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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 22:20

 

 

zad.nadir.org

 Infos du 4 au 10 novembre

mardi 5 novembre 2013, par zadist

 


Tant que la situation est calme, on continue les infos régulières, mais sur un rythme plus détendu d’un article par semaine, mis à jour tous les jours. Si quelque chose s’accélère, on donnera de nouveau les nouvelles en temps réel. Si vous voyez des mouvements de police anormaux autour de la zone n’hésitez pas à nous contacter en appelant le numéro d’urgence au 06.43.92.07.01

Mardi 5 novembre

Pas de panique ! On est toujours là et pas entré en phase d’hibernation, on a juste oublié de cliquer sur un bouton pour publier l’article ...

alors, pendant qu’on y est, un peu de lecture pour les journées pluvieuses :

- le 8ème épisode de Poétique de l’appel d’offres est sorti, au programme : nécropolisation, dépolitisation, ouvernement par les labels et les appels d’offres, etc. Forfaiture de la langue métropolitaine.

- les 2000 pages de la consultation publique sur les dossiers de dérogations des espèces protégées sont disponibles et commentables jusqu’à demain

- la petition photo qui visait à montrer le coté humain, la diversité des gens opposés à l’aeroport vient de depasser les 11 111 photos, comme autant de poings levés contre le projet

- un petit hymne à la boue qu’on nous a envoyé

- des nouvelles d’autres luttes :
A Bure, appel à une assemblée générale anti-nucléaire contre le site d’enfouissement de déchets nucléaires, CIGEO, le nucléaire et son monde samedi 9 novembre

- En Aveyron, un appel à manifester contre les forages pour un transformateur électrique mercredi 13 novembre à 14h00 au stade de foot de Saint-Victor : plus d’infos sur la lutte du Plateau Survoltéici

- Samedi, 9 Novembre, 2013 : Appel international pour la solidarité avec la lutte contre l’exploitation minière d’or en Chalcidique en Grèce

Lundi 4 novembre

- Il fait gris et humide... Mais ça, c’est pas nouveau.

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 22:09

 

 

reporterre.net

Je suis Breton et j’en ai assez des Bonnets rouges !

Yves-Marie Le Lay

mercredi 6 novembre 2013

 

 

 

Derrière les Bonnets rouges, il y a "ceux qui ont apporté à la Bretagne la pollution de l’eau, les troubles musculo-squelettiques et maintenant la fermeture d’usines agroalimentaires, malgré des aides publiques massives."


 

Je suis bBreton et fier de l’être. Samedi 2 novembre, j’étais à Carhaix, pas à Quimper. Pourtant, parait-il, l’avenir de la Bretagne, se jouait dans la capitale de la Cornouaille. Ce grand bal pour l’emploi était organisé par les pollueurs de nos rivières et de notre littoral, et par les exploiteurs de la force de travail bretonne. Avec un tel passif, qu’est-ce qui les autorisait à défendre notre région qu’ils ont tant abimée ? On pouvait encore penser hier que c’était le prix à payer pour une économie florissante. Forts alors de ce seul actif, ces acteurs de premier plan donnaient l’illusion d’une certaine compétence, les autorisant à un grand rassemblement pour l’emploi. Mais devant l’effondrement de l’économie bretonne dont ils sont les seuls responsables, quelle légitimité ont-ils encore à parler d’économie et d’emplois ?

Il leur aura suffi de casser quelques portiques d’éco-taxe pour redorer leur blason et trouver le coupable idéal. Comme les garnements dans la cour de récréation, pris la main dans le sac, ils disent alors : c’est pas nous, c’est les autres. Et les autres, ce sont toujours ceux qui sont loin : Paris, la République, l’Europe, la mondialisation, tout ce qui mettrait des freins à l’économie. Se dessine alors le cadre idéal : les autres sont les méchants responsables de tous nos malheurs. Faisons bloc entre nous Bretons contre eux. Et il faudrait croire à cette fable battue et rebattue qui a conduit à tant de tragédies ?

Je suis Breton et fier de l’être, et me voilà invité par ceux qui ont apporté à la Bretagne la pollution de l’eau, les troubles musculo-squelettiques et maintenant la fermeture d’usines agroalimentaires, malgré des aides publiques massives. Me voilà invité à Quimper par tous ceux qui ont perdu la Bretagne depuis quarante ans et qui n’ont comme avenir à lui proposer que de continuer à la gérer comme avant pour la perdre demain encore et toujours ! Me voilà invité à Quimper par des décideurs publics et privés incompétents et cyniques qui cachent mal sous leur bonnet rouge les oreilles de leur bonnet d’âne !

Quant aux salariés de l’agroalimentaire, on est triste pour eux, tant leur désarroi les égare. Les voilà mariés, bras dessous bras dessous, avec ceux qui ont cassé leur corps pour trois francs six sous et qui leur promettent pour avenir de continuer à le faire pour encore moins cher ! Inutile de se voiler la face. Samedi à Quimper, ce n’était pas un bal de mariage, seulement et tristement le bal des cocus...

C’est parce que je suis Breton et fier de l’être que je n’en peux plus de cette Bretagne qui souffre et surtout de tous ceux qui la font souffrir ! Je n’en plus de tous ces bateleurs d’une bretonitude rabâchée et racoleuse qui s’en servent pour mieux asservir les corps et les esprits ! Etre Breton, c’est autre chose que d’être supporter d’un club de foot et d’applaudir les vedettes payées à prix d’or ! Etre Breton, c’est respecter la dignité des femmes et des hommes. Etre Breton, c’est respecter l’environnement dans lequel ils vivent et qui les fait vivre ! Etre Breton, c’est avoir l’humanité comme maison, et la Bretagne comme berceau. C’est parce que je suis Breton et fier de l’être que je veux que tous les enfants de cette terre aient un avenir différent de celui qu’ont connu beaucoup de leur parent. Et pour cela, qu’on ne me demande pas de faire confiance à ceux qui portent depuis quarante ans ce modèle économique et humain qui a tant failli en Bretagne. Il faut en changer et ce changement se fera sans eux.

