilités forcées des salariés validées

Parmi les causes principales de la souffrance des salariés de France Télécom/Orange, s’il en est une qui a été largement mise en lumière par l’action syndicale des CHSCT, c’est bien la mobilité forcée des salariés.

Or, l’accord du 11 janvier 2013 dans ses articles 7 et 15 la prévoit à la fois en mobilité interne et en « mobilité volontaire sécurisée ».

Le droit à une « période de mobilité volontaire » dans une autre entreprise prévu par l’article 7 sera accordé dans les entreprises de plus de 300 salariés et pour ceux ayant deux ans d’ancienneté. Il faut l’accord de l’employeur et un avenant au contrat de travail.

L’exemple des ruptures conventionnelles, qui sont souvent des licenciements déguisés, montre à quel point le patronat sait détourner des mesures de leur objectif, en poussant les salariés dans un dispositif prétendant le volontariat du salarié. Gageons qu’avec ce dispositif, il en sera de même.

Obligé d’accepter de travailler à 300 km

Dans l’article 15, la « mobilité interne » forcée n’est pas introduite comme moyen possible en cas de difficulté ou de baisse d’activité de l’entreprise. Elle est présentée simplement comme la mise en œuvre d’une « organisation courante » dans l’entreprise. Cela recouvre une importante augmentation du pouvoir patronal dans l’entreprise, et balaie d’une phrase des années de jurisprudence sociale.

Actuellement, le lieu du travail et le poste du travail étaient considérés comme parties intégrantes du contrat du travail. Dorénavant la mobilité interne peut être organisée sans bornes si un accord d’entreprise la stipule.

Aucune limite dans les modalités de la mobilité forcée (périmètre géographique, temps du transport, pays) n’est imposée par le texte. Pire, le salarié qui refuse la mobilité prévue dans l’accord sera sanctionné par un licenciement pour motif personnel. L’employeur sera dispensé des obligations légales des procédures de licenciements économiques. L’employeur aura donc les mains libres pour organiser la vie des salariés.

La validation de cet accord met donc en péril à la fois la santé des salariés et la capacité d’agir des instances en charge de s’assurer de sa préservation.

 

 

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:21

 


Pour la chaine humaine du 9 mars à Paris :

Départ groupé dn train depuis MARSEILLE - 13
Via : AVIGNON, VALENCE, LYON

 

Lieu du rendez-vous : Gare TGV

 

Départ le : 09/03/2013 - horaire à confirmer
Retour le : 09/03/2013
Infos complémentaires : Pré réservez une place de TGV à prix réduit Il est important de connaître par avance une estimation du nombre de participants. Merci d'envoyer un mail à : sympa@listes.eelv.fr avec comme objet : subscribe provence-tgv-9mars@listes.eelv.fr. La pré-inscription sera automatique, sous réserve de votre confirmation dès connaissance du tarif négocié avec la SNCF. Le tarif du trajet Aller retour est encore en négociation avec la SNCF, et dépendra aussi des subventions que nous pourrons obtenir des autres partenaires. Pensez à diffuser largement ce mail à vos adhérents, amis et organisations.
Groupe/association : EELV PACA
Contact pour réservation : Jean-Pierre Cervantes

 


 

Mail réservations : contact@creavignon.fr
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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:16

 

 

Compte-rendu   de la réunion  du Collectif Halte au Nucléaire Nîmes auquel étaient invités les associations , syndicats, partis .. organisateurs de la Chaine humaine anti nucléaire du 9 mars 2013.
 
Présents: Les Alternatifs 30 / EELV 30 / Vigilance citoyenne (Gard Rhodanien) / Objecteurs de Croissance / membres du Collectif /
Excusés: ATTAC Nîmes
 
1- marche du 9 mars à Paris : on s'inscrit sur la liste de Créa Avignon . Nous devons continuer à convaincre des copains à s'inscrire . Nous connaitrons bientôt le prix du train . Nous serons sur le tronçon Place de l'Hôtel de Ville. (Si vous êtes intéressés pour faire partie de l'équipe d'animation sur place le 9 mars contactez mpmer@hotmail.fr très rapidement)
Nous devons être très nombreux à Paris , donc mobilisons, informons .
 
2- Chaine humaine  anti nucléaire du 9 février à Nîmes à partir de 13h Maison Carrée : un repas partagé , puis point presse et départ de la Chaine à 14h30. Pièce de théâtre +++
Distributions de tracts : samedi 2/2 à 15h Place de l'Horloge( Anne, Nathalie, Janie) et vendredi 8/2 de 9h30 à 10h30 au marché du Jean-Jaurès (Nathalie, Janie +?)
1000 tracts ont été tirés = 90 Euros et vont être distribués sur tout le département.
 
3- Interpellation des élus du CG 30, rassemblement Vendredi 15/2 à 9h: distribution de 1000 tracts le 9/2 +++ (tract adapté par Marie-Pierre, Christian , Dominique, ++)
Cette action concerne le projet de construction du réacteur Astrid et la dangerosité du centre nucléaire de Marcoule.
 
