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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 11:20

 

 

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 23:37

19 min de vidéo de l'incessant cortège des indignés... pour vous donner une idée du nombre, bien supérieur à celui des 7000 personnes annoncées dans les articles précédents...

 

 

 

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 23:34

 

 

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 23:14
libération - Hier à 13h12 (Mis à jour à 20:19)

 De Madrid à New York, des rassemblements d'«Indignés» contre la précarité et le pouvoir de la finance ont eu lieu dans 82 pays. Des violences ont éclaté à Rome.


Manifestation des "Indignés" à Rome, devant le Colisée. (Stefano Rellandini / Reuters)

De Madrid à New York, comme dans des centaines de villes à travers le monde, les "indignés" ont manifesté samedi contre la précarité liée à la crise et le pouvoir de la finance, pour la première journée planétaire de ce mouvement né en Espagne au printemps.

Sous les slogans "Peuples du monde, levez-vous" ou "Descends dans la rue, crée un nouveau monde", les "indignés" avaient appelé à manifester dans 951 villes de 82 pays, selon le site 15october.net, contre la précarité liée à la crise et le pouvoir de la finance.

Des violences ont éclaté samedi à Rome, en marge du défilé des "indignés" qui a réuni des dizaines de milliers de personnes dans la capitale italienne lors de la première journée mondiale organisée par ce mouvement.

A Rome, des incidents ont éclaté dès le début du cortège. Des éléments incontrôlés, masqués de foulards noirs, ont envahi un hôtel de luxe, fracassé les vitrines de banques et mis le feu à une annexe du ministère de la Défense. Plusieurs voitures ont été incendiées.

En fin de journée, la place historique de la basilique Saint-Jean de Latran était transformée en champ de bataille. La police a chargé des centaines de jeunes qui lançaient fumigènes, cocktails Molotov et bouteilles contre les forces de l'ordre, tandis que les manifestants pacifiques quittaient les bras en l'air pour ne pas être confondus avec les casseurs.

 

"Ca me dégoûte. C'est la faute du gouvernement qui a contraint les jeunes à se comporter ainsi. Ils ne nous laissent pas le choix", commentait Laura, 23 ans.

Pendant ce temps des dizaines de milliers de personnes manifestaient pacifiquement dans la capitale italienne, brandissant des pancartes "Une seule solution, la Révolution!", "Nous ne sommes pas des biens dans les mains des banquiers".

 

A Rome (Max Rossi/Reuters)

A Londres, où des heurts mineurs avec la police se sont produits à la mi-journée, 800 "indignés" se sont rassemblés dans la City et ont reçu le renfort inopiné du fondateur de WikiLeaks Julian Assange.

L'arrivée d'Assange, qui est en liberté conditionnelle dans un manoir près de Londres en attendant une éventuelle extradition vers la Suède où il est poursuivi pour viol, a suscité des cris de joie.

 

"Nous soutenons ce qui se passe ici parce que le système bancaire à Londres est le bénéficiaire d'argent issu de la corruption", a lancé le fondateur de WikiLeaks sur les marches de la cathédrale Saint-Paul, où étaient massés les manifestants.

 

Soutien du gouverneur de la Banque d'Italie

 

"Je suis venu par solidarité avec les mouvements qui se déroulent dans le monde entier", confiait Ben Walker, un enseignant de 33 ans. "Nous voulons qu'il y ait un peu de justice dans le système financier mondialisé".

 

Les "indignés" ont bénéficié aussi de la compréhension du gouverneur de la Banque d'Italie, Mario Draghi, qui doit prendre la tête le mois prochain de la Banque centrale européenne (BCE).

 

"Les jeunes ont raison d'être indignés", a déclaré M. Draghi à des journalistes italiens en marge de la réunion du G20 à Paris. "Ils sont en colère contre le monde de la finance. Je les comprends", a déclaré cet économiste de 64 ans, avant de trouver "très dommage" les incidents de Rome.

