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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 18:58

 

 

VENDREDI 15 FEVRIER à 9H  

 

NON A "ASTRID"

 

REACTEUR SURGENERATEUR DANS LE GARD !

 

Ce projet du CEA à MARCOULE relance la filière plutonium,

filière coûteuse et particulièrement dangereuse.

 

Après TCHERNOBYL et FUKUSHIMA

 

Nous refusons le risque d'une catastrophe nucléaire

 

 

 

Rassemblement

au CONSEIL GENERAL DU GARD VENDREDI 15 FEVRIER à 9H  

 

Pour une interpellation Publique
à l'appel de structures associatives, syndicales et politiques.

 

 

Interpellation publique du Conseil Général à la prochaine session du 15 février concernant le projet de construction du réacteur Astrid et la dangerosité du centre nucléaire de Marcoule.

C'est au cours de la dernière session du Forum Social du Gard, le 17 novembre, qu'a été décidé d'organiser une interpellation du Conseil Général du Gard au sujet de la construction du réacteur Astrid à Marcoule.

En P.J. la lettre qui sera envoyée sous peu aux Conseillers Généraux à quelques nuances près, elle comprend la liste des organisations qui à ce jour s'engagent dans cette démarche, liste en cours de constitution.

Interpellation publique du Conseil Général du Gard PDF:

 


covoiturage au départ d'Uzès pour être à 9h devant le conseil général le 15/ 02 : 7h45 à la Bruguière et 8h10 au stade de Rugby d'Uzès , vers le skate parc (parking gratuit pour laisser les voitures) où se tient le marché aux puces
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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 22:53

 

 

http://www.gnis.fr

 Communiqués généraux

08 février 2013

 

Semences anciennes: Gratuité pour l'inscription au catalogue officiel ! Le revirement du GNIS | RÉSISTANCES | Scoop.it

Depuis quelques années, les consommateurs et les jardiniers amateurs se passionnent de plus en plus pour les variétés anciennes. Dans les premiers temps, ils avaient des difficultés à retrouver ces variétés pour les cultiver, puisqu’elles avaient quasiment disparu des marchés. C’était sans compter sur les collections de ressources génétiques privées et publiques, qui ont toujours conservé ces variétés et permettent ainsi d’en relancer la production de semences.

Encore fallait-il ajuster les conditions de commercialisation et donc d’inscription au catalogue sur le marché français. En effet, préalablement à sa commercialisation, toute variété doit être inscrite au catalogue officiel afin de garantir son identité et éviter toute mauvaise surprise aux utilisateurs. Les modalités d’inscription de ces variétés anciennes ont fait l’objet d’ajustements successifs. Une première étape en 1997 a vu la création d’une liste de variétés pour amateurs. Ce dispositif a permis l’inscription au catalogue de plus de 200 variétés pour les amateurs. La deuxième étape, en 2009, a été l’application en France de directives européennes, qui ont créé deux nouvelles listes pour les variétés anciennes : une pour les variétés menacées d’érosion génétique, dites « variétés de conservation », et une pour les variétés sans valeur intrinsèque, uniquement en semences de légumes.

La France est à l’origine de la moitié de ces variétés de conservation ou sans valeur intrinsèque inscrites dans l’Union européenne, prouvant que le marché français est le plus diversifié et ouvert à tous types de variétés.

Les conditions financières restent cependant un obstacle à l’inscription pour certains établissements qui souhaitent commercialiser leurs variétés anciennes en toute légalité. Malgré une réduction conséquente du tarif, 274 € de frais administratifs restent dus pour chaque demande d’inscription de variété sur ces listes - le ministère de l’Agriculture prenant en charge l’intégralité des coûts pour les variétés de conservation. Soucieuse de faciliter l’accès de tous à ces variétés particulières, la section Potagères du Gnis vient de décider de compléter le dispositif en couvrant les frais pour les variétés sans valeur intrinsèque.

Assurant ainsi la gratuité des inscriptions de ces variétés anciennes, l’interprofession des semences potagères espère faciliter le travail des entreprises et organisations qui veulent les remettre en marché. Elle contribue à élargir le choix de tous les jardiniers, amateurs ou professionnels, intéressés par la culture de ces variétés.

François Burgaud
Directeur des Relations extérieures du GNIS
44, rue du Louvre - 75001 Paris
Tel : 01 42 33 76 94 - francois.burgaud@gnis.fr

Julie Schadt
Attachée de presse
Service Affaires Publiques et Relations Presse
44, rue du Louvre - 75001 Paris
Tel : 01 42 33 86 77 - julie.schadt@gnis.fr

 

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 22:38

 

http://lesmoutonsenrages.fr

11 février 2013 Posté par Benji

 

 

Un champ de blé dans le sud de la France avant la moisson

L’ONG Oxfam France dénonce la spéculation menée par quatre banques françaises sur le marché des matières premières agricoles par le biais de fonds de placement, dans un rapport à paraître mardi pour le début de l’examen du projet de réforme bancaire.

Au terme de recherches effectuées pour son compte par le cabinet néerlandais indépendant Profundo, Oxfam a déterminé que des banques françaises contrôlent 18 fonds dont les performances sont totalement ou partiellement liées à l’évolution du prix des matières premières agricoles.