Tous à Nîmes les  9 février et 15 Février et à Paris le 9 mars .

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 22:04

 

http://zad.nadir.org

vendredi 1er février 2013, par zadist


Aujourd’hui 1er février l’occupation militaire dure depuis 69 jours (pour une opération débutée il y a 108 jours). Nos camarades sont emprisonnés depuis 65 jours pour l’un et 44jours pour l’autre.

Nous tenons à vous rappeler que DEUX camarades de la lutte contre l’aéroport sont en ce moment en prison (et un troisième a été condamné à 6 mois avec mise à l’épreuve, c’est-à-dire qu’il risque d’être enfermé à un moment ou un autre).

Tout acte de solidarité est le bienvenu. Participer à la lutte contre l’aéroport et son monde en est un. Puis rester en contact avec les personnes incarcérées pour leur montrer notre soutien en est un autre, bien nécessaire pour rendre leur temps d’incarcération plus vivable et pour qu’ils n’oublient pas qu’ils ne sont pas tous seuls face à ce monde répressif. N’hésitez donc pas à leur écrire des LETTRES ou des cartes postales.

- En attendant une réponse de notre camarade en prison J. (depuis le 19 décembre) concernant la diffusion de son identité, nous vous proposons d’envoyer vos lettres de soutien et témoignages de solidarité a l’adresse indiquée ci dessous ; nous les lui ferons parvenir : Comité de soutien aux inculpé-e-s « Le Gué » 44220 Couëron

- Pour écrire à Cyril, enfermé depuis le 28 novembre, vous pouvez lui adresser vos courriers directement : Centre Pénitentiaire Quartier Maison d’Arrêt Cyril n° d’écrou 57360 rue de la Mainguais 44300 nantes

(d’autres infos sur comment soutenir les personnes incarcérées et autres inculpé-e-s ici)


Infos utiles pour venir ici

Point d’info permanent sur le campement "Hors Contrôle" établi le long de la D81 entre le lieu dit Les Domaines (la Vache-Rit) et la Rolandière. Si vous nous rejoignez sur la zone, voyez ici. attention : La permanence tenue au local de l’Acipa à Notre-Dame-des-Landes, est suspendue durant les jours à venir.

- équipe legale : 06 75 30 95 45 : à contacter uniquement si vous êtes témoins d’arrestation, si vous êtes arrêté-e-s, et après votre libération IMPORTANT : s’il vous plait lisez le texte "en cas d’interpellation" Et surtout, refusez les comparutions immédiates !
- Equipe médicale : contactable par mail : equipemediczad at riseup.net pour toute communication non-urgente. La street médic est joignable par téléphone uniquement lors de journées d’interventions militaires/policières sur la zone ou autres "moments chauds" au 07 60 26 42 14.
- Accueil "hors contrôle" : 06 32 98 78 36
- liste du matos à ramener (mise à jour le 02/01) : disponible ici
- Contact Presse de la Zad : 06 38 17 36 19

Si jamais le Site ne fonctionne pas, on continuera la-bas : http://lazad.noblogs.org/


Pour suivre les infos de la marche de Nice à NDDL : pour les rejoindre, illes partent tous les jours à 8h de la mairie de la ville où illes ont dormi, voir leur blog

enfin des infos précises sur l’arrivée de la marche de Nice

Soyons nombreusEs à les accueillir, à Nantes le 9 février et le 10 février pour la dernière étape

Bonne marche à tou-te-s, on vous attend pour tout savoir de vos aventures, rencontres, ...


l’action du jour

en soutien à la lutte contre la LGV.

C’est la période des vœux. Nous avons pensé qu’il serait judicieux « d’inonder » le Conseil Régional d’Aquitaine » de cartes de vœux rappelant notre hostilité à la LGV. *Nous avons donc modifié la carte de vœux proposée par la Région Aquitaine sur son site. Voir ci dessous . *Comment procéder ? Il suffit de faire un copié collé de cette carte (voire des deux) dans le mail que vous adressez à la Région aux 2 adresses suivantes :
- directeur.cabinet@aquitaine.fr
- secretariat.communication@aquitaine.fr

*La belle harmonie que le Pays basque ne vous laissera pas détruire pour une LGV inutile. Merci de votre participation. Diffusez largement autour de vous pour que cette opération ait la plus grande envergure possible. la carte est ci dessous

L’original :


Infos du jour

- VIDEO : Notre-Dame-des-Landes : Opération Asterix

- Bonnes nouvelles pour Camille a barbe et Camille a couette : Si Bruno a la droite le faire, tout le monde devrais avoir la droit !! "En séance du conseil régional de Rhones Alpes bruno Gollnish (Fn) a montré son cul ! Sera t’il en garde à vue et poursuivit pour se geste ? A suivre ! Info a transmettre à Erwann pour sa défense, car lui n’a pas montré son cul ! Continuez !"...a lire ici

- reçu : j’entends à nouveau dans le documentaire qui vient de sortir, de Mme Turpin, que la ZAD est constituée à 98 % de zones humides. J’ai arpenté le secteur en tous sens, courageusement, à toute heure : j’ai été infoutu de trouver les 2 % qui seraient soi-disant secs... Je déclarerai donc que la zone est humide à 100 %, jusqu’à ce qu’on me montre le miraculeux terrain sec, sur lequel, d’ailleurs, on aurait dû programmer le Festizad...