 

«Si vous ne nous laissez pas rêver, nous ne vous laisserons pas dormir»

 

Cinq mois après l'apparition du mouvement, le 15 mai à Madrid, les "indignés" ou d'autres groupes comme "Occupy Wall Street" ont ciblé tout particulièrement de hauts lieux de la finance mondiale, comme le quartier des affaires de New York, la City de Londres ou la BCE à Francfort, devant laquelle 5.000 à 6.000 personnes se sont rassemblées, aux cris de "ne bradons pas notre avenir à la BCE".

 

"D'Amérique jusqu'en Asie, d'Afrique à l'Europe, les peuples se lèvent pour revendiquer leurs droits et réclamer une vraie démocratie", affirme le manifeste du 15 octobre. "Les puissances travaillent pour le bénéfice de quelques uns, ignorant la volonté de la grande majorité. Cette situation intolérable doit cesser", proclame encore le texte.

 

A Vienne (Leonhard Foeger / Reuters)

 

A Madrid, des dizaines de milliers de personnes sont parties des quartiers périphériques pour refaire le chemin jusqu'à la Puerta del Sol, la place emblématique qu'ils avaient occupée pendant un mois au printemps.

 

"Le problème, c'est la crise, révolte-toi", proclamait une grande banderole en tête de la marche partie de Leganes, une banlieue populaire à une quinzaine de kilomètres au sud de Madrid. Une autre portait l'un des mots d'ordre favoris des "indignés" espagnols: "Si vous ne nous laissez pas rêver, nous ne vous laisserons pas dormir".

 

A New York, où le mouvement "Occupy Wall Street", qui s'est nourri aux Etats-Unis du chômage des jeunes et de l'accroissement des inégalités, et occupe un parc depuis le 17 septembre, des milliers de personnes ont manifesté dans le calme dans le quartier de la finance, escortés par une forte présence policière.

 

L'extension du mouvement "démontre qu'il s'agit d'une question qui ne concerne pas seulement l'Espagne mais le monde entier car la crise est mondiale, les marchés agissent à l'échelle globale", soulignait Jon Aguirre Such, un porte-parole des "indignés" en Espagne.

 

En Europe, les "indignés" sont descendus dans les rues un peu partout. A Lisbonne, quelque 50.000 personnes de tous âges, ont défilé aux cris de "FMI dehors", rangées derrière une banderole proclamant "Stop troïka", en référence aux créanciers du Portugal (Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international).

 

Aux Pays-Bas, un millier de manifestants se sont rassemblés à La Haye, autant sur la place de la Bourse à Amsterdam, et un millier encore sur la Paradeplatz à Zurich, place emblématique de la finance suisse, tandis que Paris a rassemblé plusieurs centaines d'"indignés".

(source AFP)

mise à jour: 20h04 avec les derniers chiffres.

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 19:43

 

La première journée planétaire des "indignés": Bruxelles - Centrefrance
De Madrid à New York, comme dans des centaines de villes à travers le monde, les "indignés" manifestent samedi 15 octobre contre la précarité liée à la crise et le pouvoir de la finance, pour la première journée planétaire de ce mouvement né en Espagne au printemps. A Bruxelles. Durée: 01:21.

 

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 19:41

Publié le 15-10-11 à 21:18    Modifié à 21:38     par Le Nouvel Observateur avec AFP  

 

La participation a été particulièrement forte à Rennes. Eva Joly, Corinne Lepage et Philippe Poutou faisaient partie du cortège.

Succès de la journée nationale "Nucléaire Stop" JEAN-PHILIPPE KSIAZEK / AFP Succès de la journée nationale "Nucléaire Stop" JEAN-PHILIPPE KSIAZEK / AFP

Plus de 25.000 manifestants, selon le réseau Sortir du Nucléaire, ont manifesté samedi 15 octobre en France dans le cadre d'une journée nationale "Nucléaire Stop" avec notamment une importante mobilisation à Rennes, en présence de trois candidats déclarés à la présidentielle.

A Rennes, au milieu d'un cortège de 8.000 (préfecture) à plus de 15.000 (organisateurs) manifestants venus du Grand Ouest, Eva Joly, candidate Europe-Ecologie-Les Verts (EELV) à la présidentielle, se définissant comme "candidate de la sortie du nucléaire" a tenu à mettre en garde le futur candidat socialiste à la présidentielle.