C’est pour cela que j’étais à Carhaix. Samedi, c’est là que je me suis senti Breton, avec toutes les organisations syndicales et politiques qui pensent un autre avenir pour notre région. Dans la capitale du Poher, loin de tous les démagogues nationalistes qui agitent le gwen a du et le bonnet rouge pour mieux masquer qu’ils sont les auteurs de la crise sociale, environnementale, économique et politique, loin des fossoyeurs de la Bretagne, il faisait bon être Breton.

 


 

Source : Le blog de pyb29

Photo : lhumanite.fr

Lire aussi : Des paysans bretons s’en sortent bien… en changeant l’agriculture.

 

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 22:01

 

infogm.org

 

UE – Dix nouvelles autorisations d’OGM pour l’importation données par la Commission européenne !
Eric MEUNIER, novembre 2013

Le mercredi 6 novembre, la Commission européenne a autorisé, pour l’alimentation animale et/ou humaine, dix plantes génétiquement modifiées (PGM), dites empilées, ainsi que le pollen issu de maïs MON810. Les PGM empilées contiennent plusieurs événements de transformation. La plus emblématique est le maïs SmartStax, avec huit transgènes. L’adoption en juin 2013 du règlement concernant l’évaluation sanitaire des OGM annonçait bel et bien la reprise des autorisations d’OGM pour l’importation et l’alimentation, comme l’avait prédit Inf’OGM [1].

Réunis en collège, les Commissaires européens ont finalisé la procédure d’autorisation pour la commercialisation du pollen issu de maïs MON810 pour l’alimentation humaine et de dix PGM contenant plusieurs événements de transformation pour l’importation, l’alimentation humaine et l’alimentation animale [2]. La Commission européenne a, une fois de plus, pallié l’absence de décision des États membres, d’abord le 10 juin 2013 au sein du Comité permanent de la chaîne alimentaire et de la santé animale (CP CASA), puis le 11 juin 2013 au cours du Comité d’appel.

La décision d’autoriser d’un coup dix PGM et le calendrier de vote inhabituellement serré (moins de six mois) que la Commission européenne a suivi confirment que la dynamique d’autorisations d’OGM en masse pour l’alimentation humaine et animale est (re)lancée. Cette reprise des autorisations a été déclenchée par l’adoption, en juin 2013, du nouveau règlement sur l’évaluation des risques sanitaires liés aux OGM. Selon Inf’OGM, l’adoption de ce règlement permettait en effet à la Commission européenne de se sentir les mains libres pour relancer les procédures d’autorisations de la cinquantaine de PGM en attente. Parmi les dossiers, une trentaine concerne des demandes pour l’importation et la transformation qui pourrait aboutir rapidement.

Gènes empilés, croisements de PGM : effets synergiques inconnus

La Commission européenne a également innové aujourd’hui sur un plan de procédure en délivrant une autorisation pour plusieurs PGM (le maïs Mon89034*1507*MON88017*59122 et ses « sous-combinaisons »). Le règlement européen (1829/2003 en l’occurrence) prévoit qu’une autorisation puisse être accordée sur la base d’un dossier concernant une plante GM, contenant un ou plusieurs événements de transformation, et non les combinaisons de ces mêmes événements non testés spécifiquement. Plus simplement, une autorisation peut être donnée en réponse à un dossier déposé pour une plante génétiquement modifiée avec les événements de transformation A+B+C. Mais ce même dossier ne peut concerner les sous combinaisons A+B, B+C et A+C de ces mêmes événements s’ils ne sont pas testés spécifiquement.

Inf’OGM avait donc questionné la légalité d’une telle décision. Mais la Commission européenne nous avait répondu que « rien dans le règlement 1829/2003 n’empêche ni la soumission d’un dossier contenant différents OGM, ni l’AESA d’adopter une opinion couvrant différents produits pourvu que chaque OGM ait fait l’objet d’une évaluation conforme au règlement ». La Commission européenne nous avait même appris que c’était elle qui avait souhaité que l’entreprise complète son autorisation de manière à couvrir « toutes les sous-combinaisons des événements simples présentes dans [la plante GM empilée], à l’exception de celles déjà autorisées ».

La Commission a aussi donné son feu vert au maïs SmartStax qui contient les évènements de transformation Mon89034*1507*MON88017*59122. Ce maïs, qui exprime six protéines insecticides et deux tolérances à des herbicides, est largement critiqué. L’association Testbiotech en Allemagne a dénoncé des lacunes dans l’évaluation des risques de cette PGM, comme l’absence d’étude des effets synergiques entre les toxines insecticides et les résidus de pulvérisation d’herbicide [3]. Des cas d’insectes ayant développé des résistances aux protéines insecticides exprimées ont par ailleurs été rapportés par le Pr. Tabashnik [4]. La Commission européenne a donc choisi d’ignorer ces nouvelles données. Inf’OGM rapportait d’ailleurs en juillet 2013 que Syngenta elle-même avouait de telles résistances, argument que l’entreprise avait mis en avant pour vendre un insecticide contre la chrysomèle : « Les variétés transgéniques Bt ont apporté un moyen pratique et efficace aux agriculteurs pour gérer la chrysomèle du maïs, mais (...) les récents cas de dommages inattendus de la chrysomèle et la difficulté de contrôler ces populations ont montré, plus que jamais, [la pertinence d’utiliser un insecticide que vend l’entreprise] » [5].

 

[2le maïs MON89034*1507*NK603 (dossier NL/2009/65 déposé en 2009 avec Dow AgroScience) ; le maïs Mon89034*1507*MON88017*59122 et ses « sous-combinaisons » (dossier CZ/2008/62 déposé en 2008) : les maïs MON89034*1507*MON88017, MON89034*1507*59122, MON89034*MON88017*59122, 1507*MON88017*59122 - les maïs MON89034x1507, MON89034x59122, 1507xMON88017 et MON88017x59122

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 21:41

 

lemonde.fr

"Marche du million de masques" : les Anonymous manifestent à travers le monde

Le Monde.fr | 06.11.2013 à 16h26 • Mis à jour le 06.11.2013 à 16h27

 

 

 

Durée : 01:35  |  Images : Reuters, AFP  

Le collectif international de hacktivistes Anonymous avait appelé à faire du 5 novembre une journée internationale de désobéissance civile, pour le jour de Guy Fawkes, l'Anglais du XVIIe siècle qui a inspiré leur masque. Images des cortèges à Washington, Londres, Rio et Manila.