 :) on confirme, il n’y a plus le 2%.....

- 21h18 : Situation encore pas très clair autour de carrefour, non plus pour le forêt. Les flics qui se sont avancées dans la route de fosses noires, juste avant la première barricade de la sécherie ne sont pas repartis de la-bas

- Oulahaha, ça arrêt pas ! Prends ZAD dans ta geulle VINCI - "Vinci écarte un dirigeant trop bavard au Cambodge :Un cadre dirigeant qui dénonçait des écarts de Vinci dans les concessions d’aéroports au Cambodge vient de se faire licencier. Loin des regards français, l’exploitation des aérogares de Phnom Penh, Siem Reap et Sihanoukville représente un enjeu économique majeur pour Vinci Airports, la filiale aéroportuaire du groupe."

- et bambambam, pas le journée de grande soleil pour Vinci, Auxiette et Ayrwolf.... : Notre Dame des Landes : les opposants remportent une victoire judiciaire

Allez les mégalos, acceptez le, vous avez perdu !!

- Biporteurs, on en commande 200, car on en a pas des voitures et franchement, ils ont l’air d’être très pratique pour la Zad....merci necropole...on attends la livraison...la vache rit pour les envoyer svp !

- Et si François Hollande renonçait au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ?

- Bravo : Nouveau coup de force des anti-THT ? - Saint-Martin-d’Aubigny

- No TAV : les inculpés abandonnent la salle d’audience, la police charge les manifestants

- N-D. des-Landes. Hulot met les pieds dans le dossier de l’aéroport

"Nicolas Hulot ne pense pas que François Hollande soit favorable à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes"

"Quant aux propos de Nicolas Hulot, ils ont provoqué la colère de Jacques Auxiette, président de la région des Pays-de-la-Loire, qui « n’accepte pas qu’un ’envoyé spécial du président s’érige en commentateur de supposés états d’âme présidentiels sur l’aéroport »."

Tu sait Auxiette, les gens changent les avis et si un envoyé spécial de Hollande le dis, méfie toi que votre joli projet est déjà tombé a l’eau !! Dommage pour vous, très bien pour notre magnifique forêt de Rohanne que vous avez bien massacré avec vos machines, pour rien en plus....

- reçu : "Le PDG d’une entreprise de Loire-Atlantique juge que Notre Dame des Landes ne sera pas rentable

ben voila tout est dit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

- Thierry Pradier : "Je me sens bafoué, méprisé et humilié"

- 19h42 : Carrefour Fosse noires / chemin de suez - les flics ont avancées jusqu’au entre de forêt direction Rolandière. Ils sont aussi dans le forêt ( 5 gendarmes confirmés ) et ils chassent les ami-e-s qui s’approchent de carrefour et qui se baladent dans le forêt. Ça a la gueule de chasse aux hommes en "discrétion".......

- 19h25 : Les gendarmes laissent pas aller les voitures de carrefour Ardillières direction Vigneux sur la D81 ! C’est bien abusé, car il y a quand même la droit de la circulation libre et il n’y a strictement pas une raison pourquoi ils laissent pas passer, ici tout est calme....

- 19h19 : Il aura a priori une exposition à la ferme de Bellevue ce soir, suivi par des projections et Bouffe Q de plomb ! Venez nombreus-e-s, c’est sympha :)

- 16h50 : elleux aussi passent pas mal de temps sur la route en ce moment mais contrairement aux sinistres pitres dont on se moquait en dessous celleux ci savent parfaitement ce qu’illes font et pourquoi. Des nouvelles précises de l’arrivée de la marche de Nice à NDDL. Soyons nombreuSEs à les accueillir !

- 16h : Ils sont moches, ils sont cons, ils pourrissent sur pieds comme des débiles sur un carrefour qu’ils bloquent pour une raison qui leur est parfaitement inconnue... et oui, cette dédicace est pour vous, que la pluie vous fasse moisir !
- Sautron Frédéric,
- Marlot David
- Grasasit Mickael
- Lalanne Olivier (et ça te fait quoi d’être encore plus inutile que ton homonyme, journaliste à Vogue ?)
- Dasso Yann

J’espère que vous écoutez radio klaxon, on s’y fout de votre tronche avec humour.

Deux détournements qui nous ont fait rire :

- 15h : ATTENTION, les évènements programmés ce soir sont déplacés de Saint Antoine à bellevue. Comme ca vous pouvez arriver en avance, bricoler, regarder des photos, manger, picoler et regarder des films au même endroit. Elle est pas belle la vie ?

- 14h40 : on vous rappelle le programme de la journée,

toute la journée : Chantier collectif à Bellevue

15h : Présentation et discussion « L’aéroport, une pièce de la Metropole Nantes-Saint Nazaire » L’histoire de la lutte contre l’aéroport s’inscrit dans le contexte de développement de la métropole nantaise.

