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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 20:56

 

 

Info reçue de collectifs du 34.

 

 

 Il y a une semaine, des représentants du pétrolier Lundin sont passés dans des mairies à l’ouest de Béziers demander l’autorisation de préparer une campagne séismique en vue de forer à la recherche d’hydrocarbures. La compagnie suédoise  "Lundin " doit bientôt renouveler son permis dit « Permis des Plaines du Languedoc » ( couvrant une zone allant de  de Lézignan-Corbières, Olonzac, St Chinian, Roquessels, Belarga et Montagnac jusqu’à la mer).

 Ne laissons pas les pétroliers venir pourrir notre belle région!!

 
 SAMEDI, 28 JUIN, Grande Marche/Manifestation, à partir de 10h00 à 30 kms à l’ouest de Béziers 
 Il faut venir très nombreux

 

 Plus de détails sur le lieu exact de rassemblement et parcours dans les jours à venir, mais d’ores et déjà retenez la date et venez défendre notre terroir avant qu’il ne soit trop tard!

 

 


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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 20:24

 

 

 

Caravane à vélos coordination Nimes ! derniéres infos......Le départ se fera à partir de  MONTBRUN-LES-BAINS en Drome provençale (et non en Ardéche) le dimanche 15 juin

-AVIGNON lundi 16 juin

-NIMES mardi 17 juin ARRIVEE PREVUE VERS LE SOIR (cela sera précisé au plus prés)

-MONTPELLIER 18 juin

-ANIANE et pause aux alentours d'Aniane vers le 20 juin

-BEDARIEUX 21 et22 juin

-MAZAMET 24 juin

-VILLEFRANCHE-DE-LAURAGAIS 26 juin

-TOULOUSE vendredi 27 juin et départ de TOULOUSE vers NDdL le samedi 28 juin


ERWAN amorcera le départ seul et les participants s'ajouteront au fur et a mesure de la progression à la CARAVANE A VELOS


FETE DE DEPART à Montbrun-Les-Bains le samedi 14 juin 12H pique nique et animation a partir de 14H

 

 


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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 20:18

 

Info transmise par le collectif  NDL de Nîmes

 

 

Ami-e-s COLLECTIF NDL, bonjour !!!

Sur les cendres encore chaudes de la fiesta cosomée construisons confiant-e-s l'alternative qui (entr'autre) le 13,14,15 juin par la FOIRE A L'AUTOGESTION à St.Jean du Gard et le 17 juin à Nimes la venue de LA CARAVANE A VELOS prenant sa source dans l'ardéche pour rejoindre début juillet Notre Dame des Landes pour le Festival des CONVERGENCES contre le projet aéroport et autres multiples Grand Projets Inutiles ! A l'origine de la caravane ERWAN acteur actif de la défense se la ZAD désire présenter son témoignage et les actions en cours, illustré par un diaporama (nous y reviendrons plus amplement!). Pour l'heure>>>>>> LE COLLECTIF BAT LE RAPPEL <<<<<< afin de préparer au mieux l'accueil et DONNER ENVIE A UN MAXIMUM DE PERSONNES DE S'INFORMER ET DE PARTICIPER ! Pour l'heure  nous avons les grandes lignes de l'organisation :

>acceuil de la caravane ! comme la caravane prends sa source pour faire de grandes riviéres (!) peut etre que ERWAN sera seul (voire bien accompagné) ce qui est d'autant plus sympa de participer au lancement de l'opération !

>un point de rassemblement en ville (l'horloge ?) avec calicots,stands,infos,boissons, et...INVITATION POUR LA RENCONTRE PUBLIQUE DU SOIR......

>rencontre du soir à fixer horaire, lieu (à ce moment attente de réponse) repas partagé

>l'hébergement (il y a plein de propositions)

DANS L'IMMEDIAT ! ce Mardi fabrication et impression des tracts et affiches et REACTIVONS chacun nos réseaux, PASSONS l'info !!!

DANS L'IMMEDIAT ! POINT de préparation/permanence/fabrication A DISPO ce MARDI, MERCREDI, JEUDI de 18Hà 20H

au 8 impasse Carriére Romaine Nimes......Contactons nous et contactons !!! à toute à l'heure !!!   dd

 

 

 


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9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 17:07

 

Source : www.reporterre.net

 

La dette perpétue l’accaparement du monde et le pillage des ressources

Renaud Duterme (CADTM)

vendredi 6 juin 2014

 

 

 

Si les impacts sociaux et environnementaux de la colonisation sont aujourd’hui connus, le capitalisme a depuis trouvé un moyen de poursuivre son emprise sur le monde et les ressources naturelles : la dette.


La nature colonisée

Si une partie des bouleversements écologiques l’ont été malgré les instigateurs de l’expansion européenne (pensons aux transferts de plantes, d’animaux et de maladies entre les différents continents) (1), la colonisation, par l’imposition d’un modèle productiviste et capitaliste, a été à la source d’un désastre écologique dont les conséquences se font sentir jusqu’à aujourd’hui.

C’est en effet à cette époque qu’a débuté un processus de production sans limite, si ce n’est l’accumulation elle-même. Concrètement, cela s’est traduit par la subordination à un système de monocultures impossibles à cultiver dans les régions tempérées du Nord ainsi que par l’exploitation jusqu’à épuisement des ressources minières et forestières des pays colonisés.

Cette exploitation, qui a été un des facteurs du décollage économique de l’Europe, a entraîné dans les régions concernées un épuisement des sols, la destruction de l’habitat et la disparition d’espèces, une déforestation massive ainsi qu’une vulnérabilité accrue aux aléas climatiques.

On retrouve déjà cette constatation sous la plume d’Eduardo Galeano au sujet de la canne à sucre : « Le sucre a détruit le Nord-est du Brésil. Cette région de forêt tropicale a été transformée en savane. Naturellement propice à la production alimentaire, elle est devenue région de famine. Là où tout avait poussé avec exubérance, le latifundio destructeur et dominateur ne laissa que roc stérile, sol lessivé, terres érodées. […]

Le feu utilisé afin de nettoyer le terrain pour les champs de canne dévasta la faune en même temps que la flore : le cerf, le sanglier, le tapir, le lapin, le paca et le tatou disparurent. Tout fut sacrifié sur l’autel de la monoculture de la canne ». (2)

Par la suite, l’industrialisation des régions du Centre a encore accru l’exploitation, celle des peuples colonisés mais également de leurs écosystèmes. Les cinq derniers siècles de pillage portent ainsi en eux les germes de la crise écologique globale que nous connaissons.

