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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 19:24

 

Source : blogs.mediapart.fr/blog/patrick-saurin

 

 

Le franc suisse s'envole: raison de plus pour ne pas payer les emprunts toxiques

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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 19:08

 

Source : cadtm.org

 

CADTM

 

Audio

Syriza et Podemos

Première émission du nouveau "Làs-bas"

 

23 janvier par Eric Toussaint , Renaud Lambert , Frédéric Lordon , Serge Halimi , Antoine Chao

Invités de l’émission du 21 janvier (19-21h en direct sur la-bas.org) :

SYRIZA et PODEMOS : en Grèce le succès de SYRIZA peut entraîner des bouleversements dans toute l’Europe, lesquels ? En Espagne, PODEMOS suscite l’espoir.
Une nouvelle façon de faire de la politique ? Avec Frédéric LORDON, Éric TOUSSAINT (du CADTM, le Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde), Renaud LAMBERT et Serge HALIMI du Monde Diplomatique, et un reportage d’Antoine CHAO.

 

Pour écouter l'émission, cliquer ici

 

Ou sur la page de la-bas.org (lien)

 

Source : cadtm.org

 

 


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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 18:35

 

 

Source : blogs.rue89.nouvelobs.com/chemin-du-nord

 

 

Mégaferme de saumon bio en Irlande : catastrophe écolo en vue
Diane Berbain
Blogueuse
Publié le 24/01/2015 à 15h14

 

 

 

En décembre 2014 a été rediffusé sur RFI un petit reportage sur l’élevage de saumon bio en Irlande, réalisé avec l’aide de l’Union européenne, présentant un certain nombre de lacunes que nous souhaitons combler ici.

Saviez-vous, d’abord, que les comparaisons de la côte ouest de l’île d’émeraude avec celle de la Norvège sont nombreuses ? La façade atlantique de ces deux pays est très morcelée par des îles, l’écosystème est unique, les paysages actuels ont été façonnés au cours de la dernière ère glaciaire. On trouve même des fjords en Irlande, et on peut venir de loin pour pêcher le saumon et la truite. Galway, comme Bergen, capitale économique du saumon d’élevage sur la côte ouest norvégienne, est une capitale régionale culturelle très vivante, étudiante, aux portes d’espaces naturels d’exception.

Et aujourd’hui, les Vikings voient le potentiel d’enrichissement dans la baie de Galway, un site Natura 2000, avec l’approbation du gouvernement irlandais. 75% de la production d’élevage dans ce pays est sous le contrôle de la multinationale norvégienne Marine Harvest. Il y a de grandes chances pour que ce saumon vous soit vendu sous le « Label rouge » et la certification « Agriculture biologique ».

Le saumon bio, c’est du bluff

Le label bio est censé rassurer le consommateur averti, lui garantissant d’acheter un produit dont la production a un impact minime sur l’environnement et la santé, dont l’usage de produits chimiques synthétiques est banni, et un bétail nourri avec une alimentation à son tour 100% bio.

Malheureusement, dans le cas du saumon d’élevage bio, cette garantie n’existe pas. Le label bio autorise le confinement en cage d’un prédateur. Il n’empêche pas les inconvénients de l’élevage en cage ouverte, et masque au contraire une myriade d’impacts négatifs sur l’environnement et la santé, autorisant l’usage de produits chimiques pour lutter contre différents parasites et maladies.


Sur l’île irlandaise d’Inis Oírr, dans la baie de Galway (Diane Berbain)

Beaucoup d’Irlandais sont contre l’expansion de cette industrie autour de leurs côtes. Ils sont alarmés car le pays a décidé de miser gros sur l’aquaculture, avec le soutien de l’Union européenne. L’Irlande souhaite atteindre des revenus liés à l’industrie des produits de la mer pour une somme d’au moins 1 milliard d’euros, créer 3 000 emplois et faire croître l’aquaculture de 78%, en agrandissant les fermes déjà existantes.

Un projet de ferme monstre

L’installation d’une ferme de saumon bio gérée par Marine Harvest pouvant produire 15 000 tonnes de poisson par an est aussi prévue. Ce serait la plus grosse ferme au monde, installée entre Galway et Inis Oirr et les îles d’Aran.

Avec 456 hectares, cette ferme serait un monstre dans la baie de Galway. Son industrie renommée de fruits de mer pourrait être mise en péril à cause de ces installations. La surcharge en nutriments présente dans les déchets rejetés directement dans la mer pourrait aussi causer la prolifération nocive d’algues, empoisonnant les fruits de mer.