19h : Exposition photos et projection Un territoire se défend avec tou-te-s ses habitant-e-s . Notre mémoire commune nous nous l’approprions , nous la faisons vivre, c’est notre résistance que l’on vous invite à partager.

19h30 : Bouffe Q de plomb. Lutter contre le système de consommation intensif, faire la promotion de l’autonomie alimentaire, en faisant des échanges ou de la vente de produits cultivés, élevés, transformés dans le respect de la nature et de l’animal. Avoir la possibilité de pouvoir vivre de son travail sans pour cela exercer.

21h : Projection de “Quand les arbres s’agitent” et “Quand les arbres fulminent”

- 14h30 : une bonne nouvelle nous arrive, la création d’un collectif de soutien dans le Jura. La lutte se développe.

Une première réunion du collectif est organisée le 22 février au Puits Salé à Lons à partir de 19 h 30.

- 14h15 : des nouvelles de Rouen Monsieur Cuvillier, ministre délégué auprès de la ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, chargé des Transports vient ce 1er février 2012 se rendre compte concrètement des conséquences des grands dossiers structurant de l’agglomération.

Il sera notamment accueilli par les zadistes rouennais-es en lutte contre les grands projets « inutiles » : l’aéroport de Notre Dame des Landes mais aussi la LNPN et le contournement Est.

Une banderole « LA ZAD ARRIVE CHEZ VOUS » est en place depuis ce matin sur la façade du pont Quatre Mares de la zone industrielle de Sotteville-les-Rouen.

http://zaddarouen.noblogs.org/ramen...

- 13h50 : des nouvelles de l’occupation temporaire et festive du chateau de F.Pinault le weekend dernier (27 janvier) https://zad.nadir.org/spip.php?arti...

malheureusement elle se termine par des inculpations. Les riches ne supportent toujours pas les cris de rage ni les banderoles devant les fenêtres. Va bien falloir qu’ils s’habituent pourtant parce qu’on n’a pas l’intention de s’arrêter

- 12h15 : un chantier bat son plein à la ferme de Bellevue pour tout nettoyer et préparer l’arrivée des bêtes pour dimanche.

- 10h00 : les flics sont au bois rignoux(sortie la paquelais), aux Ardillères, et au carrefour de la Saulce. En ce moment nous sommes toujours sans nouvelles de camille arrêtée avant hier lorsqu’elle traversait le champ pour esquiver les flics, appeler si vous en avez. L’on apprend aussi que les flics sont venus ce matin/cette nuit à "bison futé" la barricade vers la chèvrerie pour péter le pont levis, on jeter les canettes dans le fossé, et enlever tout les pannaux de sécurité routière qui prévenaient.


Les rendez vous du jour : 1er février

- Sur la ZAD : dans le cadre de la semaine proposée par les habitant-e-s qui résistent contre l’aéroport et son monde à la Chataigne
9h30 : Atelier cuisine vegan (à la Chataigne)
15h : discussion « L’aéroport, une pièce de la Metropole Nantes-Saint Nazaire » (à la Chataigne)
19h : Exposition photos et projection : Un territoire se défend avec tou-te-s ses habitant-e-s. Notre mémoire commune nous nous l’approprions, nous la faisons vivre, c’est notre résistance que l’on vous invite à partager.
19h30 : Bouffe Q de plomb. Lutter contre le système de consommation intensif, faire la promotion de l’autonomie alimentaire, en faisant des échanges ou de la vente de produits cultivés, élevés, transformés dans le respect de la nature et de l’animal. Avoir la possibilité de pouvoir vivre de son travail sans pour cela exercer.
21h : Projection de “Quand les arbres s’agitent” et “Quand les arbres fulminent”

- Géret : projection

20h cinéma le Sénéchal projection/débat autour de "NDDL, au coeur de la lutte"

- Romans-sur-Isère (26) :

- Thouarcé (49 ) : soirée contes et chants à 20h30 en soutien à la lutte contre l’aéroport

- Le collectif de Quimper pense organiser le 1er février une projection-débat autour de la lutte anti-aéroport. Les films projetés seraient les deux documentaires produits par l’équipe automédia de la ZAD proposés samedi dernier à la rencontre des collectifs : ils ont l’avantage de bien présenter le projet et de mettre en lumière la repression dans un temps uffisamment court pour permettre le débat.