Si l’exploitation coloniale et ses conséquences environnementales sont aisément compréhensibles, on peut se demander pourquoi les indépendances n’ont pas mis fin à la situation. Or, le pillage mis en œuvre a perduré grâce à une arme aussi pernicieuse qu’efficace : la dette.

L’écologie de la dette

La dette va devenir la pièce centrale d’un néo-colonialisme, permettant aux grandes puissances (pays riches au service de leurs entreprises transnationales) de poursuivre l’accaparement du monde sans s’encombrer de la tutelle politique.

Si la dette a depuis des siècles été utilisée comme moyen de domination, l’après-guerre va voir se mettre en place un véritable système dans lequel tout sera fait pour que les pays pris au piège ne puissent s’en défaire, du moins sans un renversement du rapport de force au profit des populations.

Les liens entre écologie et dette ont été résumés par le dictateur indonésien Suharto, pour qui « il n’est pas nécessaire de se casser la tête à propos des dettes, car [l’Indonésie] a encore des forêts pour la rembourser » (3). Les pays endettés seront effectivement contraints de brader leurs ressources naturelles aux grandes transnationales pour satisfaire le remboursement de la dette. (4)

Cet élément est fondamental pour comprendre l’accès aux matières premières bon marché dont ont bénéficié les pays les plus nantis et qui permet d’expliquer la période de croissance qu’ont connut l’Europe, les Etats-Unis et, dans une moindre mesure, le Japon, ces dernières décennies.

Sur le terrain, l’exploitation intensive va se généraliser puisque, mondialisation oblige, on va assister à une concentration d’une demande provenant des quatre coins du monde sur des zones d’offre limitées. (5) Cela aura d’ailleurs pour conséquence perverse d’encourager une consommation sans limite, les effets de la production se faisant sentir bien loin des lieux d’achat....

 

*Suite de l'article sur reporterre

 

 

Source : www.reporterre.net

 

 

 

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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 19:00

 

 

Source : www.marianne.net


 

Révélations

Corruption au Brésil : les documents qu'Alstom n'aurait jamais voulu voir publiés
Vendredi 6 Juin 2014 à 12:30

 

Patricia Neves

 

Cette semaine, Marianne consacre sa couverture à ceux qui "se croient au-dessus des lois", du Qatar à Bygmalion, en passant par France Télé jusqu'aux... caisses noires d'Alstom. Car au Brésil, d'anciens hauts dirigeants du fleuron industriel français sont soupçonnés de corruption active et blanchiment d'argent. Ces derniers auraient pris l'habitude de distribuer des mallettes d'argent à des fonctionnaires d'Etat pour s'assurer l'obtention de contrats importants. Un système visiblement très au point et une affaire qui tombe mal.

 

Siège d'Alstom à Levallois-Perret, perquisitionné par la police le 21 novembre 2007 - Christophe Ena/AP/SIPA
Siège d'Alstom à Levallois-Perret, perquisitionné par la police le 21 novembre 2007 - Christophe Ena/AP/SIPA
Soumis au bon vouloir de la justice brésilienne, Alstom appréhende et se défend. Laborieusement. Les accusations sont graves. Corruption active, blanchiment d’argent. Le tout publiquement exposé dans un acte d’accusation de près de cinquante pages soigneusement rédigé par les procureurs fédéraux de São Paulo en février dernier. Déterminés, ces derniers comptent bien récupérer les deniers publics de l’Etat paulista qui auraient été utilisés par Alstom dans le versement de généreux pots-de-vin en 1998. Onze personnes, dont d'anciens dirigeants du groupe français, sont actuellement mis en examen.
 
A l’époque des faits, Alstom négociait âprement l’obtention d’un « important » avenant à un contrat signé avec les pouvoirs publics quinze ans plus tôt. Ce contrat, baptisé « Gisel », visait à moderniser les réseaux d'énergie de la ville, notamment celui de l'extension de son métro. Pour s’assurer de le décrocher, sans passer par un appel d’offre ouvert à la concurrence, Alstom aurait mis le paquet. Deux dizaines de millions de reais (8 millions d’euros), dissimulés en partie dans des mallettes, en liquide et en petites coupures s'il vous plaît, auraient été distribuées aux grands décideurs de l'Etat de São Paulo.

Livrées par des convoyeurs à moto qui les déposaient dans des restaurants, comme le révèle Marianne cette semaine, les mallettes arrivaient directement dans les mains de hauts fonctionnaires brésiliens corrompus et confortablement attablés. Les sommes étant dans un premier temps transférées via des sociétés écrans (des sociétés offshore immatriculées dans des paradis fiscaux) sous couvert de faux contrats de consultants. Car leur montant était inclus dans le prix du contrat (252 millions de francs, plus de 38 millions d'euros) établi entre Alstom et l'EPTE, l'entreprise publique à l'origine de l'offre chargée de la transmission de l'énergie de la mégalopole brésilienne. 

Trois pour cent de 252 millions de francs accordés par ci, 1,5% validés par là... Voici ce que semble nous montrer le tableau récapitulatif d'une note interne au groupe français... 

 

La répartition des commissions payées par Alstom dans le cadre de la signature du 10e avenant au contrat Gisel (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
La répartition des commissions payées par Alstom dans le cadre de la signature du 10e avenant au contrat Gisel (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Des pratiques que ne commente pas ou peu le fleuron de l’industrie française. Sollicité, l'entreprise Alstom s'est contentée de faire parvenir à Marianne un communiqué, élaboré à l’avance (voir en fin d'article). Cette fois, au moins, elle a préparé sa défense, contrairement à cet hiver. Déjà contacté par nos soins en janvier, le groupe s’était en effet fendu d’un « no comment ». 
 
Alstom prend donc ces « allégations » (ou plutôt les accusations des juges brésiliens) « très au sérieux ». Et ils ont raison. Les preuves paraissent accablantes comme le montre le PV d’audition d’un ancien directeur commercial d’Alstom en charge notamment du Brésil. Interrogé en 2006 dans le cadre d'une commission rogatoire internationale par la justice française, celui-ci commence par nier.

 

Extrait du PV d'audition de l'ancien directeur commercial d’Alstom en charge du Brésil, le 3 juillet 2006. (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Extrait du PV d'audition de l'ancien directeur commercial d’Alstom en charge du Brésil, le 3 juillet 2006. (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Avant de changer d'avis deux ans plus tard en avouant avoir dépassé le seuil de commissions autorisé à l'époque, avant la loi anticorruption de 2000, par la COFACE, l'organisme d'assurance-crédit qui protège les entreprises d'éventuels impayés.