L’Irlande est un pays qui cherche à sortir de la crise, mais est-ce la bonne méthode pour faire renaître le Tigre celtique de ses cendres ?

J’étais à Galway il y a quelques mois pour prendre la température. Et la chanson était la même qu’en Norvège. Comme en Norvège, les Irlandais récoltent les richesses venant de la mer depuis des siècles, et c’est sans doute leur ressource la plus importante.


Petit village dans le Connemara, à l’écosystème menacé (Diane Berbain)

Comme en Norvège, on y lit la même détresse chez les activistes, on y rencontre des gens inquiets pour l’environnement, des pêcheurs qui ont peur pour leurs souches de poissons sauvages. Comme en Norvège, le gouvernement se soumet à la volonté des multinationales.

Comme en Norvège, l’industrie salmonicole fait pression pour augmenter la production, aux dépens des risques que cela implique pour la santé publique et l’environnement.

Comme en Norvège, le saumon sauvage, qui fraie dans les rivières, devra, pour aller en mer, nager dans des eaux remplies de saumon d’élevage, des eaux infestées par le pou du saumon.

Problème environnemental et démocratique

Comme en Norvège, cela rique de devenir non seulement un problème environnemental, mais aussi un problème démocratique, quand une industrie tient les rênes.

Est-ce que Marine Harvest, qui est cotée en bourse, va, comme en Norvège, engranger les bénéfices sans rien laisser à la communauté locale en contrepartie de l’utilisation de la baie ?

En Norvège, l’élevage de saumon rejette chaque année des déchets équivalents aux égouts produits par 11,9 millions de personnes, soit la population de Tokyo. Le tout non traité, et se déversant directement dans les fjords et tout le long de la côte norvégienne. Rien n’est prévu non plus pour gérer cela en Irlande.

Comme en Norvège, le principe de précaution est mis sur la touche, au lieu d’entamer immédiatement une transition soutenable en cages fermées.


Manifestation à Galway contre le saumon d’élevage, en 2013 (StColmans Anglers)

Billy Smith, charpentier à la retraite, est le premier activiste que je rencontre à Galway. Il est l’un des fondateurs du groupe Galway Bay Against Salmon Cages, qui existe depuis 2012, et rassemble entre autres des pêcheurs de la région, des ONG :

« Neuf autres fermes sont proposées pour l’ouest de l’Irlande. On dit de la baie de Galway qu’elle est protégée des tempêtes, mais les terribles rafales de l’hiver 2013 nous ont prouvé le contraire. Le 1er février 2014, des milliers de saumons se sont également échappés de la ferme dans la baie de Bantry. »

Eoin Trill, guide-pêcheur, me parle aussi de son engagement contre les projets de ferme à Galway :

« Je suis totalement contre l’élevage actuel, mais pas contre les emplois. Et une chose est sûre, ce sont les cages fermées qui sont le futur.

Les fonds marins sous les fermes déjà établies sont dans un état épouvantable, les fruits de mer sont détruits, la biodiversité est sacrifiée. Les invertébrés sont aussi touchés. »

« Il faut que cela cesse »

Il pointe du doigt un autre problème :

« Si le poisson s’échappe, il remonte les rivières, se croise avec les souches de saumon locales, ce qui affaiblit leur patrimoine génétique et transmet les maladies. »


Eoin Trill montre l’emplacement prévisionnel de la future mégaferme de Marine Harvest (Diane Berbain)

Selon lui, « les compagnies norvégiennes Cermaq et Marine Harvest sont les plus gros pollueurs au monde » ;

« J’ai toujours su à quel point l’élevage de saumon de ce type était néfaste, je l’ai su toute ma vie. Leur unique priorité est de faire de l’argent. Marine Harvest doit être stoppé pour que l’océan soit sauvé. Il faut que l’élevage de saumon soit transféré dans des cages fermées. Il faut que cela cesse. »

Les souches de truites de mer avaient déjà été quasi décimées dans les années 80 dans le Connemara, à cause de poux de mer qui avaient tout envahi après l’installation de fermes aquacoles (elles avaient ensuite été démantelées).


Des fermes aquacoles au large du Connemara (Diane Berbain)

« Ça détruira tout l’écosystème »

Le mouvement de protestation local contre l’établissement de la mégaferme dans la baie de Galway s’étend jusqu’aux îles d’Aran. Ces îles sont parmi les derniers bastions de la culture celtique. Un bout du monde au bout du monde.

La pêche et l’élevage de bétail sont les activités principales à côté du tourisme. Les voitures n’abondent pas, contrairement aux dauphins dans la baie.