RDV des collectifs, quotidiens ou réguliers

Localement

- Notre Dame des Landes, à partir de 9h : permanence sur la place de la poste (local des Syndicats - angle opposé à la Mairie) pour déplacement sur la zone
- Nantes, à partir de 10h : vigie citoyenne au Pont Morand ; à 19h à présent un soir sur deux : rassemblement devant la préfecture

Partout ailleurs (par ordre alphabétique)

- Angers : Point information, tous les jours sauf weekend, de 17h30 à 19h30, Place du Ralliement
- Bordeaux Le comité se réunit tous les mardis à 19h30 à la flèche Saint-Michel (pour ensuite aller vers un lieu de réunion qui change tout le temps et est défini sur le moment).
- Brest AG du comité de soutien brestois tous les mercredis à 20h30, le lieu pouvant changer, voir sur le blog http://comitebrestoisdesoutienanotr...
- Blois de 18 à 19 h chaque mardi au Liber’thés, rue Wilson à Blois
- Clermond-Ferrand : tous les mardi à 18h à l’hotel des vil-e-s au 55 avenue de l’union soviétique 63000 Clermont Ferrand.
- Concarneau : Réunion chaque jeudi à 18h, à la maison des associations, derrière les Halles
- Cran-Gevrier :Réunion du comité de soutien zone à défendre 74 tous les lundis depuis le 12 Novembre à 18HOO à l’Alterlocal 3 chemin des grèves 74960 Cran-Gevrier
- Châteaubriant Rassemblement hebdomadaire du collectif de Châteaubriant contre le projet d’aéroport de Notre dame des Landes chaque vendredi à 18h30 devant la mairie ;
- Grenoble : réunion du comité tous les mardi à 18h30 à Antigone. AG du comité, ateliers collectifs et préparation des actions
- Laval : tous les lundis à 18h30, réunion du collectif mayennais contre le projet d’aéroport à la maison de quartier des Pommeraies (rue des grands carrés).
- Livradois-Forez : RDV les 1er jeudi du mois sur le marché
- Marseille : Réunions régulières chaque mardi au "Tableau Noir" 60-64 rue Saint- Savournin 13004 Marseille à 19h. http://notrezaddelagarde.noblogs.org/
- Montpellier : Par ailleurs, le collectif se réunit tous les jeudi à 19h au squat Le kalaj.
- Nice : RDV tous les samedis 10h à un des marchés niçois. Prochain samedi 1er décembre : la libération RDV devant le jardin de la villatiole
- Paris : rdv hebdomadaire du collectif. Tous les mardis, à 18h30 pour les commissions, à 20h pour l’assemblée, au Transfo, 57, avenue de la République, à Bagnolet (metro Gallieni ou Robespierre). Contact : collectifnddlparisidf@riseup.net ou là : http://nddl-paris.effraie.org
- Ploermel : comité de soutien du pays de Ploërmel réunion un jeudi sur deux à 20h30 à Augan dans une salle derrière la maire contact : cdsplo@riseup.net
- Poitiers : Un jeudi sur 2 à partit du 3 janvier 2013, réu à 18h à la maison de la solidarité (rue du pigeon blanc)
- Pontivy : à partir du samedi 26/01 rassemblement hebdomadaire chaque samedi 15h00 place du Martray.
- Quimper : réunion tous les jeudis soirs à 18 h, 21 rue Pen ar Steir. collecte de provisions pour les zadistes les vendredis soirs de 18 à 20 h au même local tous les samedis matins, construction de cabanes sur la place Terre aux Ducs, Quimper
- Rennes, tous les lundis à 19h30 une réunion aura lieu à la Maison de la Grève (37, rue legraverend) pour informer sur ce qui se passe à la zad et penser ensemble ce que nous pouvons faire depuis Rennes (ravitaillement, organisation des allers-et-venues, actions, etc.). Tous ceux qui sont intéressés, qu’ils soient organisés en collectif ou pas, sont les bienvenus ! et chaque Vendredi à 18H00 : dans tous les cas, rassemblement à 18h00 place de la Mairie.
- Rezé : le Collectif Rezéen Antiaéroport se réunit tous les mercredis de 18h à 20h au Canon à Pat, 51 rue Alsace Lorraine 44400 Rezé.
- Rouen : tous les mardis soir à 19h à FLVM 192 rue Eau de Robec, suivi d’un repas végétarien à prix libre rdv à 17h30 pour faire à manger. Le blog de zaddarouen ici
- Saint-Etienne : Réunion le mercredi à 19h00, au bar l’Excuse au 38 rue de la Résistance (mais cela peut changer).
- Toulouse : AG tous les Mercredi à 19H au SLOLI à Toulouse
- Vannes : Le collectif de Vannes se réunit tous les lundi soir à 20h30 au café "l’éloge de la lenteur" pour discuter des actions contre le projet d’aéroport.
- Villefranche de Lauragais : Tout les vendredi 9h30-12h au marché Permanence collecte de matériel à destination de la ZAD (voir ci-joint)
- Villefranche de Rouergue : réunion tous les 4ème vendredi du mois à 18 H au bar associatif les Hauts Parleurs 34 rue Alibert à Villefranche de Rouergue et tous les jeudi matin sur le marché de Villefranche de Rouergue. Contact : nddl.villefranche @ laposte.net
- le comité nddl22 de Saint Brieuc se réunit chaque jeudi soir à partir de 20h30 au local de la confédération paysanne, 93 boulevard Edouard Prigen

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 21:51

 

Magazine Marianne - 01/02/2013

 

A l’occasion de notre « Assemblée » sur l'Argent et l'Ethique qui réunira à Nice du 14 au 16 février une cinquantaine de personnalités, Marianne a sollicité la plume des intervenants aux différents débats. Le journaliste et essayiste, Laurent Mauduit, ouvre la réflexion sur le thème «le monde de la finance est-il soluble dans la démocratie ?»

