Journée Mondiale de l'indignation. Les Indignés de Saint-Brieuc soutenait ce mouvement. Nous avons participé à notre manière par un assemblée populairedevant l'entrée principale du centre commercial "Les Champs" en clôturant cette journée par une action symbolique de réappropriation du lieu "la maison du Peuple" à Saint-Brieuc que nous souhaiterions voir réhabilitée pour de nouveau pouvoir accueillir "le Peuple"
LEMONDE.FR avec AFP | 16.01.12 | 13h14 • Mis à jour le 16.01.12 | 13h55
Le numéro un mondial de la chimie, l'allemand BASF, a annoncé, lundi 16 janvier, qu'il renonçait au développement et à la commercialisation de nouveaux produits transgéniques destinés à l'Union européenne, face aux réserves de certains pays vis-à-vis de cette technologie.
"Nous sommes convaincus que les biotechnologies vertes sont cruciales pour le XXIe siècle. Mais elles ne sont pas suffisamment acceptées dans de nombreuses régions en Europe par la majorité des consommateurs, des agriculteurs et des responsables politiques", a estimé Stefan Marcinowski, membre du directoire de BASF, cité dans un communiqué.
ARRÊT DE LA CULTURE D'AMFLORA
Le groupe, qui a décidé de transférer le siège de son département recherche-développement en cultures transgéniques aux Etats-Unis, va par ailleurs cesser la culture d'Amflora, sa pomme de terre renforcée en amidon destinée à l'industrie, qui avait été autorisée en Europe en 2010. Depuis son autorisation, Amflora inquiète parce qu'elle contient un gène de résistance à des antibiotiques. Des scientifiques craignent le transfert de ces gènes des plantes aux bactéries, risquant alors de rendre les traitements inefficaces chez l'homme.
Le groupe laisse toutefois la porte ouverte pour ses pommes de terre transgéniques déjà développées Amadea, Modena et Fortuna : leurs demandes d'autorisation déjà lancées dans l'Union européenne vont se poursuivre.