Inis Oírr, « l’île de l’Est », a un paysage calcaire tourmenté par le vent, entrecoupé par des labyrinthes de murets de pierres, avec une magnifique plage de sable fin, et des plages sauvages de rochers.

Rory Folan, originaire de l’île, est pêcheur l’été. Quand il a entendu dire que ce type d’activité créait beaucoup de dommages, il s’est renseigné sur ce qui se passait en Norvège, au Chili et au Canada :

« Ces élevages polluent. La plupart des gens de l’île sont contre. Il s’agira de la plus grosse ferme bio au monde. Et si cela se fait, tout disparaîtra. Ça détruira tout l’écosystème, et ça ne fera qu’empirer d’année en année.

Les éleveurs de saumon ont tellement de pouvoir sur les politiciens et les médias, qu’il faut se baser sur le bon sens.

Les Irlandais ne savent pas à quel point ce projet est mauvais. Le gouvernement prétend que c’est le seul moyen de créer des emplois. C’est juste du marketing. »


Rory Folan, pêcheur d’Inis Oirr (Diane Berbain)

Rory est le premier interviewé sur cette vidéo de l’activiste écossais Don Staniford, filmée à Inis Oírr.

 

 

Ces 350 emplois prévus sur le site de Galway finiraient par remplacer un nombre encore plus grand d’emplois déjà existants, dans le secteur soutenable du tourisme et de la pêche à la ligne, en endommageant les ressources naturelles.

Les autorités irlandaises prétendent qu’il n’y a pas de contraintes environnementales majeures pouvant empêcher d’accorder une licence de pisciculture sur les sites désignés.

Chers consommateurs français, pour sauver les ressources du Connemara et la baie de Galway, pour sauver les côtes norvégiennes, réfléchissez avant de mettre du saumon dans votre assiette !

Bonus : « Fish farm blues », de Pat Quinn, qui chante sur les conséquences catastrophiques du projet de ferme dans la baie de Galway :

« Galway bay, Galway bay... That would be some price to pay. »

 

 

 

 

Source : blogs.rue89.nouvelobs.com/chemin-du-nord

 

 

 

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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 18:18

 

Info reçue par mail

 

Pour info !
Bande-annonce à voir ici: http://jeluttedoncjesuis.net/

 

 

Bande-annonce longue du film :
Comme pour la première bande-annonce du film précédent, nous vous proposons une version longue d’une durée similaire (10 minutes) pour vous présenter le film en cours de préparation, ses idées fortes, ses lieux et ses personnages de Grèce et d’Espagne, sur quelques unes des musiques... en attendant quelques belles et grandes surprises ! Merci de soutenir et partager !
Résumé du film :
« De Grèce et d’Espagne, un vent du sud contre la résignation souffle sur l’Europe. Dans les villes et les campagnes, dans les îles et les montagnes, au cœur des luttes et des alternatives en actes, des femmes, des hommes, mais aussi des enfants refusent de baisser les bras. Une même devise résume leur courage de résister, leur joie de créer et leur persévérance à toute épreuve : "JE LUTTE DONC JE SUIS" (prononcer "AGONIZOMAI ARA IPARKO" en grec et "LUCHO LUEGO EXISTO" en espagnol). Quelques mots pour vivre debout, parce que rester assis, c’est se mettre à genoux. Une brise marine, souriante et solidaire, de Barcelone à Athènes et d’Andalousie en Crète, qui repousse les nuages du pessimisme. Un voyage palpitant en musique, d’un bout à l’autre de la Méditerranée, en terres de luttes et d’utopie. »


Titre : « JE LUTTE DONC JE SUIS »
Sous-titre : « De Grèce et d’Espagne, un vent du sud contre la résignation souffle sur l’Europe. »
Durée : 1h20. VF-VOSTF. Sortie : juin 2015 (sous réserve : date de sortie et moyens techniques selon financement, cf. souscription de soutien ici).

 

Ante-scriptum : nous avons subi le vol d'une grande partie de notre matériel, dont notre ordinateur (mais heureusement pas les sauvegardes du film en cours). Si vous nous avez adressé un courriel important sans réponse, mieux vaut nous le renvoyer.

Salut à tou-te-s,

Un petit bonjour depuis les montagnes de Crète, entre Chania et Réthymnon, où la population résiste magnifiquement contre plusieurs firmes, notamment françaises (en particulier EDF), qui dictent leurs lois et dévastent la nature ainsi que la vie des paysans (début de la bande-annonce ci-dessous). A partir de dimanche, je serai bien sûr à Athènes, puis à Thessalonique pour suivre de près les événements, caméra au poing et bloc-notes dans l'autre, pour déchiffrer leur signification et leur portée.