 

Le capitalisme profite d'une démocratie nécrosée, par Laurent Mauduit
La confrontation à laquelle Marianne me convie face à Gilles Finchelstein sur le thème « Le monde de la finance est-il soluble dans la démocratie » me pousse à un regard critique sur moi-même. Car je dois dire que j’ai longtemps pêché par optimisme. Et, en d’autres temps, j’aurais répondu par l’affirmative, faisant valoir que les mutations du capitalisme, sa financiarisation progressive, pouvaient aller de pair avec des avancées de l’Etat de droit. Or, je crois que je me suis beaucoup trompé dans le passé sur ce sujet. Et le regard que j’ai aujourd’hui sur cette question est très différent de celui que j’avais hier.

Pour aller vite, dans mon activité de journaliste comme dans mon activité d’écrivain, j’ai chroniqué pendant près de trois décennies les mutations du capitalisme français. Et j’ai longtemps pensé que ce que nous vivions était le passage du vieux modèle de capitalisme à la Française – le capitalisme rhénan, ou si l’on préfère, le « capitalisme de la barbichette », à un nouveau modèle de capitalisme, régi par des règles anglo-saxonnes. Et dans ce basculement, j’ai longtemps vu de graves dangers sociaux : la remise en cause de logiques collectives au profit d’un système beaucoup plus individualiste. Mais je n’ai pas vu de véritables dangers démocratiques. J’ai même longtemps pensé que cette importation du libéralisme à l’américaine, si elle n’était pas seulement économique mais aussi politique, aurait au moins cet avantage de vacciner la France contre ses vieux penchants, celui de la monarchie républicaine ou du néo-bonapartisme. Cet avantage de lui faire découvrir les mérites de véritables contre-pouvoirs, à la manière de ce que sont, chacun dans leurs domaines, le Congrès américain, ou la SEC, l’autorité de tutelle des marchés.

Puis, dans un second temps, j’ai amendé mon jugement. J’ai pensé que la France vivait une mutation imparfaite. Et que le capitalisme français relevait en fait d’une variété hybride, qui avait importé du modèle anglo-saxon ce qui l’arrangeait (pour l’essentiel, les règles les plus sulfureuses, celles qui contribuent à un enrichissement des mandataires sociaux proche de l’abus de biens), mais sans importer dans le même temps les règles de la transparence et des contre-pouvoirs. Le capitalisme du Fouquet’s, dont Nicolas Sarkozy a été le champion était, à mon sens, la forme la plus aboutie de ce capitalisme hybride.

Et puis, pour finir, j’ai encore un peu changé mon regard. Car cette vision du capitalisme hybride, pour être partiellement exacte, m’est apparue encore un peu trop ingénue, par rapport aux évolutions que nous avons vécues. D’abord, parce que la finance exerce une véritable tyrannie sur les politiques publiques. Mais plus encore, pour des raisons spécifiquement françaises : parce que la mutation à l’anglo-saxonne du capitalisme français a été de pair avec une transgression de plus en plus ouverte des règles de ce que devrait être un Etat de droit.

Que l’on songe en effet au flot permanent des « affaires » qui ont éclaté ces dernières années. De l’affaire Takieddine jusqu’à l’affaire Tapie, du scandale Bettencourt jusqu’au scandale Wildenstein, et tant d’autres, elles ont toutes pour point commun une transgression des règles de l’Etat de droit. Une sorte de mithridatisation de l’Etat qui s’accoutume à ce que la loi aussi bien la morale prohibent, qu’il s’agisse de la fraude fiscale ou de l’évasion fiscale, des conflits d’intérêt ou de l’affairisme, et de tant d’autres dérèglements encore. Au point que le capitalisme français a des relents qu’il faut regarder en face et oser qualifier. Quel est le bon terme : un tantinet néo-mafieux ? Ou alors un peu poutinien ? J’hésite sur la meilleure formule mais j’ai désormais la conviction profonde que le capitalisme financiarisé à la Française s’accommode d’une démocratie nécrosée, ou même la favorise. Tant et si bien que la France n’est à mon sens clairement pas un Etat de droit.

Et si ces dérives-là ont pollué en permanence le quinquennat Sarkozy, la gauche y succombe aussi. Ou du moins une certaine gauche, celle qui cohabite sans trop de gène avec le monde de l’argent et qui défend perpétuellement qu’il n’y a qu’une seule politique économique possible. La gauche de l’oligarchie parisienne qui a fait des affaires sous Nicolas Sarkozy et qui en fait toujours sous François Hollande. La gauche de l’oligarchie parisienne qui se moque des alternances démocratiques et qui a fait sienne le sinistre principe que Tancredi professe à l’oreille de son oncle, le Prince de Salina, dans le Guépard de Lampedusa : « Il faut que tout change pour que rien ne change ».

 

Les débats se dérouleront au Centre Universitaire Méditerranéen le jeudi 14, le vendredi 15 et le samedi 16 février 2013. 
Entrée libre et gratuite sur inscription. 