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 16:16

 

 

blogs.mediapart.fr

Honte d’être allemand
Snowden - la honte allemande. 
Snowden - la honte allemande.© Mike Herbst / Wiki Commons

Angela Merkel a tranché – l’Allemagne n’accordera pas d’asile au «lanceur d’alerte» Edward Snowden qui avait, lors d’une rencontre avec le député vert Hans-Christian Ströbele à Moscou, exprimé son souhait de venir en Allemagne. Mais les autorités allemandes ne savaient pas sur quel pied danser. Après des déclarations assez confuses de la part de toutes les sensibilités politiques, la chancelière a pris sa décision – Edward Snowden ne pourra pas venir en Allemagne.

L’humanisme et la transparence importent donc peu au gouvernement allemand –qui préfère garder de «bonnes relations» avec les Etats-Unis qui eux, se fichent pas mal des relations avec d'autres pays. Si les conservateurs ne voulaient surtout pas que l’Allemagne accorde l’asile à Edward Snowden (mais pourquoi ? de peur que le monde découvre que le BND allemand se comporte de la même manière que la NSA ?), le SPD, les Verts et Die Linke voulaient bien accueillir Snowden en Allemagne. Pourtant, juridiquement, l’Allemagne aurait pu accorder l’asile à Snowden, à condition de déclarer cette démarche «dans l’intérêt de la politique nationale» ou en admettant le statut de Snowden comme «réfugié politique». Mais Angela Merkel craignait la réaction américaine.

En tant qu’Allemand, on ressent soudainement le poids de l'histoire allemande. Au lieu de sécourir un réfugié politique, poursuivi pour avoir dit la vérité, l'Allemagne se cache derrière l'excuse d'une situation juridique non adaptée à la situation. Le fait que le seul droit violé serait éventuellement le droit américain, un droit injuste ayant puni un autre «lanceur d’alerte», Brad Manning à 30 ans de prison, suffit aux Allemands pour s’exécuter. L’ambiance en 1945 a du être la même, lorsque les terribles juges du Troisième Reich se cachaient derrière l’excuse qu’ils étaient obligé de suivre le droit imposé par les Nazis. Et combien d’Allemands avaient trouvé réfuge dans d’autres pays qui, comprennant l’urgence humanitaire des réfugiés allemands du III. Reich, les avaient accueillis. Mais l’Allemagne semble avoir déjà oublié son histoire.

Vient s’ajouter une arrogance allemande totalement déplacée. Généreusement, les conservateurs se déclarent prêts à «interroger» Edward Snowden en Russie, évitant ainsi tout problème avec les USA. Mais quelle raison pourrait alors pousser Edward Snowden à coopérer avec un gouvernement qui s'est ouvertement rangé du côté de ceux qui ont aboli les libertés individuelles et qui lui refusent tout soutien ? Quelle arrogance de vouloir «interroger» l’icône de la liberté Edward Snowden comme un criminel commun !

Avec son comportement, le gouvernement allemand montre clairement où se situe actuellement son problème. Son problème, ce ne sont pas les 80 millions d’Allemands espionnés, son problème réside dans le fait que des membres du gouvernement aient été espionnés comme des citoyens ordinaires. Est-ce vraiment la mission d’Edward Snowden de coopérer avec des gens tellement éloignés du principe de la démocratie ? Coopérer avec des collaborateurs du système d'un «facisme numérique» américain ?

Malheureusement, on ne peut que conseiller à Edward Snowden de chercher un autre havre de paix. L’Allemagne n’a pas mérité les vérités d’un Edward Snowden. Et tout le pays devrait avoir honte d’avoir élu un gouvernement prêt à trahir les droits fondamentaux. Une honte !

 

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 16:09

 

 

mediapart.fr

En Grèce, mobilisations et grève générale contre l’austérité

|  Par La rédaction de Mediapart

 

 

Alors que les représentants de la Troïka (UE, BCE et FMI) sont en visite pour auditer les comptes publics du pays, avant le versement d'un nouveau prêt d'un milliard d'euros, la Grèce est en grève générale.

A l'appel des syndicats, la Grèce est en grève générale, mercredi 6 novembre, pour manifester contre l'audit des comptes publics par les représentants des bailleurs de fonds internationaux (UE, BCE et FMI), avant le versement d'une nouvelle aide financière d'un milliard d'euros.

La mobilisation des syndicats du privé (GSEE) et du public (Adeby) touche principalement les liaisons maritimes, les sites touristiques et les voies de circulation dans les grandes villes. Le trafic aérien est également affecté par la grève des aiguilleurs du ciel.

« La lutte continuera tant que le gouvernement maintient des mesures de rigueur dictées par la troïka des créanciers, qui plongent le pays dans la récession », ont affirmé les syndicats GSEE et Adedy, dans un communiqué commun.

Quelques jours avant la venue des inspecteurs de la Troïka, le président grec, Karolos Papoulias, avait déclaré lundi 28 octobre, que le peuple grec, touché par les plans d’austérité successifs, ne pouvait plus fournir d’efforts financiers supplémentaires.

« Les Grecs ont donné leur sang et tout ce qu'ils avaient, et ils donnent aujourd'hui tout ce qu'ils peuvent pour surmonter la crise. Ce doit être apprécié par l'Europe », avait expliqué le président grec. « Le peuple grec ne peut rien donner de plus. »

Depuis la plongée de la Grèce dans la récession, en 2008, l'Union européenne et le Fonds monétaire international ont déboursé un total de 240 milliards d'euros dans le cadre de deux plans de sauvetage successifs.

La Grèce a déjà utilisé 90 % de ces aides, alors que le plan est censé durer jusqu'à la fin 2014. Si elle veut atteindre son objectif de réduction de la dette, fixé par ses créanciers internationaux à 124 % du produit intérieur brut en 2020, la Grèce va avoir besoin d'une nouvelle aide en 2014.