En attendant, j'ai le plaisir de vous proposer de découvrir la première bande-annonce de mon prochain film, après NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES, qui se déroule encore en Grèce, mais aussi en Espagne :

JE LUTTE DONC JE SUIS
De Grèce et d'Espagne, souffle un vent du sud
contre la résignation


La bande-annonce est à la une du nouveau site :
http://jeluttedoncjesuis.net

Lien direct pour la partager et la bloguer :
https://www.youtube.com/watch?v=v3Vc5aWkORY

Comme pour le film précédent, cette première bande-annonce dure 10 minutes. C'est un survol donnant la température, le rythme et les idées principales. Vous remarquerez qu'à la différence de Ne vivons plus comme des esclaves, nous vous emmenerons aussi dans les campagnes et les îles, ainsi que dans l'éducation alternative et d'autres formes d'apprentissage de la lutte et de la solidarité. Vous traverserez aussi des ZAD en Grèce et en Espagne, d'Athènes en Crète et de Barcelone en Andalousie, et aurez des nouvelles du dispensaire médical d'Exarcheia (que le film précédent a soutenu). Les autres musiques du film seront révélées ultérieurement : nous vous préparons de grandes et belles surprises !

A la fin de la bande-annonce, nous avons également inclu la présentation des (formidables) personnages, avec quelques clins d'œil et allusions, notamment à destination de celles et ceux qui voudront soutenir ce projet (souscription sur le site) et diffuser cette parole contre la résignation.

Dès sa sortie, JE LUTTE DONC JE SUIS sera mis en ligne GRATUITEMENT, en plusieurs langues, à la disposition de tou-te-s !

N'hésitez pas à faire circuler l'info et la bande-annonce ! Merci de votre soutien !

Autre façon de fêter les luttes : chanter ! Quand on nous a demandé, il y a quelques temps, le karaoke de la chanson éponyme du film Ne vivons plus comme des esclaves, on a d'abord cru à une blague ! Mais finalement, on a vu que c'était sympa, drôle et même émouvant d'écouter certain-e-s d'entre vous CHANTER LA RÉSISTANCE EN GREC. Alors voilà :
https://www.youtube.com/watch?v=2PZQncCsa3A
Serez-vous capables de chanter en grec, avec notre sous-titrage phonétique ?

NA MIN ZISOUMÉ SAN DOULI ! AGONIZOMÉ ARA IPARKO !

A suivre, en Grèce, en Espagne et partout ! Tenez bon !

Yannis

PS : certains dont Maud ont choisi d'utiliser les « réseaux sociaux » pour améliorer la circulation de l'info, notamment auprès des jeunes, et souhaitent vous signaler cette page :
https://www.facebook.com/pages/J

 

 


 

 

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 23:12

 

 

Source : montpellier.demosphere.eu

 

 

samedi 24 janvier 2015 à 14h

Rassemblement et débat contre les violences policières

 

 

document au format PDF:

 


 

 

document au format PDF:

 


 

Une journée est organisée par l'assemblée de lutte contre les violences policières et la répression étatique marquant la fin de l'année 2014 avec la mort de Rémi Fraisse tué par la police. Aujourd'hui comme hier les policiers harcèlent, agressent, assassinent, occupent nos rues : nous n'acceptons pas la mort de Wissam, Nabil, Rémi et tous les autres. La police est le meilleur bouclier d'un système politique et économique parmi les plus réactionnaires, le capitalisme. Cette répression étatique s'exerce dans toutes les strates de la vie quotidienne. Solidarité avec celles et ceux qui luttent et restent vivants !

14H : RASSEMBLEMENT à Plan Cabanes (Tram L3 Plan Cabanes)

17H : DEBAT "contre les violences policières et la répression étatique au Barricade

21H : CONCERT ET OPEN MIC en soutien à la caisse de solidarité contre les violences policières

 

 

 

Source : montpellier.demosphere.eu

 

 


 

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 22:56

 

Info reçue par mail

 

 

Aprés la liberté de penser , la liberté de RENDRE VISIBLE LE REEL

 

 

Je crois qu'il va falloir porter plainte pour harcélement et torture morale pour n'avoir plus à subir toutes ces analyses et ces élucubrations qui ne font qu'empêcher de rendre le VISIBLE  REEL.
Ce n'est pas en s'attaquant au capitalisme avec un bulletin de vote que nous réduirons les inégalités.
Commençons à réclamer la liberté de penser et d'agir pour nous-même comme pour CHARLIE (pacifiquement et loin des partis poltiques qui nous aménent la guerre ).
 Afin  de ne plus étre des assistés nous devons ensemble réécrire une nouvelle Constitution et nous allouer à nous même le DROIT FONDAMENTAL à un REVENU INCONDITIONNEL D EXISTENCE .
Ce serait le premier "Pas de Côté" pour lutter contre les inégalités, source de tous nos maux, afin d'assurer le gîte et le couvert qui serait garanti aux incroyants comme aux croyants  de toutes religions. 
Ce serait aussi protéger notre environnement dans une véritable politique de "Désaccoutumance a la croissance" ILLICH
C'est ce que je pense que l'on devrait enseigner dans les écoles  en même temps que l'histoire des réligions
Voilà la vision d'une société laîque de l'athé que je suis.
 