Sont visées BNP Paribas (10 fonds), Société Générale et Crédit Agricole par le biais de leur filiale commune Amundi (7 fonds), ainsi que Natixis (1), filiale du groupe BPCE. Au total, ces fonds gèrent, selon l’étude, 2,58 milliards d’euros.

Interrogé par l’AFP, BNP Paribas fait valoir qu’il n’est pas un acteur majeur de ce marché et assure qu’il ne spécule pas sur les matières premières agricoles. Il rappelle que rien de ces activités n’est caché et que tous les fonds commercialisés ont été agréés par les autorités de marché. 

La banque annonce également qu’elle va suspendre « dès que possible » la souscription au seul de ses fonds entièrement investi dans l’agriculture, le BNP Paribas Agriculture Fund.

Selon l’étude, le fonds le plus important d’une banque française est géré par une filiale américaine de Natixis, AlphaSimplex Group. Il s’agit de l’ASG Managed Futures Strategy Fund, avec 619 millions d’euros d’encours. Il n’est commercialisé qu’aux Etats-Unis.

Oxfam France souligne que ces fonds ne sont pas concernés, en l’état, par le projet de réforme bancaire dont l’examen doit débuter mardi à l’Assemblée.

Dans le texte présenté par le gouvernement, les banques ne se verraient interdire la spéculation sur les produits financiers dérivés de matières premières agricoles que pour leur propre compte. Les produits proposés aux clients, comme les fonds visés par l’étude, échapperaient donc au champ de l’interdiction.

De ce fait, l’ONG estime que les mesures proposées par le gouvernement en la matière « semblent essentiellement symboliques ».

Source: Boursorama

 


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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 22:35

 

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11 février 2013 Posté par Benji

 

 

On résume l’info légèrement développée sur le blog de Pierre Jovanovic qui est l’auteur de cette tragique compilation. C’est réellement abominable de voir cette liste s’allonger inlassablement chaque semaine, dans l’indifférence la plus totale…

– France Telecom tente de faire disparaître 6.000 postes en toute discrètion, cela déclenche une Grève spontanée à Toulouse lire ici La Dépêche , merci à Damien

- Fujitsu va se séparer de 5.000 salariés dans le monde, pour cause de crise lire ici Bloomberg

- Barclays Bank va virer 2.000 banquiers de plus, c’est tombé… dimanche, hier donc! lire ici le FT

- Thyssen Krup va sabrer 2.000 personnes lire ici Marketwatch qui vire aussi 8 journalistes.

- La dernière usine textile Guy Dormeuil de Cherbourg a fermé, 26 salariées virées, lire ici Ouest France, merci aux lecteurs.

- Axa, département « grandes fortunes« , ha ha ha, vire 30 personnes lire ici Money Marketing

- Ketchup Heinz sabre 80 personnes dans son usine de l’Idaho lire ici Job market monitor

- Hoover, les aspirateurs, expire 150 postes dans son usine au Texas, lire ici El Paso Times , mercà à Conchita.

- Le groupe Bertelsmann va fermer l’une de ses imprimeries en 2014 avec 750 personnes et 250 intérimaires lire ici le Point , merci à Mr Goosens

- La célèbre clinique du Rond Point des Champs-Elysées à Paris à été mise en redressement.

- Frontier Airlines sabre 700 personnes lire ici Denver Post

- Oubli: les jeans Levi-Strauss ferme leur usine en Hongrie, sabrent 549 personnes, et vont réorganiser leur siège européen avec 55 personnes virées du siège lire ici , entre autres, Rtbf, merci à Mr Billon.

- Dreamworks studios de cinéma vont virer 450 personnes lire ici Los Angeles Times 

- La chaîne canadienne Rona, 20.000 salariés, va se « restructurer », au moins 1.000 personnes seront sabrées lire ici , merci à Mr Bonneau

- Hutchinson Technology vire 150 personnes aux US pour délocaliser en Thaïlande lire ici WXER FM

- Les colonies de vacances licencient 8 personnes sur 11, ici le le Centre Cap Bretagne lire ici Ouest france , merci à Mr Hardouin

- Le naguère fameux Reader’s Digest licencie 120 personnes lire ici Canoe , merci à Domink

- Lyon Workplace se sépare de 450 personnes, lire ici Crains Chicago , merci à

- L’anglais British Aerospace vire 175 personnes aux US lire ici le York Daily

– Danger 1: l’une des galeries commerciales les plus riches du monde, celle de Dallas, la fameuse Galleria, perd son Saks Fifth Avenue et 123 personnes sont licenciées lire ici Dallas Journal

– Danger 2: le hedge fund Knight Capital vire 5% de son personnel soit 75 personnes, très très mauvais signe lire ici Reuters

– Danger 3: Lego licencie 380 personnes au Danemark et délocalise son emballage au tiers monde. Ou: Mon royaume pour un carton… lire ici, si, si, je ne l’ai pas inventé, Ice News.

