Le Monde.fr avec AFP | 11.10.2012 à 10h11 • Mis à jour le 11.10.2012 à 10h11
Des milliers des syndicalistes ont manifesté mercredi 10 octobre sur la place de Mai face au siège de la présidence argentine, le troisième mouvement de protestation contre la présidente Cristina Kirchner en moins d'un mois.
Les syndicats dissidents réclament une baisse de l'impôt sur le revenu, qui touche près d'un million d'employés et une augmentation des allocations familiales.
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La Centrale des travailleurs argentins (CTA), dont une partie dissidente est dirigée par Pablo Micheli, et la CGT du leader des camionneurs Hugo Moyano, ancien allié de Mme Kirchner, sont aujourd'hui dans l'opposition. Mais il y a aussi une CTA et une CGT pro-gouvernement. "Moyano m'a dit ce matin qu'avant la fin de l'année nous aurons fait une grève nationale", a prévenu Pablo Micheli.