Bernard Bruyat
OPDLM MRIE

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 22:43

 

Source : www.terraeco.net

 

20-01-2015

 

 


 
Pourquoi une pomme des années 1950 équivaut à 100 pommes d'aujourd'hui
(Crédit photo : Pixabay)
 
Avec l'augmentation des rendements agricoles, nos aliments sont devenus des coquilles vides… de nutriments. Combien de pêches, d'oranges, de brocolis faut-il ingurgiter pour retrouver les bienfaits d'il y a un demi-siècle ?
Le Baromètre de cet article

Mordre à pleines dents dans une pêche et avaler… de l’eau sucrée. Manger toujours plus, pour se nourrir de moins en moins. Tandis que, dans les pays développés, nos apports en calories augmentent, la plupart des aliments non transformés que nous consommons – fruits, légumes et céréales – deviennent des coquilles vides sur le plan nutritionnel. Une dizaine d’études d’universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et aujourd’hui, font état d’une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments. Ces travaux résumés dans l’étude « Still no free lunch » de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute confirment l’essor de la « calorie vide » : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé. Même dans les aliments réputés sains, vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisés par deux, par vingt-cinq, voire par cent, en un demi-siècle. Pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 1950, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette !

Vitamine C : une pomme hier = 100 pommes aujourd’hui

Hier, quand nos grand-parents croquaient dans une transparente de Croncel, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine C chacune. Soit cent fois moins. « Après des décennies de croisements, l’industrie agroalimentaire a sélectionné les légumes les plus beaux et les plus résistants, mais rarement les plus riches sur le plan nutritif », déplore Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l’environnement à l’université Paris-VII et militant pour la préservation des semences anciennes.

Vitamine A : une orange hier = 21 oranges aujourd’hui

Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes scrutés par des chercheurs canadiens dans une étude synthétisée pour CTV News. Le déclin est total pour la pomme de terre et l’oignon qui, aujourd’hui, n’en contiennent plus le moindre gramme. Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux AJR (apports journaliers recommandés) – en vitamine A. Aujourd’hui, il faudrait en manger 21 pour ingurgiter la même quantité de la précieuse vitamine. De même, une pêche des années 1950 équivaut à 26 pêches aujourd’hui.

Fer : la viande en contient deux fois moins

Au début de la chaîne, il y a la céréale. Blé, maïs et soja sont aujourd’hui plus pauvres en zinc, en cuivre et en fer qu’il y a cinquante ans. Appauvries par des décennies d’agriculture intensive et de sélections variétales, ces céréales réapparaissent dans l’auge de nos bêtes, qui, par répercussion, se trouvent moins bien nourries que leurs ancêtres. En bout de chaîne, l’animal devenu steak apportera moins de micronutriments dans nos assiettes. Tel est l’effet domino identifié par le chercheur américain David Thomas. Dans son étude [1] publiée dans la revue Nutrition et Health, il constate qu’à poids égal un même morceau de viande apporte deux fois moins de fer qu’un demi-siècle auparavant. Or, celui-ci sert à l’élaboration. Autre dommage collatéral : le lait « a perdu ces acides gras essentiels », déplore Philippe Desbrosses. Des acides essentiels à nos membranes cellulaires, notre système nerveux et notre cerveau. Naturellement présents dans l’organisme en très petite quantité, ils doivent nous être apportés par l’alimentation.

Calcium : quatre fois moins dans le brocoli

Mauvaise nouvelle. Si le brocoli figure sur la liste de ces légumes que vous ne consentez à avaler qu’en pensant à votre santé, vous n’avez pas fini de grimacer. Alors que ce chou venu du sud de l’Italie contenait 12,9 mg de calcium – allié de la construction osseuse et de la coagulation du sang – par gramme en 1950, ils n’en renfermait plus que 4,4 en 2003, selon une étude de l’université du Texas, soit quatre fois moins. Si vous comptiez sur lui pour compenser la carence en fer de votre steak, c’est également loupé. Il vous faudrait en mettre six fois plus dans la soupe pour obtenir les mêmes bienfaits que par le passé. Sur les 25 légumes étudiés par l’équipe de recherche canadienne, 80% ont vu leur teneur en calcium et en fer décliner.