En cinq ans, le taux de chômage grec a triplé à 27,6 % de la population active, tandis que l'économie s'est repliée de 22 %. D'après les estimations de la Troïka, le pays aurait des besoins financiers à hauteur de 10,9 milliards d'euros d'ici à 2015, dont 4,4 milliards en 2014.

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 16:02

 

mediapart.fr

Contrat Ecomouv : le procureur de Nanterre rouvre l'enquête

|  Par La rédaction de Mediapart

 

 

Alors que les indices d'irrégularités et de corruption ne cessent de s'accumuler autour du contrat signé avec la société Ecomouv, le procureur de Nanterre, Robert Gelli, a décidé de rouvrir l'enquête préliminaire.

Le procureur de la République de Nanterre, Robert Gelli, a décidé, mercredi 6 novembre, de rouvrir l'enquête préliminaire sur les conditions d'attribution du contrat liant l'Etat à la société Ecomouv, chargée de la collecte de l'écotaxe. 

« Cette enquête avait été classée sans suite il y a quelques semaines. Mais au vu de certaines choses dites récemment, j'ai décidé de la rouvrir. Il s'agit de savoir s'il y a eu dans l'attribution du contrat des éléments de nature à porter atteinte à l'égalité de traitement qui doit prévaloir dans les marchés publics », a indiqué le procureur de Nanterre. 

L’enquête a été de nouveau confiée à la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE).

Mardi 5 novembre, le chef de file des socialistes au Sénat, François Rebsamen, a annoncé que les sénateurs socialistes allaient demander la création d'une commission d'enquête parlementaire sur la société Ecomouv et le partenariat public-privé passé avec l'État.

 

 

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 15:50

 

 

mediapart.fr

Ecotaxe: le gouvernement envisage de renégocier le contrat Ecomouv

|  Par Martine Orange

 

 

 

Le gouvernement semble ne plus exclure de revoir les termes du partenariat public-privé signé pour la perception de l’écotaxe. Il en a les moyens, compte tenu des défaillances multiples de la société Ecomouv. Il pourrait le faire à moindre coût. Mais en a-t-il vraiment envie ?

L’écotaxe est en train de se transformer en foire d’empoigne politique. Brusquement, tous semblent découvrir les conditions de ce partenariat public-privé consenti au consortium Ecomouv et l’envers du décor de l’écotaxe. À droite comme à gauche, les responsables s’étonnent de ce contrat au coût de collecte exorbitant et demandent des comptes.

Sans attendre, les responsables socialistes à l’Assemblée nationale et au Sénat, Bruno Le Roux et François Rebsamen, ont réclamé une commission d’enquête parlementaire sur le contrat passé avec la société Ecomouv. François Rebsamen a l’intention de saisir le bureau socialiste au sénat pour demander la formation de cette commission dès mercredi 6 novembre.

L’initiative, selon nos informations, serait assez bien vue par Matignon, qui placerait chacun devant ses responsabilités. C’est peu dire que dans les couloirs du gouvernement, on supporte assez mal les critiques et les défausses de nombre de ténors de droite, qui semblent avoir oublié que ce contrat a été signé par le gouvernement de Nicolas Sarkozy.

Mercredi 6 novembre, le procureur de la République de Nanterre, Robert Gelli, décidait de rouvrir une enquête préliminaire sur les conditions d'attribution du contrat, annoncant au passage qu'une décision de classement sans suite avait été pourtant prise «il y a quelques semaines». «Au vu de certaines choses dites récemment, j'ai décidé de la rouvrir. Il s'agit de savoir s'il y a eu dans l'attribution du contrat des éléments de nature à porter atteinte à l'égalité de traitement qui doit prévaloir dans les marchés publics», dit aujourd'hui le procureur (lire à ce sujet notre premier article sur les soupçons de trucage de l'appel d'offre).

«Aujourd’hui en France, on a le bal des faux-culs et des lâches », s’est emporté le député UMP Thierry Mariani, ancien ministre des transports et signataire des décrets de l’écotaxe, visiblement irrité par les critiques de son propre camp. Après Xavier Bertrand, c’est le président de l’UMP, Jean-François Copé, qui a critiqué ce contrat « aberrant ». « Moi j’assume ce contrat totalement transparent », a répliqué de son côté Nathalie Kosciusko-Morizet, tout en en renvoyant la responsabilité sur des hauts fonctionnaires aujourd'hui dans les cabinets ministériels, bien qu'ils n'aient été ni de près ni de loin associés au dossier.

Et NKM d'ajouter « qu’elle n’avait pas initié ce contrat, lancé avant elle et signé après elle ». Il s’agit sans doute d’un trou de mémoire : le classement des appels d’offres puis le contrat de partenariat avec la société Ecomouv ont été signés par elle ou par délégation avec son accord écrit, lorsqu’elle était au ministère de l’écologie (voir la chronologie du contrat sous l’onglet Prolonger).

 

Jugeant que les responsables de droite étaient « gonflés » de renvoyer la responsabilité de l’écotaxe et du contrat à la gauche, le ministre des finances Pierre Moscovici évoque désormais la nécessité de revoir la logique du contrat passé par l’ancien gouvernement avec la société Ecomouv. « Cette société ne s'est pas acquittée de ses responsabilités, par conséquent nous serions fondés à la mettre en cause compte tenu de la non-exécution d'un certain nombre d'obligations. »

Cette évolution n’a pas échappé à nombre d’observateurs. Depuis une semaine, certains s’étonnaient de la position gouvernementale. Le problème, pour le gouvernement, semblait plutôt être de trouver les moyens de faire accepter socialement l’écotaxe, en trouvant quelques aménagements soit pour des professions exposées comme les agriculteurs, soit pour des régions excentrées comme la Bretagne ou Midi-Pyrénées. Mais sur le contrat, il observait une grande prudence. En avançant le chiffre de 800 millions d’euros de dédit – correspondant aux paiements des investissements matériels réalisés et aux indemnités pour rupture de contrat – , le gouvernement semblait dire qu’il était pieds et poings liés. Le coût de remise en cause du contrat était si exorbitant qu’il paraissait impossible de revenir dessus.

De son côté, la société Ecomouv allongeait l’addition, au fur et à mesure que la controverse augmentait : 20 millions de redevance par mois, si l’écotaxe n’était pas instaurée au 1er janvier, 1 million pour le remplacement de chaque portique démonté, des millions pour tout manquement au contrat. Mais d'obligations, point. 