– Danger 4: Les piles Energizer virent 190 personnes de plus (290 au total) lire ici St Louis Business

- Food Lion sabre 500 personnes aux US lire ici Charlotte Observer

- T-Systems se sépare de 700 personnes, BFM-TV va-t-il faire un direct ? lire ici Le point sur du Reuters , merci à Mr Goosens

- Nexans prépare un plan de restructuration lire ici les Echos , merci à Damien

- MetalTemple à Chambéry en dépôt de bilan avec 202 personnes. BFM va-t-il faire un direct? lire ici Usine Nouvelle , merci à Damien

- Carrier Refrigération va sabrer 50 personnes, lire ici UE , merci à Damien

- Soupletube avec 340 personnes risque de disparaître faute de repreneur après son dépôt de bilan lire ici UE , merci à Damien

- Mondi, papier cadeaux, à Saint-Jean d’Illeac avec 104 salariés va aussi dans le mur lire ici UN , merci à Damien

- Lana papeterie avec 90 salariés mis en redressement, lire ici UE , merci à Damien

- L’usine Freescale déménagée de Toulouse en Chine lire ici La Dépêche , merci à Damien

- Les Yachts Dufour de nouveau en chômage partiel lire ici la Dépêche , merci à Damien

- Une famille entière du côté de Niort s’est suicidée pour cause économique lire ici, merci aux lecteurs.

- Chrono Drive à Halluin, près de Lille, licencie 33 personnes lire ici Nord Eclair , merci à Cédric

- (Confirmation: Schneider Electric annonce la fermeture de sites, 600 emplois vont disparaître, dont 120 à Montpellier lire ici le Midi Libre , merci à Mr Boulanger)

- Plastique Technique Champenois en dépôt de bilan, 82 salariés touchés lire ici L’Union , merci à Mr Lepage

- JLG, immobilier, 50 salariés vont sauter lire ici , merci à Marcel

- Eon ferme la centrale à charbon d’Hornaing (Nord) le 31 mars, 86 salariés lire ici Romandie , merci à Mr Lepage

- Eco Habitat, (énergies renouvelables), vire 200 salariés lire ici , merci à Marcel

- SCA projette 49 suppressions de postes à Kunheim lire ici UN , merci à Mr Lepage

- L’allemand RWE envisage de supprimer 200 postes dans son siège lire ici , merci à Mr Lepage

- Le syndicat canadien demande à Cascades des « de meilleures conditions de licenciement « , authentique lire ici Lcn , merci à Mr Coderre

- Rbc-is à Belval, Luxembourg, sabre 288 salariés lire ici L’essentiel , merci à Mr Lepage

- Oubli: Samro vire 77 personnes lire ici le Progrès , merci à Christiane

- Beaufour-Ipsen pharmacie prépare son plan de licenciement de 160 personnes, le même que Usine Nouvelle, lire ici, a évoqué en août 2012, merci à Marc.

- BMS va supprimer 235 postes en France lire ici les Echos , merci à Mr Lepage

- Contralco supprime encore 76 emplois lire ici le Midi Libre (qui vire aussi), merci à Mr Lepage

- Le Figaro est obligé de donner une info sur le massacre des usines et des salariés en France, 266 en 2012, soit 42% de plus qu’en 2011, et 1.000 depuis 2009 lire ici le Figaro, ici Europe1, merci aux lecteurs

- Papeteries Alamigeon de Ruelle, 40 salariés touchés lire ici Charenton Libre , merci à Marcel

- Les experts judiciaires belges demandent le paiement de leurs arriérés lire ici Rtbf , merci à Mr Nichols

- Les 168 salariés licenciés de DMI menacent de faire sauter leur usine lire ici La Montagne , merci à Mr Sigaud

- Astrolabe, à La Rochelle, va être liquidé lire ici Sud Ouest , merci à Marcel

- Videl ( et ADE et Fabinov) 67 salariés lire ici Europe1 , merci à Marcel

- Siliken France, panneaux solaires, en redressement après la faillite de la maison mère, lire Green Univers.

* (j’en ai déjà parlé, mais cette fois Kerry à Grasse licencie bien 60 personnes sur 170 lire ici , tout comme le groupe Parisot vire 120 personnes de la Vosgienne des Meubles, lire ici UN merci à Damien)

* (Confirmation: le Midi Libre supprime 370 postes lire ici le Midi Libre)

* Oubli: Les couches culottes Huggies ferment 5 usines et quittent l’Europe lire ici Les Echos , merci à Anne Sophie

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2013

 


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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 22:31

 

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10 février 2013 Posté par Benji  

 

Quelques mois seulement après qu’une étude aujourd’hui célèbre ait découvert que le maïs NK603 génétiquement modifié de Monsanto entraîne de sérieux dommages et des tumeurs sur les mammifères, un article publié par l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (AESA) a mis au jour que la plupart des OGM d’usage commercial actuels contiennent un gène viral dissimulé qui semble dangereux à consommer par les humains.


g2009022NORMAL

Cet important article met en lumière le fait que 54 caractères OGM sur 86 actuellement approuvés pour utilisation, ou en gros 63 %, contiennent un étrange gène viral nommé  »gène VI », qui, selon les recherches, altère la fonction normale des céréales.

Cette altération est présente dans une majorité d’OGM largement cultivés et commercialisés aujourd’hui, dont les maïs NK603 et MON810, ainsi que les graines de soja Roundup-Ready, tous produits par Monsanto. Et les chercheurs ont découvert que ce gène mutant peut induire des changements accidentels dans le phénotype, qui peut entraîner des mutations physiques et biochimiques graves dans les organismes.

