Source : www.mediapart.fr
Avec la complicité de la mafia japonaise, des entreprises sous-traitantes en charge du nettoyage de la centrale de Fukushima emploient des sans-abri qu'elles rémunèrent bien en dessous du minimum légal.
Des entreprises japonaises emploient des sans-abri, qu'elles payent en dessous du minimum légal, pour nettoyer le site de la centrale de Fukushima, rapporte l'organisation Think Progress.
Financées par une dotation publique d'un montant global de 35 millions de dollars, les entreprises sous-traitantes, avec la complicité de la mafia japonaise, recourent à des sans-abri qu'elles exploitent pour intervenir sur la zone de la catastrophe nucléaire, au péril de leurs vies.
L'organisation Think Progress cite notamment le cas d'un sans-abri de 55 ans qui a déclaré avoir gagné « l'équivalent de 10 $ pour un mois complet de travail », une fois les frais d'hébergement et de nourriture décomptés sur son salaire.
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