"Il n'y a pas de victoire de la gauche sans les écologistes et il n'y a pas de victoire des écologistes sans les socialistes. Notre sort est scellé", a-t-elle lancé.

Plusieurs autres personnalités étaient à Rennes pour réclamer la sortie du nucléaire dont les candidats à la présidentielle Corinne Lepage (Cap21) et Philippe Poutou (NPA).

"Là où le nucléaire passe, la démocratie trépasse!"

Le cortège mené par un joueur de cornemuse a rassemblé de nombreux jeunes dont Valérie, 16 ans, tee-shirt jaune frappé du sigle "warning", et le visage peint de rose et vert "pour le côté peace and love".

Devant la centrale nucléaire du Bugey (Ain) un millier de personnes selon les gendarmes, 3 à 4.000 selon les organisateurs - qui avaient dans un premier temps annoncé plus de 2.000 manifestants - ont défilé en scandant "Là où le nucléaire passe, la démocratie trépasse!".

Ils ont réclamé l'arrêt de cette centrale, "l'une des plus vieilles d'Europe" selon Emmanuel Coux, porte-parole du collectif Stop-Bugey.

A Toulouse, comme à Bordeaux, ils étaient entre 500 et un millier de manifestants, mais aussi plus de 500 à Avignon, où ils ont formé une chaîne humaine de protestation, plusieurs centaines à Strasbourg, et 150 à 200 à Dunkerque.

Dans la ville rose ils ont simulé l'arrêt des 58 réacteurs nucléaires français puis un cortège composé de nombreux enfants a défilé en chantant "Affreux nucléaire, dangereux nucléaire, veux-tu me laisser tranquille, je veux te quitter, je veux m'en aller, je veux changer d'énergie".

En tête de la manifestation Phil Gallion, du Réseau Sortir du nucléaire, a soudé trois bidons d'huile pour former une tour jaune et noire, symbolisant un empilement de déchets "pour dénoncer le mensonge et l'omerta".

"Une belle réussite"

A Bordeaux les manifestants ont déployé sur les marches du Grand Théâtre une banderole vert fluo géante avec écrit "Le nucléaire tue l'avenir". Il se sont ensuite allongé au son d'une sirène, simulant les victimes d'une catastrophe nucléaire.

"Une belle réussite" selon Stéphane Lhomme, un des candidats malheureux à la primaire d'EELV et président de l'association Tchernoblaye, qui milite pour la fermeture de la centrale nucléaire du Blayais (Gironde) qui selon lui doit fermer "avant d'avoir un nouveau Fukushima en France".

A Strasbourg, militants français et allemands rassemblés sur le parvis de la cathédrale ont ouvert 300 parapluies jaunes et noirs pour former un "trèfle radioactif" géant et réclamer la fermeture de la centrale de Fessenheim.

Photographes et cameramen étaient juchés sur la terrasse panoramique de la cathédrale, 66 mètres plus haut, pour immortaliser l'événement.

"Aujourd'hui, ces parapluies c'est tout ce que nous avons pour nous protéger du nucléaire", a lancé le physicien Jean-Marie Brom, porte-parole du réseau Sortir du Nucléaire.

A Dunkerque les manifestants ont défilé équipés de lunettes anti-radiations, brandissant des pancartes "l'énergie verte créée 10 fois plus d'emplois que le nucléaire".

Vincent Dhelin, responsable régional EELV, y a dénoncé l'insécurité de la centrale de Gravelines qui pour lui est "comme une voiture d'occasion de 200.000 km, on fait des révisions, des contrôles techniques, mais on sait bien qu'il y a une durite qui un jour va péter et qu'il finira par y avoir une fuite d'huile, c'est inévitable".

Le Nouvel Observateur - AFP

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 18:38

LEMONDE.FR avec AFP | 15.10.11 | 18h59   •  Mis à jour le 15.10.11 | 19h32

 
 

 

Entre 8 000 et 15 000 personnes ont défilé dans les rues de Rennes, samedi 15 octobre, pour appeler à la sortie du nucléaire.