»Au cours de l’analyse d’identification d’allergènes potentiels dans les céréales OGM, l’AESA a découvert tardivement que la séquence de régulation génétique habituelle des OGM commerciaux encode aussi un fragment important du gène viral », explique Independant Science News (ISN) à propos de la découverte. 

Basée sur une recherche antérieure impliquant un lien entre gènes viraux, plantes et santé humaine, la nouvelle découverte soulève de sérieuses inquiétudes sur la sécurité de nombreux OGM à production commerciale actuels. Comme le but inhérent des gènes viraux est de désactiver un hôte ce qui autorise une invasion pathogène, leur présence dans des aliments contenant des OGM représente une grave menace aussi bien pour les plantes que pour la santé humaine.

Le Gène VI, preuve tangible que les OGM sont impropres à la consommation humaine

Jusqu’à présent, l’industrie de la biotechnologie a maintenu que les OGM sont virtuellement identiques aux organismes naturels, et qu’il n’y a aucune différence structurelle ou fonctionnelle entre les OGM et les céréales cultivées naturellement pour leur devenir dans le corps humain. Mais la présence du gène VI dans une grande majorité d’OGM déboulonne complètement ce mythe. Comme les céréales naturelles ne possèdent pas le gène VI, elles ne risquent pas d’engendrer les mêmes infections virales que les OGM en contenant. Selon l’analyse sur la fonction du gène VI, le défaut génétique facilite non seulement l’assemblage de virus potentiellement tueurs dans le tissu de la plante, mais il supprime aussi les défenses naturelles contre les maladies, rendant les céréales et peut-être les humains qui les mangent, plus sensibles aux maladies.

La présence du gène VI laisse les céréales transgéniques fondamentalement sans défenses contre les maladies et les envahissement de virus et on pense qu’il cause une expression de gène aberrante dans les céréales qui le possèdent. Cela veut dire que la séquence génétique toute entière d’une plante peut muter à cause du gène VI, résultant en une production de protéines incohérentes dans les cellules de la plante, une expression à tort et à travers du gène dans l’organisme et même des malformations de croissance.

Les scientifiques connaissaient depuis des années la présence de gènes viraux semblables dans les OGM, mais ils n’ont jamais précisé exactement la manière dont ces gènes et les changements génétiques énormes qu’ils induisent affectent la santé humaine. Et aucun gouvernement ayant approuvé des OGM commerciaux contenant des gènes viraux n’a jamais exigé que des tests de sécurité corrects soit faits pour identifier toute menace potentielle sur la santé, ce qui veut dire que l’humanité sert de cobaye collectif à cette expérience scientifique de biotechnologie à grande échelle.

»Une information pertinente sur l’existence du gène VI était librement disponible dans la littérature scientifique bien avant la première approbation biotech, » ajoute l’ISN sur ce scandale.

Source: Natural News
Traduit par Hélios pour le BBB
Via Realinfos
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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 22:23

 

CADTM

 

 

11 février par Charlotte Géhin

La question de la dette publique n’est pas enfouie sous en tas de poussière. Alors que la France emprunte à des taux d’intérêt exceptionnellement bas, répit accordé par les zinzins |1| aux dents longues, elle reste prête à resurgir.

 

Les prestations sociales sont sous le feu de la montée du chômage

Depuis 1945, nos prestations sociales sont financées à la fois par le versement des cotisations sociales et par les contributions de l’État. A l’œuvre : les retraites, les remboursements maladies, le chômage |2|. A l’heure des injonctions politiques et médiatiques concernant le déficit des institutions de protection sociale, l’urgence est de faire le point sur son mécanisme de financement. En effet, entre l’affirmation de Michel Sapin « qu’un système d’indemnisation chômage soit déficitaire dans une période de gros chômage, c’est la nature des choses » et de conclure qu’il faut « prendre des mesures sur le régime des indemnités » |3| ou encore, concernant « la réforme nécessaire du régime des retraites » |4|, les intentions du gouvernement de revoir le calcul de ses montants, la question se pose de la sauvegarde de nos acquis sociaux. Information cruciale : la sécurité sociale n’a pas de budget. Comment ses institutions peuvent-elles donc être déficitaires ? Parce qu’elles tiennent bien des comptes qui permettent de suivre leurs besoins de financement. Le lien entre la situation de l’emploi et le financement de la sécurité sociale est inéluctable. 1% de baisse de la masse salariale, c’est 2.5 Milliards d’euros perdus pour la Sécurité Sociale. D’après l’Acoss |5|, l’agence chargée de répartir les cotisations et les contributions aux différents services (URSSAF, collectivités, État), la gestion de la trésorerie va s’avérer difficile. Mais ce qu’il n’est pas opportun de préciser à l’heure des engagements de réduction des déficits de l’État (mais sans compter le paiement des intérêts de la dette), c’est qu’elle ne serait pas déficitaire si l’État faisait face à ses obligations de la financer |6|.