 

Corruption au Brésil : les documents qu'Alstom n'aurait jamais voulu voir publiés

 

PV d'audition du même directeur commercial, le 4 juin 2008. M. Metz, son supérieur hiérarchique dont il évoque le nom est depuis décédé (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
PV d'audition du même directeur commercial, le 4 juin 2008. M. Metz, son supérieur hiérarchique dont il évoque le nom est depuis décédé (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Comme lui, d'autres anciens cadres d'Alstom ont des trous de mémoire inopinés. A l'instar du directeur commercial international de Cegelec, racheté en 1998 par Alstom, également interrogé en 2006.

 

Extrait du PV d'audition du directeur commercial international de Cegelec, le 3 juillet 2006 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Extrait du PV d'audition du directeur commercial international de Cegelec, le 3 juillet 2006 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Il y en a pourtant un qui se met à table dès l'ouverture de l'information judiciaire en France. C'est l'ancien directeur financier d'Alstom. Un temps mis en examen pour abus de biens sociaux, recel d'abus de biens sociaux, corruption active d'agents étrangers, il a été acquitté lors du non-lieu général requis en 2009 par le procureur. Car il était autorisé, jusqu'en juin 2000, de verser des commissions...

Celui-ci raconte donc, sans détour, le circuit mis en place par Alstom et dont le premier arrêt se faisait dans la banque d'Oskar Holenweger chargé du transfert des fonds, via ses sociétés « Janus » et « Assessores » ou encore « Basilio ».

 

PV d'audition de l'ancien directeur financier d'Alstom, en juillet 2006 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
PV d'audition de l'ancien directeur financier d'Alstom, en juillet 2006 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Ainsi, contrairement à ce que dit Alstom, les commissions qui auraient été versées au Brésil ne seraient pas un cas isolé. Elles auraient fait en réalité partie d'un système très organisé et même institutionnalisé, comme le raconte l'ancien directeur financier, en 2008, de nouveau face aux enquêteurs.

 

Extrait du PV d'audition du même directeur financier en 2008 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Extrait du PV d'audition du même directeur financier en 2008 (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

 

« La direction commercial "étranger" connaissait l'existence de ce compte et c'est elle qui ordonnait les mouvements. » Une information que confirme une source proche du dossier en parlant quant à elle de direction commerciale « internationale ». 

Alstom aurait donc payé cher, très cher les fonctionnaires brésiliens pour obtenir l'avenant au contrat Gisel. Comme elle a payé les fonctionnaires publics de Malaisie, Tunisie ou encore Lettonie selon la justice suisse qui a condamné l'entreprise en 2011 à une amende record de 40 millions de francs suisses.

 

Communiqué d'Alstom transmis à Marianne

Alstom est actuellement confronté au Brésil à des allégations de non-conformité aux lois et règlements sur la concurrence. Alstom ne peut pas commenter ces allégations, qui paraissent essentiellement se référer à des questions qui datent du début des années 2000 ou avant, parce que des enquêtes sont toujours en cours. Alstom prend évidemment ces allégations très au sérieux et mène sa propre enquête approfondie, avec le soutien d'un certain nombre de cabinets d'avocats externes spécialisés. Alstom tient à souligner que la société a mis en œuvre dans l’ensemble de son organisation des règles strictes d’éthique et de conformité que tous les employés doivent respecter. Le programme de conformité d'Alstom a été certifié par ETHIC Intelligence, une agence indépendante, et évalué « atteindre les normes internationales les plus élevées ».

 

 

 

 

 

 

 

Source : www.marianne.net

 

 

 

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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 17:29

 

 

 

La dernière émission de la saison du Carrefour des résistances présentée par Hugo et Christian

la production d'énergie locale, un moyen de reconquête d'un pouvoir local par les citoyens.

masavi


Les émissions précédentes :

http://www.radiosysteme.fr/#!brouillon-de-culture/c1uxu

 

 

 

 

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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 17:03

 

 

 

Foire à l'Autogestion Gard-Cévennes

 Cette foire à l'Autogestion poursuit la lignée des foires à l'autogestion de Montreuil, Toulouse, des Convergences de Lézan 2011, du Forum Social Local et des nombreuses initiatives dont notre territoire est riche.

 En clin d’œil (au Marché), nous avons choisi de la placer sous la mention du "Triple A" :

  Autogestion, Autonomie, Alternatives. 

  Nous vous convions à participer à cette aventure collective.

  Plusieurs possibilités s'offrent à vous :

◘ Participer à son organisation, aux réunions et aux forums de mise en place...

  ◘ Venir partager, avec vos idées et votre expérience, sous la forme de stands, tables rondes, vidéos, Arts Vivants, Musiques acoustiques...

  ◘ Faire vivre un « quartier » de cette foire, représentant un domaine de notre vie quotidienne : se nourrir, se loger, se vêtir, se soigner, se déplacer, s’instruire, échanger, savoir-faire et décider ensemble, centrale énergétique, nos medias, place de la Solidarité́ et des luttes.

  ◘ Venez montrer vos expériences pour reconquérir la vie quotidienne, si vous avez des choses à partager sur le sujet ou simplement si le thème vous est cher.

  

13-14-15 juin à Saint-Jean-du-Gard (30) 

  

http://foireautogestion.eklablog.com/ 


Programme foire à l'autogestion


Vendredi 13 Juin

Tables rondes


- 14h - 16h :             * Écologie et Autogestion  

Intervenants : Janie Arnéguy (Les Alternatifs), Michel Lepesant (Objecteur de Croissance), Jocelyn M (Alternative libertaire).


* Autogestion et propriété : quels moyens donner à l'autonomie ou pourquoi l'émergence des ZAD ? Intervenant : Boris Aubligine.

- 17h - 19h :             * Sortir de la vie marchandise pour retrouver l'autonomie  

Intervenant : Bernard Floris, sociologue auteur de « la vie marchandise ».

* L'autogestion dans la révolution Tunisienne.
Projection du Film Dégage (40min) de Mohamed Zrann sous titré en fr - Discussion avec des militants et militantes tunisien-ne-s : Majda Dhahri, Sonia Louati, Mohamed Amami, Mohamed Fadhel.


Films/débats

- 12h - 14h :

- 18h - 20h :              * Ne vivons plus comme des esclaves est un film documentaire du franco-grec de Yannis Youlantas, qui donne la parole à des opposants grecs à l'austérité présenté et animé par Sergio Ghirardi.


Samedi 14 juin

Tables rondes

- 11h - 13h :              * Les pratiques autogestionnaires dans les révoltes du XXIe siècle. Regards croisés sur la Tunisie, l'Espagne, le Portugal, la Grèce, le Mexique, USA. Intervenants : Majda Dhahri, Jocelyn M, Sergio Ghirardi, Boris Aubligine.