Inscription sur Internet : marianne.net/inscription-assemblee/ 
Inscription par téléphone : 04 97 13 46 10

 

Des rencontres auront lieu entre le public et l'équipe de Marianne le jeudi et le vendredi de 18 h 15 à 19 heures. 

Pendant L'Assemblée : possibilité d'inscription le jour même au CUM, en fonction des places disponibles. 
Le comité de coordination se réserve le droit de modifier les horaires et les intervenants. 
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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 21:38

 

Rue89 - Karima Delli

Publié le 01/02/2013 à 10h24

 

Ce vendredi 1e février, 59 ans jour pour jour après l’appel de l’Abbé Pierre, la Fondation qui porte son nom présente son 18ème rapport annuel sur l’état du mal-logement en France. 18 rapports qui tirent la sonnette d’alarme face à la situation de détresse dans laquelle vivent encore des millions d’hommes, de femmes et d’enfants.

 

Voir le document

(Fichier PDF)

 

Les visages des sans-logis et des mal-logés ne sont plus tout à fait les mêmes qu’en 1954 : on trouve aujourd’hui sur les trottoirs et dans les squares de nos grande villes de plus en plus de familles, de jeunes et de migrants, et particulièrement des Roms.

Le 115 a été saturé tout l’hiver, et le sera encore pendant plusieurs mois. Le gouvernement a annoncé la création de 9 000 nouvelles places en centres d’hébergement d’urgence et en centre d’accueil pour demandeurs d’asile, c’est la moindre des choses. Mais la situation est plus grave.

L’appel de l’Abbé Pierre avait permis l’introduction dans la loi de la trêve hivernale, qui restreint désormais les expulsions locatives du 1e novembre au 15 mars. Mais face à l’ampleur de la crise actuelle, il faut mettre en place un véritable moratoire sur les expulsions. Plus personne ne devrait être jeté à la rue sans relogement en 2013 !

Des diagnostics territoriaux pour anticiper la fin du dispositif hivernal

Les situations des mal logés sont diverses, une typologie européenne de l’exclusion liée au logement, baptisée ETHOS, a été élaborée à partir de quatre grandes catégories de personnes :

  • les personnes sans-abris,
  • les personnes sans-logement,
  • les personnes en situation de logement,
  • et enfin les personnes en situation de logement inadéquat.

Il est essentiel que les autorités de l’Etat se saisissent de cette typologie pour élaborer des diagnostics territoriaux précis de la situation du mal-logement, et ainsi apporter des réponses adaptées aux besoins de chaque territoire. Sans une connaissance fine de la situation du mal-logement, aucune politique ne permettra d’aborder efficacement le problème.

Or le collectif des associations unies tire à nouveau la sonnette d’alarme : de nombreuses préfectures n’ont encore rien fait pour anticiper la fin du dispositif hivernal et éviter de remettre à la rue les sans-abris hébergés cet hiver.

De plus, les politiques d’aide au logement doivent s’adapter aux situations des familles, et en particulier apporter des réponses rapides aux cas de ruptures familiales. L’offre de logements sociaux doit être adaptée par exemple aux familles monoparentales, afin de permettre à chaque parent d’accueillir son enfant dans de bonnes conditions.

Mais aussi par une plus grande réactivité des Caisses d’allocations familiales (CAF) dans l’attribution des aides aux logements, en s’adaptant aux changements de situation des personnes (divorces, séparations, violences conjugales). La droite craint que le mariage pour tous menace la famille ? Qu’elle s’intéresse plutôt à la crise du logement qui les frappe de plein fouet !

Une régulation indispensable du marché immobilier

S’agissant de la mise en œuvre du droit au logement, il n’est plus supportable de voir les différents acteurs se renvoyer la balle : Etat, collectivités locales, bailleurs privés, associations doivent agir de concert et en pleine responsabilité.

La lutte contre le mal-logement devrait être décrétée grande cause nationale, et un plan de financement quinquennal mis sur la table rapidement afin de donner une visibilité claire aux différents financeurs de la politique du logement, en vue de réaliser l’objectif de 150 000 logements vraiment sociaux et de rénover 600 000 logements anciens par an. Si la rigueur devait affecter encore une fois le montant des aides à la pierre, le gouvernement pourrait dire adieu à ses promesses. Alors que la construction privée flanche, il est au pied du mur.

En fait, le nœud du problème réside dans la régulation indispensable du marché immobilier. Une première étape a été franchie avec le décret d’encadrement des loyers. Il faut maintenant poursuivre dans cette voie afin d’enrayer la spéculation immobilière et la flambée des prix et faire baisser par endroits le niveau des loyers.