Alors que les conditions du partenariat public-privé commencent à être connues et font polémique, le gouvernement admet désormais que dans le contrat avec Ecomouv aussi, il a quelques marges de négociation. De fait, l’État n'est pas totalement démuni, si celui-ci veut bien se faire entendre. Le contenu du contrat n’a jamais fait l’objet de publicité. Toutes les organisations qui ont voulu en prendre connaissance s’en sont vu refuser l’accès. Dernièrement, l’organisation des transporteurs routiers européens (OFRE), opposée depuis 2008 au système de mode de calcul de l’écotaxe et au partenariat public-privé, en a demandé la communication. Sa demande lui a été refusée au motif que celui-ci contenait « des informations industrielles et commerciales confidentielles ». L’organisation a saisi en référé la commission d’accès aux documents administratifs (CADA) pour obtenir le contrat. Celle-ci doit se prononcer le 7 novembre.

Même s’ils sont tenus par une clause de confidentialité, tous ceux qui ont eu connaissance du contrat disent qu’il comporte des clauses habituelles dans ce type de partenariat, avec des obligations de moyens et de résultats, des pénalités de retard, voire de clause de déchéance. Bref, l’État n’est pas sans recours, s’il le veut. Par peur sans doute de remettre en cause le principe même de l’écotaxe et de se priver aussi des recettes espérées, le gouvernement a peu insisté jusqu’à présent sur les armes dont il disposait.

Un système “novateur”

 

 
© Reuters

Pourtant, dès l’été 2012, le gouvernement arrivant au pouvoir s’est interrogé sur le fait de remettre en cause ou non le partenariat public-privé signé avec Ecomouv. Le chiffre de 350 millions d’euros circulait alors au titre d’indemnités de rupture. En septembre 2012, cette possibilité de rompre le contrat est totalement évacuée par le gouvernement. « La préoccupation était de mettre en œuvre l’écotaxe, alors que le gouvernement précédent nous avait laissé un dossier dans un état indescriptible, plutôt que de nous lancer dans un contentieux juridique », se souvient un proche du dossier.

Et puis, l’administration n’aime guère revenir sur la signature de l’État. Le fait que le Conseil d’État ait validé l’attribution du partenariat à Ecomouv donne, aux yeux des conseillers du gouvernement, une solidité juridique. Quant au coût – 270 millions d’euros de loyer toutes taxes par an –, il ne paraît pas hors norme, selon les critères administratifs. « Si l’on prend le coût kilomètre par camion, qui est la bonne unité de mesure, ce contrat est tout à fait comparable aux prix pratiqués en Allemagne ou en Suisse, autour de 0,22 euros par kilomètre », précise un connaisseur du dossier, qui insiste sur le fait que la collecte versée à Ecomouv est fixe, alors que les recettes globales de la taxe peuvent augmenter.  

La préoccupation d’installer l’écotaxe et de faire fonctionner le système paraît l’emporter sur le reste. Ecomouv a choisi de mettre en place un système de taxation par GPS, qui permet de géolocaliser les poids lourds et de les suivre par satellite. Chaque camion doit être équipé d’un boîtier, afin de pouvoir être tracé en temps réel. Les portiques installés sur les routes ne servent pas à assurer le télépéage, comme sur les autoroutes, mais à s’assurer que tous les camions sont bien équipés d'un boîtier et ne fraudent pas. Un système « novateur », s’étaient félicités les ministres au moment de la signature du contrat, mais qui coûte très cher à mettre en œuvre. D’autant que la société Ecomouv, qui n’a aucune expérience en la matière, semble peiner à en maîtriser la complexité.

Dès le début 2013, il devient évident que la société ne sera pas au rendez-vous pour implanter l’écotaxe en avril en Alsace et en juillet sur l’ensemble du territoire. Il y a des retards partout, des anomalies informatiques majeures tant sur le repérage que sur la facturation. Rien ne fonctionne comme il convient. En février, le ministre des transports prend donc la décision de reporter la mise en œuvre de l’écotaxe au 1er octobre, afin de donner le temps à Ecomouv d’améliorer son système.

Le temps passe et les dysfonctionnements sont toujours aussi nombreux. À plusieurs reprises, l’administration refuse de donner la première étape de l’agrément au système – dite vérification d’aptitude au bon fonctionnement (VABF) –, compte tenu des bugs majeurs qui subsistent dans le système. Le 5 septembre, le ministre des transports, Frédéric Cuvillier, estimant qu’il existe encore des problèmes majeurs et que le système n’est pas sécurisé, annonce un nouveau report  pour le 1er janvier 2014.

Depuis, le ministère des transports dit que la plupart des incidents techniques sont résolus, et que le système est fiable. Du côté des transporteurs et des sociétés associées, c’est un tout autre son de cloche. Le système, pointent-ils, n’a été testé qu’avec 4 500 camions dans toute la France. Où sont ces camions ? Comment cela fonctionne-t-il ? Aucune information n’est donnée. Certains évoquent des bugs où les signaux de géolocalisation sont transmis toutes les 2 minutes au lieu de toutes les 2 secondes.

D’autres parlent de problèmes techniques persistants, y compris dans la facturation. Sans parler des difficultés d’enregistrement pour les transporteurs afin d’obtenir des boîtiers pour chaque camion. Fin octobre, 100 000 camions seulement étaient enregistrés alors que les 800 000 camions roulant en France doivent être enregistrés d’ici au 1er janvier,  pour que le système de perception de l’écotaxe fonctionne. Tout cela est très technique mais pourrait devenir très politique si le système n’était pas parfaitement opérant au moment de son lancement.

Le 22 octobre, une réunion entre l’État, la société Ecomouv, les entreprises associées au télépéage et les transporteurs a tourné au clash. Beaucoup ont reproché à la société Ecomouv ses défaillances, son absence d’informations et de transparence. Le ministère des transports dit qu’il ne s’agissait que de différends bureaucratiques entre les sociétés de télépéage et la société Ecomouv.