* Conflit d'usage sur la biomasse forestière dans nos territoires : s'opposer au projet EON et construire des alternatives

 Intervenants : Nicholas Bell de la coopérative Longo MaÏ, Christian Sunt, forestier et des élus de PACA de la coordination SOS forêts du Sud.

- 14h - 16h :            * Des luttes et expérimentations sociales à l'autogestion :

Intervenants : Richard Neuville de l'Association pour l'Autogestion, Sergio Ghirardi, auteur de « Nous n'avons pas peur des ruines : les situationnistes et notre temps ».


* Mésusage de l'argent et bon usage de la monnaie Intervenants : Michel Lepesant de la coordination nationale des monnaies locales, Sylvie Anoi des SEL, Boris Aubligine monnaie locale Cévennes.

- 17h - 19h :             * Les Alternatives à la logique libérale des Métropoles

Intervenant : Guillaume Faburel, professeur à l’université Lyon 2, et membre des collectifs Montpellier 4020 (http://montpellier4020.wordpress.com/) et Lyon 4020 (http://lyon4020.com/). D'autres membres du collectif de Montpellier seront présents.


* Les sociétés coopératives et participatives (SCOP), d'autres relations avec les usagers et le territoire".

Avec les représentants des SCOP : FRALIB, la Fabrique du Sud, CoopSoleil, la Ressourcerie du Pont.


Films /débats

- 12h - 14h :             * "Vivre en Yourte, un choix de Liberté" de Florence Chaumont, débat animé par Sylvie Barbe.


- 18h - 20h :             * « La Voix du Vent » - Semences de Transition.

Intervenants : Jean-Luc Danneyrolles, agriculteur de Provence et Carlos Pons, réalisateur Espagnol, organisent un voyage vers Grenade à la rencontre du mouvement social alternatif, entre agro-écologie et changement de paradigme. Avec la présence de Jean-Luc Danneyrolles jardinier au « Potager d'un curieux ».


Dimanche 15 juin

Tables rondes


- 11h - 13h :             * Auto construire pas cher, mais où ?

Intervenants : Maxime Vasseur de Rahmabaman, réseau d'auto constructeurs solidaire, Wilhem Sunt de HALEM (Association d'Habitants de Logements Éphémères ou Mobiles).


* En quoi l'agro-écologie conduit-elle jardiniers et agriculteurs à retrouver de l'autonomie -

Intervenant : Buch, formateur en agrobiologie.


- 14h - 16h :             * Cercle des Perspectives


Films/débats

- 12h - 14h :             * Collectif Les Ziconofages

De jeunes agriculteurs du cœur d'Hérault témoignent à travers un film de leurs envies et difficultés à s'installer. On suit Rudy et Samira en installation progressive depuis 3 ans sans capital de départ.

 

 

 


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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 16:46

 

 

Pour recevoir la lettre d’Attac30 et être informé des activités du groupe Attac Nîmes, inscrivez-vous à cette adresse ou bien en envoyant un message à AttacNîmes

   

 

La lettre d’ATTAC Nîmes
 
Juin 2014

   
Sommaire presque chronologique:
1/ Samedi 28 juin à partir de 14h30 : Assemblée Générale d’ATTAC Nîmes (Assemblée générale élective, et si c’était pour vous l’occasion de rentrer au conseil d’administration – groupe d’animation- d’ATTAC Nîmes ?)
2/ TAFTA : infos + réunion du collectif Stop TAFTA 30 : Mardi 11 juin à 18h30 à St Géniès de Malgoires (salle municipale)
3/ Du vendredi 13 au dimanche 15 juin à St Jean du Gard : Foire à l’autogestion
4/ Prochaine réunion mensuelle du groupe ATTAC Nîmes : mardi 17 juin à 19h
5/ Université européenne des mouvements sociaux initiée par le réseau Attac du 19 au 23 août à Paris !
6/ Des idées pour cet été :
- Notre Dame des Landes : rassemblement contre le projet d’aéroport - le 5 & 6 juillet 2014
- l’altervillage d’ATTAC du 27 juillet au dimanche 3 août 2014 à Saillans (Drôme)
- l’altertour du 12 juillet au 17 août 2014 (Il passera par la Haute-Loire, le Puy-de-Dôme, le Cantal, la Corrèze, la Haute-Vienne, la Creuse, la Dordogne, la Charente, la Vienne, les Deux-Sèvres et la Charente-Maritime).
7/ 59% de la dette publique est illégitime : stop à l’austérité !
8/ Faut-il sortir de l’euro ?
9/ Mondial 2014 : la coupe est pleine !
10/ Coopérative : victoire des Fralib contre le géant Unilever
11/ 3e numéro des Possibles, la revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac France
12/Et toujours : pour recevoir les infos d’ATTAC France et les meilleurs émissions à la télé, ATTAC pour les Nuls, les lectures ATTAC, pour voir ou revoir le documentaire « Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde », pour changer de banque…
1/ Samedi 28 juin à partir de 14h30 : Assemblée Générale d’ATTAC Nîmes
(Assemblée générale élective !)
Le comité local d’Attac Nîmes vous invite à son Assemblée Générale,
Le 28 juin 2014 à partir de 14h30, 
Au local du comité de quartier de la Placette (ancienne école maternelle) au 26 bis rue Bec de lièvre à Nîmes. (Possibilité d'adhérer le jour même sur place). 
Ce sera, dans le contexte politique actuel, un moment privilégié pour continuer à baliser le chemin vers un monde solidaire, écologique et démocratique, un moment privilégié d’échanges, de réconfort et de convivialité.
Et si c'était l'occasion de participer plus activement à la vie du groupe local d'ATTAC Nîmes, en intégrant le Conseil d'Administration qui doit être renouvelé lors de cette Assemblée Générale ?
ATTAC Nîmes sera ce qu'on en fera, en fonction des envies, des aspirations et des disponibilités de chacun ! Alors cette année, on passe ensemble à l'ATTAC ?