 

Et ce n’est pas le répit accordé par les créanciers de la France qui leur fait la part belle

Touché ! Le financement de la sécurité sociale ne repose donc pas seulement sur les cotisations sociales, mais aussi sur les contributions de l’État. Coulé ! Le gouvernement fait le choix entre ses obligations sociales, le remboursement des intérêts de la dette (83 milliards d’euros en 2010 : son premier poste de dépenses) et ses engagements pris à la signature du Pacte budgétaire de ramener son déficit à 0,5% du PIB. L’erreur dans le diagnostic plonge le malade dans le coma. Alors que les exonérations fiscales accordées aux entreprises, les allègements de cotisations patronales et sociales lui ont déjà coûté pas moins de 88 milliards d’euros |7|, assurer désormais qu’il incombe aux citoyens d’admettre une réduction des prestations sociales sous prétexte que la croissance est nulle est une position sévère. Relancer la croissance, c’est plutôt nous donner les conditions de consommer à nouveau.

 

Qui sauvera la vie de la Sécu ?

A ce jour, les orientations du gouvernement relatives à l’accord de « sécurisation de l’emploi » pour la réforme des retraites et ses déclarations sur le coût des prestations sociales ne montrent pas de perspectives honnêtes quant à ses obligations envers la sécurité sociale.

Les parlementaires et le gouvernement qui votent les budgets doivent être saisis de la volonté des citoyens de mettre à jour les finances publiques et de participer à leurs adoptions. Déjà, un audit citoyen de la dette est lancé. L’argent cotisé doit être attribué de manière démocratique et non plus au profit des créanciers de la dette publique qui ne participent en rien à la création de la richesse nationale et qui n’ont aucun droit à participer à la casse de notre sécurité sociale |8|.

Charlotte Géhin

 

Notes

|1| Institutions internationales

|2| Alors que les risques vieillesse représentent 46,3% des prestations sociales, le risque santé en représente 35,9%, le risque emploi (chômage), 7,1% et l’exclusion sociale, dont le RSA, n’en représente que 1,9%.

|3| Cf article Le Monde du 22 Janvier Sapin : "Il faudra prendre des mesures sur le régime chômage"

|4| Interview de Michel Sapin dur RTL. Les négociations devraient avoir lieu dès le mois d’Avril.

|5| l’ACOSS (Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale)

|6| Selon CSS Article L131-7 et Article L131-8 La compensation financière des exonérations de cotisations sociales donne lieu à compensation intégrale aux régimes concernés par le budget de l’État

|7| Les allègements des cotisations patronales et sociales ont permis d’augmenter les revenus des capitaux et ont creusé la dette (barème de l’impôt sur le revenu : moins 15 milliards d’euros, niches fiscales, moins 73 milliards + 75 milliards qui ne seraient pas dans les listes, le régime des filiales moins 34 milliards, la loi TEPA (heures sup) moins 4 milliards, IS moins 28 milliards, IRPP moins 5 milliards.

|8| Les détenteurs des titres de la dette sont répartis comme suit : 71% de la dette français est détenue par des non-résidents, parmi les 29% résidents, 23% des titres est détenue par les sociétés d’assurance, 15% par les établissements financiers, 3% par des OPCVM. Ils Sont appelés les zinzins. Tous organismes privés qui bénéficient des avantages fiscaux sur le territoire.

 

 

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 20:07
Rue89 - Tribune 11/02/2013 à 16h59
Corinne Lepage | Présidente de Cap21

 

 

Le nouveau scandale sanitaire que nous rencontrons avec la viande de cheval et Findus n’est que l’énième, après bien d’autres dont nous n’avons pas su tirer les conséquences. C’est du reste une question majeure et générale qui devient dramatique, comme l’a démontré le très récent rapport de l’Agence européenne de l’environnement. Dans le cas présent, il est clair qu’il s’agit d’une fraude dont il faudra déterminer l’ampleur réelle et les niveaux de responsabilité.

Néanmoins, les services vétérinaires ont été défaillants à constater cette fraude, et étant donné la longueur de la chaîne et le nombre d’opérateurs, les responsabilités de chacun des opérateurs seront difficiles à établir. Voici près de vingt ans, la crise de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) avait été un tournant pour les questions sanitaires, et avait conduit à la création de l’Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA).

Nous sommes aujourd’hui bien loin de la volonté exprimée à l’époque d’éviter toute nouvelle tragédie sanitaire aux citoyens européens quand on constate les dérives de l’EFSA, plus soucieuse de la sécurité des industriels que de celle des consommateurs, ou encore lorsque, sur la demande de la Commission européenne, une majorité du parlement européen vota pour la réintroduction des farines animales.

En France, le Conseil national de l’alimentation préconisait une réintroduction des farines avec une distinction des deux filières. Mais un tel système exige une capacité de contrôle strict que nous n’avons à l’évidence pas. L’affaire Findus prouve que nous ne sommes pas en capacité de garantir la traçabilité d’une viande destinée à la consommation humaine ; alors tracer une farine, il ne faut pas y penser.

En cause, le système de régulation, de contrôle et de sanction

Mais au-delà de l’affaire Findus, les scandales à répétition démontrent que la question de l’insécurité alimentaire est désormais posée, car la succession de fraudes et dysfonctionnements démontre que le système de régulation, de contrôle et de sanction est en cause.