Le bio est-il une solution ?

Les facteurs de ce déclin sont multiples. Des sols plus pauvres, des végétaux cueillis trop tôt, des traitements de conservation plus fréquents, des croissances plus rapides dopées par les engrais et une réduction du nombre de variétés, sélectionnées pour leur résistance aux parasites et leur rapidité de croissance… Autant d’éléments imputables à une quête de meilleurs rendements. Résultat, « pour le maïs, le blé et le soja, plus le rendement est important, plus le contenu en protéines est faible », note Brian Halweil, dans son étude. Même schéma pour les concentrations de vitamine C, d’antioxydants et de bêtacarotène dans la tomate : plus les rendements augmentent, plus la concentration de nutriments diminue.

A contrario, « l’agriculture biologique peut contribuer à inverser la tendance », indique Brian Halweil dans son étude. De fait, à conditions climatiques équivalentes « les aliments bios contiennent significativement plus de vitamine C, de fer, de magnésium et de phosphore que les autres ». Le chercheur met pourtant en garde : « Si les agriculteurs bios développent un système riche en intrants avec des rendements comparables aux exploitations conventionnelles, le bio verra son avantage nutritionnel s’éroder. » De même, si les produits bios sont cueillis avant maturité, ils sont finalement moins riches en nutriments que des produits mûrs de l’agriculture traditionnelle. Seule stratégie pour remettre de la vie dans son assiette : choisir des aliments mûrs, produits de manière non intensive et partir à la chasse aux variétés oubliées. Une épopée.

Retrouvez toutes les études ici :
- L’étude canadienne synthétisée pour CTV News
- L’étude « Still no free lunch », de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute
- L’étude de l’université du Texas
- L’étude américaine de l’université du Minnesota sur le blé
- L’étude du chercheur américain David Thomas publiée dans la revue Nutrition et Health
- L’étude de l’université du Texas sur les rendements

[1] David Thomas, « A Study of the Mineral Depletion of the Foods available to us as a nation over the period 1940 to 1991 », in press, Nutrition and Health ; Anne-Marie Mayer, op. cit. Note 32.

 

 

Source : www.terraeco.net

 

 

 

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 22:31

 

Source : www.mediapart.fr

 

Sivens : une nouvelle enquête vise les gendarmes

|  Par Michel Deléan

 

 

 

Le parquet de Toulouse vient d'ouvrir une information judiciaire pour « violences volontaires » après la plainte d’une jeune femme gravement blessée à la main par une grenade lancée dans sa caravane.

Plus de trois mois après la plainte déposée par Elsa Moulin, une jeune zadiste de Sivens gravement blessée à la main, le 7 octobre, par une grenade qu'avait lancé dans sa caravane un gendarme, une information judiciaire pour « violences volontaires ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente » a enfin été ouverte, voici quelques jours, par le parquet de Toulouse, selon des informations obtenues par Mediapart. La justice a temporisé, mais ce dossier vient finalement d’être confié au doyen des juges d’instruction de Toulouse, Myriam Viargues.

 

La main d'Elsa 
La main d'Elsa © L.F.

Elsa Moulin, une éducatrice de 25 ans, avait été opérée en urgence après ce tir de grenade non réglementaire, et elle garde de graves séquelles. Le rapport de l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) avait relevé une faute du gendarme en question, à la différence de la mort de Rémi Fraisse.

Mediapart avait raconté en détail cette impensable scène de violence, qui a été filmée: la jeune femme s'était réfugiée dans une caravane avec trois autres jeunes zadistes, avant que le gendarme prenne le risque fou de lancer sa grenade à l'intérieur (voir notre reportage et la vidéo ici).

 

L'affaire Rémi Fraisse, elle aussi, avance lentement. Les avocats de la famille Fraisse (Claire Dujardin, Arié Alimi et Éric Dupond-Moretti), n’ont pas réussi, jusqu’ici, à obtenir des deux juges d'instruction toulousains en charge de cet autre dossier la mise en examen du gendarme auteur du tir mortel. Ce dernier a été placé en garde à vue puis relâché, le 14 janvier.