Le système de perception de l’écotaxe n’a toujours pas obtenu la première étape de son homologation. Celle-ci est espérée à la mi-novembre. Une phase clé, semble-t-il. Selon nos informations, les banques créancières qui ont apporté tous les financements à la société s’impatientent et menacent d’appeler les actionnaires en garantie, si le système n’est pas approuvé par l’administration. Mais par la suite, il lui faut obtenir deux autres procédures d’homologation et de certification, selon les procédures administratives normales. Le ministère des transports se veut confiant.

« Franchement, je ne vois pas comment ils pourront être prêts au 1er janvier. D’autant que les responsables administratifs vont y regarder à deux fois avant de signer la conformité. Personne ne va prendre le risque d’approuver un système s’il comporte encore des imperfections, alors qu’une commission d’enquête parlementaire va être engagée et que la signature met en jeu 800 millions d’euros à la charge de l’État », remarque un connaisseur du dossier. Celui-ci pense que le gouvernement a toutes les armes en main pour dénoncer le contrat à moindre coût, si le système ne fonctionne pas.

Mais le gouvernement semble exclure pour l’instant cette solution. Le contrat de partenariat public-privé semble se confondre avec l’écotaxe. Remettre en cause l’un reviendrait, semble-t-il, à définitivement enterrer l’autre et compromettre à jamais toute fiscalité écologique.

Avec l’écotaxe, le gouvernement espérait retirer 80 millions d’euros de recettes par mois, après le prélèvement de la société Ecomouv. Le retard de sa mise en place par rapport aux engagements pris représente donc un manque à gagner d'un peu plus de 400 millions d’euros. Des pénalités de retard ont bien été incluses dans le contrat : elles s’élèvent à 8 millions par mois, dix fois moins que les recettes espérées. Et encore risquent-elles de faire l’objet d’un contentieux.

 

 

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 15:42

 

 

mediapart.fr

FagorBrandt en cessation de paiement, 2000 emplois menacés

|  Par La rédaction de Mediapart

 

 

 

FagorBrandt, la filiale française de la société espagnole Fagor, est en cessation de paiement, selon les syndicats de l'entreprise. Les 2 000 emplois des quatre usines du groupe sont menacés.

La filiale française du groupe espagnol Fagor devrait annoncer, mercredi 6 novembre, sa cessation de paiement et demander au tribunal de Nanterre, sa mise en redressement judiciaire, selon les syndicats du groupe d’électroménager.

A la suite du comité d’entreprise sur la situation financière du 5e groupe européen de l’électroménager, les syndicats ont indiqué, dans un communiqué, que les 2 000 salariés des quatre usines installées en France étaient menacés. 

A la sortie du Conseil des ministres, le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, a indiqué vouloir que Paris et Madrid s’unissent « pour organiser une reprise des activités ». « Les deux gouvernements ont décidé de conjuguer leurs efforts pour trouver des solutions de financement de toutes natures de manière que nous puissions sauver le maximum de sites et préserver le plus possible d'emplois. »

La majorité des salariés français de FagorBrandt sont au chômage technique depuis la mi-octobre, faute de matières premières, les fournisseurs ayant refusé de livrer sans être payés.

Le groupe comptait 5 642 salariés fin juin. En Espagne, le groupe a engagé une procédure de sauvegarde pour tenter de refinancer sa dette, qui s'élève à plus de 859 millions d'euros.

 

 

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 01:16

 

 

epicerie-sociale.e-monsite.com

 

lesmoutonsenrages.fr

4 novembre, 2013

Posté par Benji

 

source photos et textes http://solar.freeonplate.com/fr/

 

 

panneau-solaire.jpg 

source photos et textes http://solar.freeonplate.com/fr/


Cet article vous explique comment réaliser un panneau de chauffage solaire de démonstration pour un budget très faible.


          Il est en réalité incroyablement simple et économique de construire un chauffage solaire d'appoint pour sa maison. Le plus intéressant est que le système d'accumulation de la chaleur est construit a partir de canettes en aluminium vides!

 

Le soleil est une source d’énergie très puissante. On peut réussir à produire du chauffage par ce moyen.

 

Ce modèle permet plus d’expérimenter le principe que de réaliser une vrai installation de chauffage. Mais vous pouvez vous en inspirer pour créer un modèle fonctionnel à plus grande échelle.

         Plusieurs facteurs font qu'entre les énergies renouvelables (et écologiques), et les énergies conventionnelles (non renouvelables et non écologiques), le choix qui s'impose est d'abord celui de l'énergie conventionnelle avec pour argument principal le prix. Par exemple, les gigantesques profits générés par les monopoles sur les réserves stratégiques de pétrole. Lisez ce document pour voir qu'une simple personne peut faire la différence en construisant un panneau solaire à l'aide de pièces recyclées. Donc vive le recyclage!

 

 

bricolage panneau solaire, chauffage solaire          Le panneau solaire est construit a l'intérieur d'un cadre en bois (contre-plaqué 15mm), d'une plaque de Plexiglas / polycarbonate de 3mm. L'arrière contient une épaisseur de 20mm de laine de roche (ou styrodur) comme isolation. Les canettes se trouvent donc entre le plexiglas et la laine de roche.


          Le panneau solaire est fabriqué a partir de canettes de bière et de soda et couvertes d'une peinture noire résistante aux hautes températures. La partie supérieure et inférieure des canettes est spécialement transformée pour améliorer l'échange thermique entre elles. Quand le soleil brille, indépendemment de la température extérieur, l'air contenu dans les canettes se réchauffe très vite. Un ventilateur permet un flux régulier de l'air dans le système.

 

CHAUFFAGE SOLAIRE PAR COLLECTEURS FABRIQUES A BASE DE CANETTES PANNEAU SOLAIRE ÉTAPES DE CONSTRUCTION "DIY" BRICOLAGE

http://solar.freeonplate.com/fr/panneau_solaire.htm 

 

         Pour commencer, il faut récupérer des canettes vides qui seront le coeur de notre système. Il faut les nettoyer autant que possible car les odeurs dus aux moisissures se développent rapidement. Attention! Les canettes sont généralement faites en aluminium, mais certaines sont en métal. Testez-les avec un aimant. La conductivité thermique de l'aluminium est meilleur que celle du métal, c'est ce qui nous intéresse.