 

 

2/ TAFTA (projet d’accord de libre échange USA/Europe): infos + réunion du collectif Stop TAFTA 30 - Mardi 11 juin à 18h30 à St Géniès de Malgoires (salle municipale)
• Prochaine réunion du collectif Stop TAFTA 30 : Mardi 11 juin à 18h30 à St Géniès de Malgoires (salle municipale, à côté de la Mairie).
Covoiturage possible : voir http://gard.demosphere.eu/rv/1622
Rappel : pour rejoindre le collectif et la liste d’échanges : envoyer un message à info@stoptafta30.fr 
• Infos :
- Pour avoir plus d’infos ou pour voir les collectifs Stop TAFTA et les collectivités locales qui se déclarent hors TAFTA toujours en plus grand nombre en France : https://www.collectifstoptafta.org/
- Vidéo édifiante sur le mécanisme de protection des investisseurs (en anglais avec sous-titres français) : https://france.attac.org/actus-et-medias/les-videos/article/tafta-le-mecanisme-de-protection
- 250 arrestations et une affligeante répression policière à Bruxelles : https://www.collectifstoptafta.org/l-actu/article/250-arrestations-et-une

- « TAFTA : Les investissements étrangers n’assurent pas le développement » (Tribune d’Aurélie Trouvé et Maxime Combes publiée dans le Monde) 
- « Accord transatlantique : la mobilisation se poursuit pour la démocratie et la transparence » (Collectif national Stop TAFTA) :  
3/ Du vendredi 13 au dimanche 15 juin à St Jean du Gard : Foire à l’autogestion
Cette première foire à l'autogestion, qui s'inscrit dans la lignée des convergences énergétiques et des autres mouvements pour la transition, veut être un pas de plus vers l'autogestion de nos territoires et de nos vies.
Elle s'adresse à toutes les personnes qui souhaitent partager leur expérience sur l'autonomie, l'autogestion, les alternatives et luttes émancipatrices.
4/ Prochaine réunion mensuelle du groupe ATTAC Nîmes : mardi 17 juin à 19h
Les réunions mensuelles du groupe ATTAC Nîmes se tiennent le 3e mardi de chaque mois.
Réunion du CA (conseil d’administration) d’ATTAC Nîmes : pour participer à la vie de l’association au niveau local et décider des initiatives locales.
Au 6, rue Porte d’Alès (1er étage) à Nîmes.
Réunion qui se finit en une conviviale « auberge espagnole » : chacun amène de quoi grignoter, boire un coup et on partage tout.
Ces réunions sont ouvertes à tout le monde.
N’hésitez pas à venir nous rencontrer, l’actualité est chargée,
tous les coups de main sont les bienvenus !
5/ Inscrivez-vous à l’Université d’été européenne d’Attac (du 19 au 23 août à Paris) !
L’Université d’été, c’est un programme riche, avec 9 forums-débat avec des invités venus de France et de toute l’Europe sur des sujets d’actualité depuis le traité transatlantique à l’euro, en passant par la taxe sur les transactions financières. Différents réseaux et organisations de pays européens et d’autres continents ont proposé plus d’une centaine d’activités pour débattre et travailler ensemble, et un programme culturel composé de visites, d’évènements militants, culturels et festifs sera proposé aux participants.
Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire à notre Université d’été, en allant sur le site Internet de l’événement :http://www.esu2014.org/fr/participer/article/s-inscrire

Il vous sera alors également possible de réserver un hébergement : 3 solutions différentes sont proposées (petites chambres collectives, gymnase, hébergement solidaire).
Afin de faciliter l’organisation de l’évènement, nous vous invitons à le faire dans les prochains jours ou prochaines semaines.
Plus d’infos : http://www.esu2014.org/
6/ Des idées pour cet été :
- Notre Dame des Landes : rassemblement contre le projet d’aéroport - le 5 & 6 juillet 2014
- 7e altervillage d’ATTAC du 27 juillet au dimanche 3 août 2014 à Saillans (Drôme)
Informations pratiques & inscriptions :
- l’altertour du 12 juillet au 17 août 2014 (Il passera par la Haute-Loire, le Puy-de-Dôme, le Cantal, la Corrèze, la Haute-Vienne, la Creuse, la Dordogne, la Charente, la Vienne, les Deux-Sèvres et la Charente-Maritime).
Le thème de cette année est : “Travailler, Pour Qui ? PourQuoi ?
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 juin 2014 sur le site internet de l’AlterTour :
Accès au parcours , au programme, aux inscriptions, au Recueil des Alternatives de l'AlterTour 2014, aux Flyers et affiches 2014
Venez pédaler, goûter à l’autogestion, partager une belle tranche de vie collective dans la simplicité volontaire ! L’AlterTour est un relais solidaire ouvert à tous sans exigence de performance ou de durée (inscription à la journée).
7/ 59% de la dette publique est illégitime : stop à l’austérité ! (rapport du Collectif pour un audit citoyen de la dette – mardi 27 mai par ATTAC France)
L’audit de la dette publique publié aujourd’hui par les experts du Collectif pour un audit citoyen est un pavé dans la mare des politiques d’austérité : sur les 1950 milliards d’euros de dette publique accumulés depuis trente ans, près de 600 milliards sont dûs à des taux d’intérêts excessifs, et près de 500 milliards proviennent des cadeaux fiscaux consentis principalement aux riches et aux actionnaires. Au total, pas moins de 59% de la dette publique est illégitime. Pour stopper l’austérité qui dope le FN et ses amis, il faut sans tarder engager une restructuration des dettes publiques en France et en Europe.
8/ Faut-il sortir de l’euro ?
L’euro était supposé servir la coopération entre les peuples, il est plutôt devenu une machine de guerre contre les peuples. L’austérité ravage la zone euro pour rassurer les créanciers et les marchés.
Que faire de l’euro ? que faire de l’Europe ?
En sortir pour revenir à notre bonne vieille lutte des classes nationale ?
Ou le refonder avec les peuples qui le voudront bien ?
Peut-on encore construire un mouvement social européen, avec qui et comment ?
Vidéo du très intéressant débat (25 mn) avec :
Athanase Contargyris (Attac Grèce)
Thomas Coutrot (Attac France),
Frédéric Lordon (auteur de « La Malfaçon. Monnaie européenne et souveraineté démocratique »)
9/ Mondial 2014 : la coupe est pleine !
Du 12 juin au 13 juillet, la Coupe du monde de football a lieu au Brésil. En 2016, les Jeux Olympiques seront organisés dans ce pays. Pour ces deux évènements sportifs et commerciaux, des sommes colossales sont dépensées, alors que nombre de besoins essentiels de la population ne sont pas satisfaits, loin de là. Par ailleurs, la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) comme le Comité International Olympique (CIO) ont la détestable habitude de s’accommoder sans sourciller avec des régimes totalitaires.
10/ Coopérative : victoire des Fralib contre le géant Unilever
« C’est une victoire syndicale de grande portée » se réjouissent les Fralib. Au terme de trois années et demi d’occupation de leur usine à thés et de tisanes à Gémenos, dans les Bouches-du-Rhône, les Fralib ont signé à l’unanimité le 25 mai un protocole d’accord avec le groupe Unilever.
Rappel : ATTAC Nîmes avait lancé à Nîmes des actions d’appel au boycott des produits Unilever dans les hypermarchés Carrefour et Géant Casino : la lutte paie !
11/ 3e numéro des Possibles, la revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac France
Les précédents numéro sont disponibles en ligne Numéro 1 ; Numéro 2.
12/Et toujours : pour recevoir les infos d’ATTAC France et les meilleurs émissions à la télé, ATTAC pour les Nuls, les lectures ATTAC, pour voir ou revoir le documentaire « Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde », pour changer de banque…
> Pour recevoir directement la lettre d’ATTAC Nîmes (1 à 2 par mois en général), merci de nous le demander en écrivant à nimes@attac.org
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Nouvelle revue « les possibles » gratuite et trimestrielle à l’initiative du Conseil Scientifique d’Attac France et de ses membres.
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Les dernières parutions :
- Que faire de l’Europe ? Désobéir pour reconstruire NOUVEAU ! 
- Petit manuel de la transition, pour toutes celles et ceux qui aimeraient mais doutent qu’un autre monde soit possible (ATTAC)
- Leur dette, notre démocratie (ATTAC)  
- Changer l’Europe ! (les économistes atterrés)
- Le féminisme pour changer la société (ATTAC – Fondation Copernic)
- La richesse, la valeur et l'inestimable - fondements d'une critique socio-écologique de l'économie capitaliste (Jean-Marie Harribey)
- L’Europe mal-traitée (les économistes atterés)
- La nature n’a pas de prix ! Les méprises de l’économie verte (ATTAC)
- 15 idées reçues sur la fiscalité (ATTAC)
- Le piège de la dette publique, comment s’en sortir (ATTAC)
Plus d’infos et les autres livres conseillés : http://france.attac.org/nos-publications/livres/
> Visitez le site d’ATTAC France !
Régulièrement des nouveautés en ligne, de nouvelles courtes vidéos, interviews, communiqués…sur http://www.france.attac.org/
> Le coin vidéo :
- nouvelles vidéos en ligne dont les interviews d’ATTAC TV France à l’Université d’été d’Attac France à Nîmes en juillet 2013 !
Conférences filmées et les toutes dernières courtes interviews d’ATTAC TV France (souvent de 2 à 4 minutes) :
- « Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde » (diffusion Arte)
Depuis cinq ans, Goldman Sachs incarne les excès et les dérives de la spéculation financière. Anatomie d’un pouvoir qui ne connaît ni frontières ni limites et menace directement les démocraties.
La suite et le documentaire ici : http://local.attac.org/attac30/spip.php?article914
- « Ne vivons plus comme des esclaves » (Grèce) : Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée. A voir ici : http://nevivonspluscommedesesclaves.net/
> Changer de banque ?
Les banques françaises au banc d’essai par ATTAC et les Amis de la Terre :
Synthèse du rapport :
> « ATTAC pour les Nuls » par notre groupe local. 
N’hésitez pas à le faire connaître !
> Quelques bonnes sources d’informations :
% Deux blogs à suivre de près :
• Blog de Jean-Marie Harribey (ex-co-président d’ATTAC France, membre du Conseil Scientifique d’ATTAC France et co-président des Economistes Atterrés) : http://alternatives-economiques.fr/blogs/harribey/
• Blog de Jean Gadrey (économiste, membre du Conseil Scientifique d’ATTAC France et auteur de « Adieu à la croissance ») : http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/
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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 18:01