 

 

Source : www.mediapart.fr

 


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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 22:21

 

 

Source : www.politis.fn

 

 

Par Le Yéti - Suivre sur twitter - 22 janvier 2015
"Assouplissement quantitatif" : le saut de la mort de la BCE (et du système)

 

 

 

22 janvier 2015 : la Banque centrale européenne (BCE) vient de craquer et de céder à son tour à l’urgence de la planche à billets. En termes techniques, on appelle ça un "Quantitative Easing" (QE), en français "assouplissement quantitatif". C’est-à-dire le dernier saut de la mort du système financier.

En gros, un QE consiste pour une banque centrale à racheter les dettes d’États pour tenter de relancer leurs économies en injectant un flot de liquidités. La BCE vient donc de décider d’acheter des dettes d’État à concurrence de 60 milliards par mois de mars 2015 à septembre 2016, soit une injection ahurissante de 1140 milliards d’euros.

Le problème c’est que les précédents QE commis par d’autres banques centrales n’ont strictement servi à rien. La Fed américaine en est à son troisième et vient néanmoins d’annoncer qu’elle allait devoir continuer son soutien à l’économie US pendant une période « considérable ». Celui de la BoJ japonaise s’est terminé en récession. Quant au QE massif effectué par la Banque d’Angleterre, son échec est reconnu par son ex-gouverneur, Mervyn King :

« Nous avons eu la plus grande stimulation monétaire que le monde n’ait jamais vu, et nous n’avons toujours pas résolu le problème d’une demande trop faible. L’idée que ce stimulus monétaire portera ses fruits au bout de six ans est selon moi une erreur. »

Les trois grandes étapes d’un effondrement systémique

Le problème, c’est qu’en fait plus rien ne marche, ni les politiques d’austérité, ni les politiques de relance. Pas plus les QE que les autres outils à discrétion des banques centrales. En 2011, la BCE a prêté 1000 milliards d’euros aux banques privées. Aucun n’a été redirigé vers l’économie réelle. En 2013, la BCE a récidivé en proposant 400 milliards aux banques, mais avec cette fois des contraintes dans l’utilisation de ces prêts. Les banques ont préféré dédaigner l’offre et seuls 80 milliards ont à ce jour été utilisés.

Le problème aujourd’hui, ce n’est plus telle ou telle politique, telle ou telle injection massive de liquidités, mais l’état général de la machine, c’est-à-dire du système lui-même, pourri au cœur.

En réalité, les banques centrales sont l’ultime rempart d’un système avant son effondrement, la dernière étape avant paralysie fatale. Résumons les trois grandes étapes successives de la Grande crise financière entamée en 2008 :

  • la faillite du système financier privé, sauvé in extremis fin 2008 par les États ;
  • des États rincés par l’aide qu’ils ont accordée pour sauver les banques privées en déroute et par leurs efforts pour réduire une dette publique irrirréductible ;
  • des banques centrales transformées en "bad banks" pour sauver des États financièrement asphyxiés.

Le dernier rempart du système va donc assurément s’écrouler. Les banques privées, qui ont compris le côté désespérée de la situation, délaissent l’économie réelle et vident leurs caisses à grands coups de dividendes et de bonus. Les États n’ont plus que des restrictions budgétaires à opposer à un endettement toujours galopant. Et que fera la BCE avec dans ses caisses des dettes que les États seront bien en peine de lui racheter ?

Avec les dernières annonces de Mario Draghi, la boucle finale est en train de se boucler [1].

P.-S.

Photo : AFP/Tiziana Fabi.

Notes

[1] Deux autres avis :

 

 

Source : www.politis.fn

 

 

 

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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 22:06

 

Source : www.bastamag.net

 

 

Syriza : « Faire que la Grèce redevienne un pays civilisé »

par Pavlos Kapantais 23 janvier 2015

 

 

À 48 heures des élections législatives en Grèce, le parti de gauche Syriza est toujours en tête des sondages. Quelles seraient les premières mesures d’un gouvernement dirigé par Syriza ? Donner accès à tous à l’électricité, aux soins médicaux et à la nourriture, répond Zoé Konstantopoulou, députée de Syriza, pressentie comme ministre de la Justice. La priorité : faire face à la crise humanitaire que connait le peuple grec, agir pour annuler une partie de la dette, réinstaurer une réelle démocratie parlementaire aujourd’hui mise à mal. Entretien.

Les derniers sondages accordent toujours une importante avance au parti Syriza, dirigé par Alexis Tsipras, face à son principal adversaire à droite, la Nouvelle démocratie du Premier ministre Antonis Samaras. Le système électoral grec accorde une « prime » de cinquante sièges au parti qui se hisse en tête. Mais Syriza pourrait néanmoins avoir du mal à décrocher une majorité au sein des 300 députés de la Vouli, le Parlement grec.