           Sur le fond de chaque canette, on fait 3 trous avec un pointeau

(Photo 2 et 3). 

canettes l'aluminium
           Sur le haut des canettes, on agrandit le trou ovale (celui par lequel on boit), en découpant l'aluminium du centre vers les cotes. Enfin, vous repliez les parties coupées vers l'intérieur. Il est important d'avoir ces "ailerons" a l'intérieur de la canette car cela provoquera un écoulement turbulent de l'air, et permettra ainsi a tout le volume d'air d'être en contact avec l'aluminium et de récupérer un maximum de chaleur.

 

           ATTENTION! Cette étape est dangereuse en raison de l'aluminium très coupant. Protégez vos mains.

           Si des morceaux d'aluminium tombent dans la canette lors de la découpe, pensez a les retirer avant le montage.

           N'enlevez pas les débris a main nues!

           L'extérieur des canettes doit aussi être propre. Nettoyer les avec une solution dégraissante, cela permettra a la peinture de bien adhérer.

         ATTENTION! Ci vous utilisez des produits inflammables, prenez vos précautions ; travaillez a l'extérieur et loin de toutes sources de chaleur.

          Coller les canettes avec une colle résistante aux hautes températures, au moins 200°C. Le haut et le bas des canettes s'emboîtent parfaitement. Appliquer la colle sur le rebord inferieur d'une canette et appuyer la sur la partie superieur d'une autre canette. De cette façon, la colle restera au maximum bloquée entre les 2 canettes (Photo 4). La Photo 5 illustre des séries de canettes finies.
Étant donné la quantité de colle dont vous aurez besoin, choisissez un tube de colle en cartouche a appliquer au pistolet. 

 


section canettes pour le chauffage solaire canettes pour le chauffage solaire modèle pour empiler les panneaux solaires


          Préparer un support pour empiler vos canettes. Celui de la photo 6 est fait avec 2 morceaux de bois plats cloues entre eux. Le but est de maintenir les canettes aussi droites que possible pendant le séchage. Vous pouvez aussi utiliser un élastique pour maintenir les canettes fixes sur le support.
Faites comme vous voulez, l'important est d'avoir des tubes de canettes bien droits.


collage des boîtes de capteurs solaires nombre de canettes panneau solaire canettes adhésif silicone


          Les photos 7, 8, 9 détaillent l'étape de collage. Une série de canettes collées forment un "tube solaire". La photo 10 montre le tube fixé sur son support en attendant le séchage total.


canettes série de capteurs solaires

       

  Les boites d'admission et de sortie d'air sont faites en bois ou en aluminium (ici en bois 10mm). Pour assurer une bonne étanchéité du système, pensez a siliconer les bords (toujours avec une colle résistante a la chaleur). Coté canette, les planches sont perforées de trous de diamètre 55mm (photo 11, 12). On les fixe sur le châssis, a la colle dans notre cas pour faire d'une pierre 2 coups : fixation / étanchéité, et on ajuste au mieux a la longueur des tubes de canettes. Le montage prend forme ! (Photo 13). 

 


panneau solaire de canettes - l'aspiration des  l'aspiration des panneaux solaires de canettes panneau solaire de canettes - de la conclusion


         La partie arrière du châssis est faite en contre-plaqué. Vous pouvez consolider la structure comme sur la photo 14. Pour améliorer l'effet "serre", on isole la partie arrière avec de la laine de roche ou du styrodur (photo 15). Faites bien attention a découper justement l'entrée et la sortie d'air.

 


Le logement bricolage panneau solaire isolation des panneaux solaires  bricolage installation de panneau solaire installation de panneaux solaires sur le mur sud


        L'assemblage, la protection, et la peinture du châssis est finie. On fixe des crochets sur les 4 coins (photo 16) ce qui permettra de fixer proprement notre panneau au mur (photo 17). Avant de percer vos murs, calculez bien votre coup et déterminez précisément la position des trous d'entrée / sortie d'air. A vous de décider si vous préférez aspirer l'air de l'extérieur ou de l'intérieur, ou de placer la sortie d'air en haut ou en bas de votre installation.

 

chauffage solaire pour la maison supplémentaires  panneaux solaires pour la maison supplémentaires maison de panneaux solaires en canettes


         Pour finir, on peint nos canettes en noir avant de les placer dans le châssis. On recouvre le châssis de la plaque de plexiglas qui sera collée de façon a éviter toute fuite d'air. Le plexiglas est placé de façon légèrement convexe pour être plus performant. Le solair système sans plexiglas avant d'être fini (photo 18), et une fois fini et installé (photo 19 et 20).

http://solar.freeonplate.com/fr/panneau_solaire.htm

comment un panneau solaire en canettes fonctionne.

           En construisant votre propre panneau solaire à l'aide des boîtes de coke, vous pouvez réaliser des économies importantes pendant la saison de chauffage. Selon la qualité de la construction et du matériel, un mètre carré de panneau solaire pop peut peut chauffer entre 10 et 15 m2 de votre espace de vie. En d'autres termes, 2x1m panneau solaire (2 mètres carrés couverts avec des cannettes de boissons gazeuses) peut chauffer jusqu'à 30m2 (mètres carrés) de votre maison.

           L'image suivante montre un schéma simplifié des éléments du panneau solaire pour le chauffage de l'air.

Réchauffeur d'air solaire panneau

           Le ventilateur aspire l'air froid de la salle. L'air passe ensuite à travers le filtre et le clapet anti-retour, qui va finalement dans le trou du bas par le tuyau en aluminium isolé. Aux fins de la réalisation et la distribution de l'air à travers le panneau solaire, il ya des boîtes d'aspiration séparés en tôle d'aluminium de 1 mm (0,04 pouces). Ces boîtes sont situées sur la partie inférieure et supérieure de la structure. Le fond de la boîte du collectionneur a le devoir de diriger l'air vers les tunnels faits de bidons, et dans la partie supérieure de l'air directement à partir des boîtes vers la bouche d'évacuation de l'air chauffé. 