Fin 2010-début 2011, l’Allemagne connaît un épisode de contamination d’œufs et de viande de porc par de la dioxine. Le 17 janvier 2011 à Strasbourg, devant le parlement européen, feu le commissaire à la santé John Dalli indiquait qu’il « a déjà commencé à réfléchir à l’instauration de mesures susceptibles de rendre plus efficace le système européen de sécurité pour les aliments pour animaux ». Il expliquait alors aux parlementaires qu’il étudiait :

« la possibilité d’imposer une séparation stricte entre les productions de graisses à usage industriel et de graisses utilisées pour la fabrication de composants alimentaires pour les animaux »,

et qu’il jugeait également « nécessaire de rendre obligatoires des contrôles renforcés aux différents stades de la chaîne alimentaire pour déceler une éventuelle contamination à la dioxine. »

Et depuis, évidemment plus rien ! La révision, en juillet 2011, du règlement sur l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires était largement insuffisante, en raison des réticences du Conseil à prendre les mesures parfaitement connues et identifiées qui auraient permis de réduire effectivement les risques.

Un match consommateurs/industriels déséquilibré

Certes, ce règlement imposait une mention obligatoire du pays d’origine, en particulier pour les viandes et volailles fraîches, les fruits et légumes frais et les poissons. Mais l’étiquetage d’origine des produits alimentaires transformés n’a été soumis qu’à une évaluation d’impact préalable par la Commission.

Nous fûmes minoritaires à souhaiter un autre système d’étiquetage que celui que l’industrie a voulu et su imposer. Le match consommateurs/industriels est bel et bien déséquilibré, y compris au sein du Parlement, où je me demande parfois par qui et pour qui certains de mes collègues ont été élus.

Les autorités françaises, fidèles à une position qui consiste à affirmer des principes et à se garder de mesures pratiques d’application, ont adopté la position d’un « maintien du principe actuel de l’indication de l’origine ou du lieu de provenance de la denrée alimentaire sur base volontaire, ou obligatoire en cas de risque de tromperie du consommateur. »

On attend toujours que les Etats réglementent cette information, à commencer par la France qui ne l’a pas fait. Depuis 2009, on a probablement connu avec l’épisode de la colle à viande les prémisses de l’affaire Findus. Je me suis battue pour que le Parlement s’oppose à un projet de la Commission européenne, qui souhaitait autoriser l’utilisation de la thrombine bovine et porcine comme additif, afin de lier des morceaux de viandes séparés et ainsi constituer un morceau unique.

D’autres cas concrets de relâchement

Et, pour une fois, nous avons gagné, à une voix près lors du vote final, face à une tentative de dissimuler la vraie nature du produit vendu. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un autre cas concret de relâchement en matière de sécurité sanitaire, avec l’autorisation récente du nettoyage de la viande à l’acide lactique.

Pourtant, l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA) a montré dans une étude récente que la proposition de la Commission n’était pas compatible avec le règlement (CE) n° 2073/2005, relatif aux critères microbiologiques.

Nous avons échoué en commission parlementaire de l’Environnement à s’opposer à cette décision de la Commission européenne, essentiellement prise pour faciliter les relations commerciales de l’UE avec les Etats-Unis. Un autre bras de fer est en cours dans le dossier « Nouveaux aliments », avec notamment le risque de commercialisation d’aliments issus de descendants d’animaux clonés en provenance de pays comme les Etats-Unis.

Pour l’instant, le Parlement a tenu bon pour refuser de céder aux pressions, là encore motivées par les intérêts commerciaux. Mais, dans l’intervalle, et en l’absence de réglementation, tout ce qui n’est pas interdit étant autorisé, rien ne prouve que des descendants d’animaux clonés ne soient pas consommés en Europe.

Le sommet de l’iceberg

D’autres exemples pourraient être donnés. L’affaire Findus n’est que le sommet de l’iceberg auquel nous conduit un choix constamment fait en défaveur du consommateur et au bénéfice des intérêts industriels de court terme. Car, évidemment, le préjudice pour les sociétés qui, comme Findus, sont prises la main dans le sac, est immense.

La solution est simple :

  • mettre un terme au choix fait en faveur de l’insécurité alimentaire ;
  • cesser de mettre en place des réglementations multiples mais sans effet, comme le prétendu étiquetage de l’origine des produits, qui n’est que volontaire ;
  • cesser de prendre des risques sanitaires pour complaire aux pressions américaines dans le cadre de l’OMC, en oubliant que l’action de classe et les dommages punitifs au Etats-Unis sont des armes très dissuasives ;
  • arrêter de sacrifier sur l’autel de la diminution des dépenses de l’Etat, au demeurant nécessaire, les services de contrôle de la DGCCRF et des services vétérinaires, tout en prétendant fonder une réglementation laxiste au niveau communautaire sur les obligations de contrôle nationales ;
  • disposer d’une justice digne de ce nom, en cessant de priver de moyens le pôle santé environnement, en dessaisissant de fait les magistrats trop enclins à poursuivre et en faisant en sorte que les scandales sanitaires comme l’amiante ne soient jamais jugés, ce qui est un formidable espoir d’impunité pour tous les responsables des scandales sanitaires passés, présents et futurs.