 

Source : rue89.nouvelobs.com

 

 

Au guichet 06/06/2014 à 17h00
Amende : la BNP peut-elle couler (et cinq autres questions) ?
Camille Polloni | Journaliste Rue89

 

 

 


Des dollars (Antonin/Flickr/CC)

 

Les Etats-Unis veulent sanctionner la banque française BNP Paribas, qui a fait du commerce avec des pays sous embar

go entre 2002 et 2009.

 

1 Pourquoi la BNP est soumise à la loi américaine ?

 

Parce que les opérations financières ont été libellées en dollars : toute transaction en dollar, même si elle est passée entre deux sociétés basées en dehors des Etats-Unis, passe à un moment où à un autre par New York, et donc par la juridiction des Etats-Unis. Elles sont traitées par une « chambre de compensation », qui convertit en dollars les paiements réalisés.

Les Etats-Unis ayant décrété un embargo strict sur plusieurs pays, dont l’Iran, Cuba, la Libye et le Soudan, ces transactions passées par le sol américain entre 2002 et 2009 sont donc délictueuses au regard de la loi américaine, même si la banque travaillait depuis Genève. L’une des sanctions envisagées par les Etats-Unis contre BNP Paribas est d’ailleurs d’interdire transitoirement à la banque de compenser en dollars, ce qui lui porterait préjudice au niveau international.

C’est le régulateur bancaire du comté de New York, Benjamin Lawski, et le procureur fédéral de l’Etat, Cyrus Vance, qui ont déclenché les poursuites.

Si BNP Paribas avait libellé les opérations financières en euros, elle aurait été soumise aux lois européennes, beaucoup moins restrictives vis-à-vis de ces pays, et tout aurait été légal. Le gouverneur de la banque de France souligne que BNP Paribas n’a pas contrevenu aux règles françaises, européennes ou mises en place par les Nations-Unies.

En conséquence, le ministre des Finances Michel Sapin s’est déclaré « favorable au renforcement de l’euro comme monnaie de confiance dans les échanges internationaux », « dès lors que les Etats-Unis considèrent que les transactions dans leur monnaie peuvent avoir des conséquences judiciaires ». Mais à ce jour, sur les marchés de matières premières, la quasi-totalité du commerce international se fait en dollars.

2 La BNP peut-elle couler ?

 

Non. Même si la banque n’a provisionné qu’1,1 milliard de dollars pour faire face à une amende américaine, elle disposait en décembre 2013 de 91 milliards d’euros de fonds propres. Elle fait donc savoir qu’elle « pourrait facilement absorber une sanction de plusieurs milliards de dollars ».

Le montant précis de l’amende réclamée par les Etats-Unis ne cesse d’augmenter. Passée de 3 à 5 milliards de dollars, elle serait désormais comprise entre 10 et 16 milliards.

Lorsque le ministre de l’Economie Arnaud Montebourg évoque une « peine de mort » qui « n’est pas acceptable, sur aucune entreprise », il exagère sans doute. Mais la formule permet de montrer la détermination du gouvernement français, en soutien à l’établissement bancaire. Il est vrai que BNP risque de subir une baisse de son cours de bourse, une atteinte à sa réputation et un affaiblissement général.

A titre de comparaison, les pertes du Crédit Lyonnais dans les années 90 sont estimées à 130 milliards de Francs (l’équivalent de 27 milliards d’euros aujourd’hui). Après une quasi-faillite, la banque avait été privatisée en 1999.