A Paris, des situations intolérables

Il y a urgence. Comment pouvons-nous encore tolérer que 4,5 millions de mètres carrés de bureaux soient vides en Ile-de-France, dont 1,4 millions rien qu’à Paris, et que dans le même temps, une famille Rom, comme des dizaines d’autres, vive avec ses 3 enfants dans une cabine téléphonique place de la Bastille pendant près d’un an et demi ? Et n’oublions pas cette mère élevant seule son enfant dans un appartement de 4 mètres carrés loués 200€ par mois par un marchand de sommeil dans le 14e arrondissement et qui a été expulsée en toute illégalité, alors que les autorités municipales étaient informées de sa situation depuis plus de 6 mois. Les réquisitions doivent s’accélérer, de même qu’une taxe dissuasive sur les bureaux vacants doit être instaurée. Rien qu’à Paris, la transformation du surplus de bureaux en logements permettrait de construire entre 60 et 65 000 logements dans les 4 prochaines années, et ce dans des opérations tout à fait rentables, malgré les surcoûts de telles transformations et les réticences affichées des promoteurs et des propriétaires.

TVA à 5% pour le logement social

Enfin, un signal fort doit être donné par le gouvernement pour que les objectifs soient atteints : le taux de la TVA pour le secteur du logement social qui était déjà passé de 5,5% à 7% doit revenir au taux minimal et non être augmenté à 10% comme envisage de le faire le gouvernement. Le logement social est un bien de première nécessité.

Répondre à l’urgence, et préparer l’avenir, telle est la difficile tâche du gouvernement. Il doit pour cela donner des gages supplémentaires de sa détermination dès aujourd’hui.

 

 

 

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 21:31

 

Rue89 - Confidentiels & indiscrets 31/01/2013 à 19h16
Sophie Caillat | Journaliste Rue89

 

 

C’est un sérieux accroc porté aux relations entre le gouvernement et son allié écologiste. Le groupe Europe Ecologie-Les Verts de l’Assemblée nationale avait déposé une proposition de loi visant à faire « appliquer le principe de précaution aux risques résultant des ondes électromagnétiques ». Le mot « risques » était de trop.

Le texte avait été sérieusement amendé en commission, si bien qu’au final les députés écologistes savaient que leur loi serait retoquée, mais ils se disaient qu’« au moins le débat aura eu lieu ». Eh bien ils étaient encore trop optimistes. A la demande du gouvernement, le groupe socialiste a fait voter dans la soirée le renvoi en commission. Le député socialiste François Brottes a demandé qu’on lui « fasse confiance » et promis qu’il reprogrammera le texte en commission « dès lors que nous serons d’accord avec le gouvernement ».

« C’est la pire des procédures », estime le coprésident du groupe EELV François de Rugy, qui précise que « ce n’est jamais arrivé au sein d’une majorité ». « Un traquenard, une façon pour le gouvernement de ne pas prendre ses responsabilités », renchérit le vice-président de l’Assemblée nationale Denis Baupin, « très furieux ».

Ce rejet pur et simple est destiné officiellement à prendre le temps de retravailler, et surtout à éviter de donner aux opérateurs et à leurs clients un signal négatif à l’heure où est lancée la quatrième génération de téléphonie mobile (4G) et ses nouvelles antennes.

« Peurs irrationnelles » selon Fleur Pellerin

Fleur Pellerin, la ministre déléguée à l’Economie numérique, avait donné le ton à la radio quelques jours plus tôt : elle avait assuré qu’elle « veillerait » à ce que la loi : « n’inscrive dans le dur des choses qui correspondent à des peurs un peu irrationnelles, et qui consisterait à donner un poids juridique à la dangerosité des ondes radioélectriques alors que cette dangerosité n’est pas scientifiquement étayée ».

Le fait que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) les juge « peut-être cancérigènes » ne suffit pas à ses yeux à appliquer le principe de précaution. Ces mots de la ministre ont rappelé à Denis Baupin de « mauvais souvenirs », et il est allé chercher dans sa mémoire pourquoi :

« C’est un terme qu’a utilisé Allègre sur l’amiante, Charasse sur le Médiator, Sarkozy sur le nucléaire. Quand des gens ont alerté sur ces risques, ils avaient raison. »

Janine le Calvez, président de l’association Priartém, qui milite pour une réglementation sur les antennes relais, répond à Fleur Pellerin qu’elle est « dans un soutien irrationnel aux opérateurs ».

Le retour de l’oreillette ?

La députée européenne écologiste Michèle Rivasi voit dans cette manœuvre du gouvernement « un moyen de montrer le tout-pouvoir de l’exécutif » et demande : « mais alors le Parlement ne sert à rien ? ». Elle trouve déjà significatif que ce soit la ministre de l’Economie numérique et non celle de la Santé qui soit mandatée par le gouvernement pour s’exprimer sur un sujet sanitaire.

Mais elle remarque que les élus sont divisés, y compris au sein du PS : « L’un des avantages du cumul des mandats, c’est qu’il y a des élus locaux qui sont sensibles au sujet », précise la fondatrice du Centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électroMagnétiques non ionisants (Criirem).

Restera de ce non-débat, comme l’a suggéré Fleur Pellerin, une campagne de communication pour encourager l’usage du kit mains libres. Une idée qu’avait lancée Corinne Lepage sur Rue89, sauf que l’ancienne ministre de l’Environnement parlait d’imposer l’oreillette, non de la conseiller.

 

 

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