Les solutions sont simples et connues. Il ne manque qu’un élément : la volonté politique. Mais la société civile ne restera pas éternellement passive devant une situation qui fait d’elle une victime physique et financière de choix indéfendables

 

 

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 19:50

 

 

LE MONDE | 11.02.2013 à 11h52 • Mis à jour le 11.02.2013 à 15h26 Par Editorial du "Monde"


 

L'Europe découvre avec stupéfaction qu'une viande de cheval roumain, vendue par des négociants chypriote et néerlandais, se change en boeuf entre Bucarest et les supermarchés de Londres, Oslo et Paris – qui croyaient naïvement vendre des lasagnes "pur boeuf". Elle avait découvert en 2008 avec la même horreur que les prêts hypothécaires américains à haut risque, les subprimes mitonnés par de petits génies de la finance, entraient dans la composition de produits financiers "toxiques" vendus par de respectables banques à des clients ignorant tout de leur dangerosité.

La complexité croissante des marchés sous l'effet de la mondialisation qui se rit des frontières, la concurrence exacerbée et l'entrelacs des systèmes de production créent de plus en plus d'incertitudes. Chaque pièce de chaque puzzle repose sur un savoir de plus en plus pointu et détenu par un nombre de plus en plus réduit d'individus. En dépit de l'accumulation des connaissances, la maîtrise des risques que nous créons apparaît de plus en plus hasardeuse.

Ce qui est vrai dans l'agroalimentaire ou la finance l'est aussi dans l'aéronautique, où une merveille technologique comme le Boeing 787 est cloué au sol parce que ses énormes batteries lithium-ion se révèlent défaillantes. Quelques mois avant sa certification, un directeur de recherche au CNRS alertait dans ces colonnes sur l'instabilité thermique de ce type d'accumulateurs : la connaissance du risque existait bel et bien. L'avionneur et son autorité de certification ont préféré nier l'incertitude.

Face à ces comportements dangereux, deux attitudes sont exclues. L'idéalisme, d'abord. Le protectionnisme réclamé par une députée conservatrice britannique souhaitant interdire toute importation de viandes en provenance du continent est impraticable. L'architecture de l'économie mondiale et la généralisation des chaînes de valeur rendent invivable la fermeture des frontières : l'interdépendance est si avancée qu'une telle mesure se retournerait contre son initiateur.

Mais le laisser faire ne serait pas moins redoutable. Les lasagnes mensongères, les produits financiers toxiques et les batteries aléatoires minent la confiance, sans laquelle il n'y a pas de croissance. Pas de croissance sans confiance, et pas de confiance sans réglementations et sans contrôles. On croyait ces codes de conduite en place et respectés. Il n'en est rien.

Le directeur France de Findus a déclaré qu'il ne pouvait "contrôler chaque ingrédient", et Benoît Hamon, ministre délégué à la consommation, qu'il ne pouvait "mettre un fonctionnaire derrière chaque pain de viande". Il leur faudra pourtant renforcer la traçabilité des produits, car la mondialisation des risques appelle une mondialisation des surveillances, pour éviter que malfrats, cupides et inconscients ne se défaussent de leurs responsabilités sur leurs contemporains.

Editorial du "Monde"

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 19:33

 

60millions-mag.com/

Alimentation - 11 février 2013

 

Avez-vous mangé de la viande de cheval sans le savoir ? Neuf marques de plats cuisinés sont pour le moment concernées par ce scandale… 60 Millions vous donne la liste complète des références retirées des rayons.

Venu du Royaume-Uni, le scandale des lasagnes à la viande de cheval provoque une onde de choc à travers l’Europe. L’Autorité britannique de sécurité alimentaire a en effet découvert, jeudi 7 février, que ces produits de la marque Findus contenaient plus de 60 % de viande de cheval alors qu’ils étaient étiquetés « viande de bœuf ».

Depuis, la liste des plats surgelés suspects s’est allongée avec les cannellonis, les spaghettis bolognaise, les moussakas et autres hachis parmentiers vendus sous la marque Findus ou celle de distributeurs.

Ils ont en commun d’avoir été préparés par l’entreprise française Comigel, elle-même fournie en viande par la société française Spanghero. Cette dernière a acquis la viande surgelée émanant de Roumanie.

Pour l’heure, tous les produits incriminés ont été retirés « du fait d’une non-conformité  d’étiquetage quant à la nature de la viande », selon la Fédération du commerce et de la distribution (FCD).

La liste des produits retirés des rayons
Findus

Moussaka 600 g – code-barres : 3599740007969
N° de lots : 2257 BN - 2258 BN - 2272 BN - 2354 BN - 2355 BN

Lasagnes à la bolognaise 600 g – code-barres : 3599740004517
N° de lots : 2252 BN - 2255 BN - 2282 BN - 2283 BN - 2293 BN - 2294 BN - 2299 BN - 2300 BN - 2319 BN - 2320 BN - 2327 BN

Hachis parmentier 600 g – code-barres : 3599740004500
N° de lots : 2220 BN - 2241 BN - 2242 BN - 2256 BN - 2278 BN - 2279 BN - 2280 BN

Lasagnes à la bolognaise 1,2 kg – code-barres : 3599740007983
N° de lots : 2240 BN - 2251 BN - 2252 BN - 2259 BN - 2261 BN - 2262 BN - 2283 BN - 2294 BN - 2300 BN - 2320 BN - 2327 BN - 2328 BN - 2339 BN - 2340 BN - 2346 BN - 2347 BN - 2356 BN - 3004 BN - 3005 BN - 3015 BN - 3016 BN - 3023 BN

Hachis parmentier 1,2 kg – code-barres : 3599740007990
N° de lots : 2249 BN - 2258 BN - 2259 BN - 2265 BN - 2266 BN - 2348 BN - 2349 BN

Les clients Findus peuvent obtenir plus d’informations au 0800 20 50 53. Findus s’engage à rembourser ceux qui rapporteraient ces produits.