3 Quel sera le coût pour le contribuable ?

 

« Compte tenu des fonds dont dispose la banque », un scénario où l’Etat renflouerait la banque pour la sauver est « peu probable », estime un analyste financier spécialisé sur les banques.

En revanche, l’amende infligée (qui risque d’être aggravée par l’interdiction temporaire de travailler en dollars) aura des résultats sérieux sur les bénéfices du groupe et donc sur l’impôt sur les sociétés que ce dernier paye chaque année. Le manque à gagner pourrait être de plusieurs milliards d’euros pour l’Etat.

4 Que peut faire le gouvernement français ?

 

Sans contester la validité de l’analyse juridique américaine – la banque a continué ses transactions, même après des avertissements –, les pouvoirs publics tentent d’obtenir, par la voie diplomatique, une remise sur l’amende, en mettant en avant le « caractère disproportionné des sanctions envisagées » et le « risque de déstabilisation de la zone euro ».

C’est la formule utilisée par François Hollande dès de mois d’avril, dans une lettre à Barack Obama. Le Président français a remis la question sur la table à l’occasion des célébrations du débarquement. Une initiative assez mal vue du côté américain, où l’on considère que le président des Etats-Unis n’a pas à intervenir dans un dossier judiciaire.

5 Quelles têtes vont tomber ?

 

Dans un entretien au Monde jeudi, le ministre des Finances Michel Sapin confirme que des employés de BNP Paribas ont déjà été licenciés.

« La banque a pris des décisions lourdes, en interne, pour adapter ses procédures. Un certain nombre de collaborateurs qui avaient participé aux transactions concernées ont été remerciés dans des conditions nettes et claires », révèle le ministre, précisant que ses contacts avec BNP Paribas sont réguliers.

Sous pression du régulateur américain, une dizaine de hauts responsables de BNP Paribas pourraient quitter la banque, dont le directeur général délégué Georges Chodron de Courcel, ou encore Baudoin Prot, le président du groupe.

6 La crise peut-elle remettre en cause le traité transatlantique ?

 

C’est ce qu’affirme Michel Sapin :

« Cela pourrait affecter les discussions en cours sur le traité de libre-échange. C’est une question suivie de près par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius. »

Le ministre des Affaires étrangères a également réagi. Aux yeux de Laurent Fabius, le traité « ne peut exister que sur une base de réciprocité ».

« Evidemment, si dans le cas d’une banque européenne, c’était d’unilatéralisme qu’il s’agissait et non pas de réciprocité, ça risque d’avoir des conséquences négatives, c’est exact. »

Menace ou réalité ? Le montant final de l’amende infligé par les autorités américaines à BNP Paribas devrait être connu d’ici quelques semaines.

 

 

Source : rue89.nouvelobs.com

 

 

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 17:42

 

Source : www.mediapart.fr

 

De BNP Paribas à la BCE, l’Europe est toujours plombée par ses banques

|  Par Philippe Riès

 

 

 

La vraie question posée par la chronique de l'actualité monétaire et bancaire en Europe est celle des institutions politiques qui placent les intérêts des banquiers au centre des « marchandages ». L’Europe va donc continuer à payer un lourd tribut, économique et social, à un jeu où les banquiers se distribuent les meilleures cartes.

Tandis que l’ennemi autoproclamé de la « finance » (c’est loin, le Bourget…) s’agite en défense de la banque BNP Paribas, qui s’est pris les pieds dans le tapis effiloché de la justice américaine (notre article ici), les dirigeants de la BCE s’enfoncent un peu plus, en frappant le sol de leur canne blanche, sur le chemin obscur des mesures dites « non-conventionnelles », dont personne ne sait où il conduit. En résumé, les banquiers ne font pas le travail pour lequel l’État leur accorde des franchises privilégiées, à savoir financer l’activité économique. Mais ils ont néanmoins droit à la sollicitude des pouvoirs publics quand leurs jeux spéculatifs tournent mal. Le changement, ce n’est vraiment pas maintenant.

 

Fragile par dessin: les banques 
Fragile par dessin: les banques © PUP

Dans un livre remarquable, Fragile by Design (Fragile par dessin ou… dessein), dont une recension plus complète viendra plus tard, les universitaires américains Charles Calomiris  et Stephen Haber écrivent notamment que « la banque moderne est le mieux comprise comme un partenariat entre le gouvernement et un groupe de banquiers, un partenariat mis en forme par les institutions qui gouvernent la distribution du pouvoir dans le système politique ».

« Les politiques gouvernementales à l’égard des banques, poursuivent-ils, reflètent les accords qui donnent naissance à ces partenariats, ainsi que le pouvoir des groupes d’intérêt dont le consentement est crucial pour la capacité du groupe politique qui contrôle le gouvernement à soutenir ces accords. » Sous cet angle, tout le développement de la crise financière mondiale depuis son éclatement en 2007 est une formidable illustration de ce que les auteurs appellent le « jeu des marchandages bancaires », un « processus politique » dont « les enjeux sont le pouvoir et la richesse ».

En prenant le contrôle en 2000 de Paribas, au terme d’une violente guerre de mouvement contre la Société générale qui avait déjà négocié un rapprochement amiable avec la vénérable banque d’affaires, les hauts fonctionnaires de la banque « à la française » ne mettaient pas seulement la main sur l’Orangerie de la rue d’Antin, où il s’installeront en conquérants, mais sur un « animal » assez particulier, à l’ADN bien différent du leur. Une culture bancaire internationale plus proche de la flibuste que de la gestion domestique de la rente. Que les sérieux ennuis de BNP Paribas aux États-Unis viennent des agissements « borderline » de l’ancienne Paribas Suisse n’est pas « innocent ». 

Dans le « bagage » apporté par Paribas au nouvel ensemble, il y avait aussi une leçon qui s’est répétée à de multiples reprises depuis les origines de la globalisation financière : pour les banquiers européens, l’Amérique est rarement, pour ne pas dire jamais, la terre promise. En 1984, Paribas, nationalisée comme toute la finance française en 1981, mettait fin à l’hémorragie financière provoquée par l’aventure américaine commencée dix ans plus tôt avec l’entrée au capital de la banque d’affaires de Chicago, A.G. Becker, devenue ensuite Becker Paribas, filiale à 100 %.