Comment appréhendez-vous les élections du 25 janvier ?

Zoé Konstantopoulou : J’ai senti en parlant aux Grecs que le nuage de peur s’est dissipé. Malgré la campagne de terreur d’Antonis Samaras (actuel Premier ministre grec, ndlr), l’espoir qui nait dans la population à travers cette élection nous aide à préparer l’avenir, tant pour les Grecs que pour les autres peuples européens. C’est le message que nous portons, mais c’est aussi ce que l’on me dit tous les jours. Et c’est également vérifié par les sondages qui nous donnent tous, sans aucune exception, vainqueurs.

Au-delà du gouvernement grec, ce climat de peur a aussi été nourri par des articles de la presse allemande et européenne, ressortant le spectre d’une sortie de la Grèce de la zone euro...

On a essayé, comme lors des élections législatives de 2012, de faire peur au peuple grec. Mais cette fois-ci, vous l’avez vu, ils ont été obligé de reculer. La chancelière allemande Angela Merkel a même dû déclarer qu’elle souhaitait voir la Grèce rester dans la zone euro. Le contexte n’est plus le même qu’en 2012.

Quel serait le premier geste d’un gouvernement dirigé par Syriza ?

Il faut faire face immédiatement à la crise humanitaire que connait le peuple grec à cause des politiques mises en place par la Troïka et par les gouvernements grecs depuis 2010. Nous nous engageons à ce que toutes les familles frappées de plein fouet par la crise aient accès à l’électricité, aux soins médicaux et à la nourriture. Comme l’a très bien dit Alexis Tsipras, leader de Syriza, il faut que la Grèce redevienne un pays civilisé. Deuxièmement, il faut agir pour qu’une grande partie de la dette soit effacée. Et que le paiement de la dette restante soit liée à la croissance économique du pays. En ce moment, la politique du pays est dictée de facto par des organismes internationaux, et les nouvelles lois ne sont votées qu’avec leur accord. De fait, la démocratie parlementaire est abolie en Grèce. Nous allons la rétablir.

Ne craignez-vous pas les réactions des créditeurs européens de la Grèce ? Comment réagira la troïka (Banque centrale européenne, FMI, Commission européenne) ? Que fera l’Allemagne ?

Vous l’avez vu depuis la chute du gouvernement Samaras [1] : une vague de solidarité envers le peuple grec et Syriza se manifeste à travers l’Europe, car nous représentons bien plus que la volonté du peuple grec, mais aussi une volonté de changement des politiques économiques menées à travers l’Europe. Syriza sera la première pièce d’un domino européen pour restaurer la dignité des peuples et la démocratie. La solidarité est une flamme qui se propage très rapidement et très loin... Nous voulons nous battre pour une Europe sociale et solidaire : si l’Europe est là où elle en est aujourd’hui, c’est aussi parce que des gouvernements conservateurs similaires à celui d’Antonis Samaras gouvernent l’Union européenne depuis trop longtemps. Nous voulons être l’élément déclencheur d’un changement de gouvernance à travers l’Europe.

Syriza a dénoncé les scandales politico-financiers qui ont ébranlé la Grèce et a publié un « Livre noir de la Honte », avec des documents prouvant en détail ces scandales. Comment pensez-vous rétablir le sentiment de justice dans la société grecque une fois au pouvoir ?

La société grecque demande d’abord et avant tout la justice sociale et l’égalité devant la loi. Le peuple grec est dégouté non seulement par les scandales, mais aussi par leur dissimulation évidente orchestrée par le pouvoir et les médias dominants. D’un côté, les plus démunis subissent sans cesse des attaques fiscales, de l’autre les proches du pouvoir sont en permanence protégés, politiquement et fiscalement. Des lois spéciales sont même votées pour protéger des hommes d’affaires en particulier ! Notre priorité, c’est de faire la lumière sur toutes les affaires et de donner une réelle indépendance au pouvoir judiciaire.

Propos recueillis par Pavlos Kapantais

Cet article a été publié par le Courrier des Balkans, média partenaire de Basta !, le 14 janvier 2015. Retrouvez le dossier spécial du Courrier des Balkans : 
Législatives anticipées en Grèce : Syriza aux portes du pouvoir

Photo : Alexis Tsipras, lors d’un meeting de Syriza.

 

Notes

[1Après l’échec de l’élection présidentielle grecque de 2014, qui s’est déroulée, en 3 tours, les 17, 23 et 29 décembre 2014, le gouvernement Samaras s’est vu contraint d’organiser des élections législatives anticipées, en janvier 2015.


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Source : www.bastamag.net

 

 

 

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