Picard

Lasagnes à la bolognaise "Formule Express" 300 g
N° de lots : 14/12 et 315/12  (code 57376)

Les clients Picard peuvent obtenir plus d’informations au 0810 13 12 11. Picard s’engage à rembourser ceux qui rapporteraient ces produits.

Auchan

Lasagnes à la bolognaise surgelées
1 kg – code-barres : 3596710034307

Moussaka surgelée
300 g – code-barres : 3596710275236
850 g – code-barres : 3596710275618

Casino

Hachis parmentier surgelé
300 g – code-barres : 3222474411862
500 g – code-barres : 3222471975367
1 kg – code-barres : 3222471975336

Carrefour

Lasagnes à la bolognaise surgelées
600 g – code-barres : 3245411440176
1 kg – code-barres : 3270190020073

Cannellonis à la bolognaise surgelés
600 g – code-barres : 3560070398515

Cora

Lasagnes à la bolognaise surgelées
300 g – code-barres : 3257981314818
1 kg – code-barres : 3257980974440

Spaghettis à la bolognaise surgelés
300 g – code-barres : 3257981314832

Cannellonis à la bolognaise surgelés
900 g – code-barres : 3257983875997

Hachis parmentier surgelé
300 g – code-barres : 3257981314801
1 kg – code-barres : 3257980974433

Grand Jury (marque distribuée dans les magasins 8 à Huit, Proxi, Shopi)

Lasagnes à la bolognaise surgelées 600 g – code-barres : 3245390157911

Cannellonis à la bolognaise surgelés 600 g – code-barres : 3560070398522

Monoprix

Hachis parmentier surgelé
300 g – code-barres : 3350030180652
1 kg – code-barres : 3350030180669

Système U

Cannellonis à la bolognaise de la marque U
1 kg – code-barres : 3 256 221 660 876

Moussaka de la marque U
850 g – code-barres : 3 256 220 258 524

Cette liste est susceptible d’évoluer et nous vous tiendrons informé si de nouveaux retraits étaient décidés.


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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 19:30

 

 

Le Monde.fr avec AFP | 11.02.2013 à 16h55

 

Confrontation entre Greenpeace et les thoniers, en juin 2010.

 

 

L'association écologiste Greenpeace a été condamnée lundi 11 février par le tribunal correctionnel de Montpellier à des amendes, dont une partie avec sursis, pour avoir dégradé en juin 2010 des filets de thoniers sétois au large de Malte.

Le tribunal a suivi les réquisitions du procureur de la République Patrick Desjardin, en infligeant 10 000 euros d'amende, dont 5 000 euros avec sursis, à Greenpeace en tant que personne morale, et 5 000 euros d'amende, dont 2 500 euros avec sursis, contre deux responsables britanniques de l'organisation, William James Mackenzie, 42 ans, et Adam Oliver Knowles, 38 ans.

Sur l'action civile, le tribunal, qui a réfuté la nullité de la procédure plaidée à l'audience le 14 janvier, a nommé un expert afin de déterminer le montant du préjudice subi par les pêcheurs, en l'occurrence l'armateur Avallone (qui estime sa perte totale entre 90 et 95 tonnes) et a demandé à la partie civile le paiement d'une provision de 2 500 euros.

 

 UN BLESSÉ DANS UNE ALTERCATION

Le 4 juin 2010, au premier jour de pêche (les bateaux avaient été bloqués quinze jours en raison des conditions météorologiques), à 62 milles (environ 115 km) au sud de Malte, les activistes de l'organisation non gouvernementale avaient coupé et fait couler les filets des pêcheurs travaillant sur trois bateaux. Une altercation avait opposé les deux camps, faisant un blessé, un caméraman, qui n'a pas porté plainte.

 

 

Selon Greenpeace, la réaction des pêcheurs avait été disproportionnée. Une plainte a d'ailleurs été déposée avec constitution de partie civile. Pour les pêcheurs, il s'agissait seulement de défendre leurs filets et deux camarades, qui se trouvaient dans l'eau au moment de l'attaque. L'action de Greenpeace avait permis à une soixantaine de tonnes de thons de recouvrer la liberté. Les dégâts causés aux filets avaient, ajoutent-ils, ensuite nécessité une journée de réparation pour l'un des bateaux.
 

"Il est nécessaire de distinguer ce qui est moralement juste et ce qui est juridiquement autorisé", avait remarqué le procureur Desjardin, rapporte le quotidien régional Midi libre. "Aviez-vous conscience que ces pêcheurs travaillaient dans la légalité ?", avait demandé le président du tribunal Philippe De Guardia. "Nous contestons la légitimité des règles de pêche qui ont failli conduire à la disparition du thon rouge", avaient rétorqué les prévenus, absents lors du rendu du jugement.

 

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