Comment Michel Pébereau et ses successeurs, Baudouin Prot puis Jean-Laurent Bonnafé, ont-ils cru pouvoir conduire une « grande stratégie américaine », centrée sur BancWest en Californie, tout en voulant jouer au plus fin avec la législation américaine sur les embargos visant l’Iran, le Soudan et Cuba ? Perte de contrôle de l’héritage génétique de Paribas, qui vient de se rappeler à leur bon souvenir ? Ou plutôt incompréhension du fait que dans « la distribution du pouvoir dans le système politique » aux États-Unis, le « jeu des marchandages bancaires » n’obéit pas tout à fait aux même règles qu’en France où les banquiers peuvent toujours compter sur la bienveillance d’un « régulateur captif », avant tout sensible aux intérêts de ceux qu’il « régule ». Tout l’enjeu de la future Union bancaire européenne, ce qui explique une gestation dans la douleur, étant de savoir si le transfert de la supervision au niveau européen changera véritablement cette donne pour les grandes banques dites « systémiques » comme BNP Paribas. À voir.

Pour les banques américaines, la facture pénale de la « crise des subprimes » et de ses ramifications dépasse les 70 milliards de dollars, et devrait encore gonfler de quelque 12 milliards avec le dernier épisode BofA, les actionnaires ayant jusqu’ici accepté de payer pour que les « rois de Wall Street » évitent la prison. Ce n’est pas un hasard si le patron de Goldman Sachs, Lloyds Blankfein, s’est inquiété avant tout de l’effet d’un « plaider coupable » par Crédit Suisse (c’est fait) et BNP Paribas (c’est probable), un passage officiel aux aveux que les banques américaines ont réussi à éviter jusqu’à présent.

Culture, histoire, religion : dans les arrangements institutionnels américains, le mensonge est pire que le crime. Les informations distillées jour après jour par la presse américaine laissent entendre que BNP Paribas paiera très, très cher d’avoir menti pour dissimuler la fraude. Et que des têtes tomberont.

« L'ennemi de la finance » au secours de BNPP

L’intervention, tardive, maladroite et vouée à l’échec, du gouvernement français dans ce contentieux procède, elle, d’une conception « relativiste » de l’indépendance de la justice dans un pays qui ne parvient pas à se débarrasser de son héritage napoléonien afin de rejoindre la pratique ordinaire des démocraties avancées (il en va de même pour les institutions politiques bonapartistes de la Ve République). La part étant faite à la gesticulation politique d’un pouvoir complètement dévalué, c’est aux dirigeants de BNP Paribas que le gouvernement français devrait demander des comptes, pas au président des États-Unis qui a eu beau jeu de botter en touche.

Ayant donc fait, une fois encore, la preuve de leur nocivité, les banques continuent par ailleurs à faire la démonstration de leur inutilité. C’est, en substance, ce que Mario Draghi est venu confirmer, s’il en était besoin, à l’issue de la dernière réunion du conseil des gouverneurs de la BCE, le 5 juin.

Tout est dans le constat suivant : « Le taux annuel d'évolution des prêts aux entreprises non-financières était de -2,7 % en avril 2014, comparé à -3,1 % en mars », dans la zone euro. On peut y ajouter l’évolution du principal agrégat monétaire (M3), tombé à 0,8 % en avril, contre 1 % en mars. Autrement dit, toutes les mesures empilées par la banque centrale depuis 2007-2008 n’ont toujours pas réussi à déboucher « le canal de transmission de politique monétaire », les banques ne jouant pas le jeu. L’économie « réelle » de la zone euro reste piégée dans une trappe à liquidité, les entreprises victimes d’un « credit crunch » persistant.

Il faut évidemment féliciter Francfort de n’avoir pas (pas encore ?) cédé aux sirènes des « marchés » en se ralliant à « l’assouplissement quantitatif » pratiqué au Japon (pionnier et récidiviste avec les « Abenomics »), aux États-Unis et en Grande-Bretagne. La démonstration est faite que cette politique d’achat indiscriminée de titres de dette (publique et privée) affiche un rendement marginal extrêmement faible dans la relance de l’économie mais alimente par contre la hausse des actifs boursiers et immobiliers, pour le plus grand bénéfice de leurs détenteurs et des intermédiaires financiers. 

Même si on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif, Mario Draghi et ses collègues pensent néanmoins qu’ils peuvent traîner le bourricot jusqu’à l’abreuvoir et lui mettre la tête dans l’eau. Au milieu d’une batterie de mesures qui cherchent à atteindre une multiplicité d’objectifs (la politique monétaire a bien changé de nature), la baisse de 10 points de base du principal taux directeur (de 0,25 % à 0,15 %) ciblant avant tout la parité dollar/euro, les plus significatives sont les deux opérations de « refinancement à long terme ciblées » (TLTRO) annoncées pour septembre et décembre prochains.

Excluant explicitement le crédit immobilier aux particuliers, elles visent à « contraindre » les banques européennes à prêter quelque 400 milliards d’euros aux entreprises non-financières, en leur servant une rentabilité exceptionnelle garantie sur quatre ans. « Nombre de conditions viseront à faire en sorte que ces fonds soutiennent l’économie réelle », a précisé le président de la BCE. Une manière de dire que le résultat est loin d’être assuré. La pénalisation des dépôts des banques auprès de la BCE, avec l’institution « historique » d’un taux négatif de -0,10 %, a une portée avant tout symbolique. C’est peu cher payer une aversion pathologique au risque et, de toute façon, le coût en sera reporté sur les clients.

 

Alignement sur le dollar 
Alignement sur le dollar © Gavekal

L’Europe va donc continuer à payer un lourd tribut, économique et social, à un « jeu des marchandages bancaires » dans lequel il est clair que les banquiers fixent les règles et se distribuent les meilleures cartes. Comme répété à satiété ici même, les expériences des années 1990, négatives au Japon et positives en Scandinavie, indiquent que d’autres arrangements institutionnels, des équilibres politiques différents pouvaient conduire à d'autres voies de sortie : la lumière complète sur le bilan des banques (le passage en revue des actifs est en cours en ce moment en Europe, sept ans après le début de la crise !), la purge des équipes dirigeantes, la nationalisation temporaire des établissements chaque fois que nécessaire, le cantonnement des actifs douteux ou pourris dans des structures ad hoc, une plus grande ouverture à la concurrence et des encouragements à la déconcentration du secteur bancaire, l’incitation à la mise en place de financements alternatifs au crédit bancaire.

Comme le notent encore Calomiris et Haber, « la crise du crédit subprime n’était que la dernière d’une très longue série de crises bancaires aux États-Unis. Ce qui doit être expliqué est pourquoi les États-Unis ont un système bancaire sujet aux crises de manière aussi persistante ». L’essentiel, au-delà de la recherche de coupables, est la « question importante : comment pouvons-nous changer les institutions politiques pour réduire les incitations à former des coalitions socialement improductives », telles que celles qui placent les banquiers au centre du jeu des « marchandages » ?  

 

Lire aussi

 

 

Source : www.mediapart.fr

 

 

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