        Par une journée ensoleillée, indépendamment de la température extérieure, le soleil est rapidement chauffer l'air dans des bidons. L'air chauffé est retourné à la salle à travers le trou supérieur du capteur solaire et tuyaux en aluminium pour la fourniture d'air chaud. Pièce chauffée, les aliments pour les tunnels tube d'air froid de canettes (panneau solaire) et le tuyau pour évacuer l'air chaud, forment un système fermé. L'air ne peut pas échapper à la bidons (qui font des panneaux solaires) dans l'espace intérieur du boîtier du capteur solaire afin d'éviter le dépôt de poussières et de formation de buée sur plexiglas.

         Ce système solaire n'est pas en mesure d'accumuler la chaleur - l'énergie solaire qu'ils produisent. Quand il fait beau, le capteur solaire génère de la chaleur, mais il est nécessaire qu'il soit immédiatement utilisée pour chauffer l'air à l'intérieur du logement. Si ce n'est pas ensoleillé, vous devez interrompre l'alimentation de l'air dans le capteur solaire, parce que sinon la salle a commencé à refroidir (vanne).


Panneau solaire est habituellement monté sur le côté sud de la maison, mais s'il n'est pas possible, alors vous pouvez les placer sur le sud-est ou sud-ouest côté. Lors de la détermination de l'angle de montage du capteur solaire, considérer l'angle de chute les rayons du soleil dans la saison d'hiver.

L'énergie solaire - rayonnement solaire - angle du faisceau de soleil

         Après l'achèvement et l'installation du collecteur sur la maison, la température extérieure de -3 ° C, à partir du capteur solaire est sorti 3 m3/min (3 mètres cubes par minute) d'air chauffé. Température de l'air chauffé est allé jusqu'à 72 ° C. Calculer la puissance qui a donné le capteur solaire est d'environ 1950 W (watts) qui est presque 3 CV (3 chevaux)! 

         Considérant que le principe que l'énergie solaire chauffe l'air assez facilement, nous pouvons conclure que les capteurs solaires de ce type et leur prix bon marché, sont vite rentabilisés.

 

Materiels

http://solar.freeonplate.com/fr/panneau_solaire.htm

           Pièces et matériels nécessaires pour le montage pop peut chauffe-eau solaire est répertoriée dans le tableau suivant. Au fond, vous pouvez voir le coût total pour le panneau solaire. Bien sûr, si vous parvenez à utiliser des pièces que vous avez déjà dans votre cave ou le garage, le montant final pourrait être réduit de manière significative.


          N'oubliez pas que vous aurez besoin de canettes en plus de la liste ci-dessus, et bien sûr, les outils.

          N'ayant pas réussi à traduire le matériel, je vous invite a nous le fournir, nous changerons le tableau 

panneaux solaires pour la maison chauffage solaire-specs du matériel

Spécifications techniques du panneau solaire:

                                              Largeur: 1090 mm

                                             Hauteur:2200 mm

                                        profondeur:160mm

                        espace extérieur total: 2.4m²

                                     intérieur total; 2.3m²

                                                  poids; 66Kg

                      Diamètre de prise d'air; 100mm

                   Diamètre de sortie aérien; 125mm

                            Nombre de canettes; 225pcs

                                           orientation; vertical/horizontal

plus de renseignements sur le matériel ici

Note importante

        Notre système de chauffage solaire n'est pas capable de stocker l'énergie thermique collectée. Lorsque le soleil brille, le collecteur solaire collecte de la chaleur, et il faut utiliser cet air chaud immédiatement. Si il y a trop peu de soleil, il faut interrompre l'entrée d'air dans le collecteur pour ne pas refroidir la pièce. Vous pouvez bricoler des vannes en entrée / sortie d'air pour isoler la pièce au maximum par mauvais temps.

      Un thermostat différentiel contrôle le ventilateur qui insuffle l'air dans le système. Ce thermostat se trouve en magasin d'électronique. Il comprend 2 capteurs de température. L'un est placé a l'entrée d'air, l'autre a la sortie. En fonction du paramétrage, le thermostat contrôle le débit du ventilateur pour laisser l'air + ou - longtemps dans le collecteur afin d'accumuler + ou - de chaleur.

          Avant son installation sur le mur, le panneau a été testé dans le jardin. C'était en hiver, un temps ensoleillé et aucun nuages. Un ventilateur de PC assure la ventilation de l'air dans le collecteur. Après 10 minutes en plein soleil, l'air en sortie du système a atteint une température de 70°C! Le résultat du test nous a encouragé a percer les murs et installer le panneau le plus vite possible. 

         Les mesures après la pose du panneau solaire ont confirmé les résultats précédents. La température extérieure était de -3°C. On fait circuler 3 m3/min dans le collecteur (le ventilateur a été remplace par un modèle + puissant que le ventilateur de PC). La température de l'air en sortie est grimpée jusqu’à 72°C, avant de se stabiliser a 45-55°C (mesurée avec un thermomètre digital). Pour calculer la puissante calorifique, on a pris le volume d'air expulsé et la température moyenne en sortie. La puissance approximative calculée pour le panneau solaire est de 1950 W (watts) ce qui fait + de 2.6Cv!!!

Voir les vidéo sur la construction du panneau solaire;

comment construire un panneau solaire avec des canettes (la vidéo)

 

CONCLUSION

        Vu les résultats très satisfaisants, on peut dire que ce panneau solaire vaut la peine d'être construit et utilisé comme chauffage d'appoint. A vous de calculer combien de bières il faudra boire pour chauffer votre maison au solaire a 100% par beau temps :)

Textes et photos sont une copie du site solar.freeonplate.com

rendez-vous donc sur cette page pour affiner la réalisation de ce projet

les autres liens pour ce projet;

http://solar.freeonplate.com/fr/panneau_solaire.htm

http://solar.freeonplate.com/fr/specifications-du-panneau-solaire.htm

olar.freeonplate.com/fr/comment-fonctionne-un-panneau-solaire.htm

http://solar.freeonplate.com/en/solar_video.htm

 

Réalisation et photos 
par Mladen   ("L'inventeur")

 

02. Decembre 2009.

 


Texte, photos, web design, SEO
par  (Docteur)
07. August 2010.

 


Traduit de l'anglais
par Thomas B
21. August 2011.



énergies renouvelables
PANNEAUX SOLAIRES bricolage

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