Entre 8 000 et 15 000 personnes ont défilé dans les rues de Rennes, samedi 15 octobre, pour appeler à la sortie du nucléaire.AFP/DAMIEN MEYER

Plus de 25 000 personnes, selon le réseau Sortir du Nucléaire, ont manifesté samedi 15 octobre en France dans le cadre d'une journée nationale "Nucléaire Stop" avec notamment une importante mobilisation à Rennes (Ille-et-Vilaine), en présence de trois candidats déclarés à la présidentielle : Eva Joly (Europe-Ecologie-Les Verts, EE-LV), Corinne Lepage (Cap21) et Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste, NPA).

A Rennes, le cortège comptait entre 8 000 (préfecture) et plus de 15 000 (organisateurs) manifestants venus du Grand Ouest. Eva Joly, candidate d'EE-LV à la présidentielle et se définissant comme "candidate de la sortie du nucléaire", a tenu à mettre en garde le futur candidat socialiste : "Il n'y a pas de victoire de la gauche sans les écologistes et il n'y a pas de victoire des écologistes sans les socialistes. Notre sort est scellé."

 "DÉNONCER LE MENSONGE ET L'OMERTA"

Devant la centrale nucléaire du Bugey (Ain) un millier de personnes selon les gendarmes, 3 à 4 000 selon les organisateurs, ont défilé en scandant "Là où le nucléaire passe, la démocratie trépasse !". Ils ont réclamé l'arrêt de cette centrale, "l'une des plus vieilles d'Europe", selon Emmanuel Coux, porte-parole du collectif Stop-Bugey.

A Toulouse (Haute-Garonne), ils étaient entre 500 et un millier à simuler l'arrêt des 58 réacteurs nucléaires français, précédant un cortège composé de nombreux enfants chantant : "Affreux nucléaire, dangereux nucléaire, veux-tu me laisser tranquille, je veux te quitter, je veux m'en aller, je veux changer d'énergie." En tête de la manifestation, Phil Gallion, du Réseau Sortir du nucléaire, a soudé trois bidons d'huile pour former une tour jaune et noire, symbolisant un empilement de déchets "pour dénoncer le mensonge et l'omerta".

A Bordeaux (Gironde), les 500 à 1 000 manifestants ont déployé sur les marches du Grand Théâtre une banderole vert fluo géante "Le nucléaire tue l'avenir". Il se sont ensuite allongé au son d'une sirène, simulant les victimes d'une catastrophe nucléaire. "Une belle réussite" selon Stéphane Lhomme, un des candidats malheureux à la primaire d'EE-LV et président de l'association Tchernoblaye, qui milite pour la fermeture de la centrale nucléaire du Blayais (Gironde).

A Strasbourg (Bas-Rhin), plusieurs centaines de militants français et allemands, rassemblés sur le parvis de la cathédrale, ont ouvert 300 parapluies jaunes et noirs pour former un "trèfle radioactif" géant et réclamer la fermeture de la centrale de Fessenheim. Photographes et cameramen étaient juchés sur la terrasse panoramique de la cathédrale, 66 mètres plus haut, pour immortaliser l'événement. "Aujourd'hui, ces parapluies, c'est tout ce que nous avons pour nous protéger du nucléaire", a lancé le physicien Jean-Marie Brom, porte-parole du réseau Sortir du Nucléaire.

A Dunkerque (Nord), entre 150 et 200 manifestants ont défilé équipés de lunettes anti-radiations, brandissant des pancartes "l'énergie verte créée 10 fois plus d'emplois que le nucléaire". Vincent Dhelin, responsable régional EE-LV, y a dénoncé l'insécurité de la centrale de Gravelines qui, selon lui, est "comme une voiture d'occasion de 200 000 kilomètres, on fait des révisions, des contrôles techniques, mais on sait bien qu'il y a une durite qui un jour va péter et qu'il finira par y avoir une fuite d'huile, c'est inévitable".

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 18:31

7sur7.be - 15/10/11 16h00

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7S7 mise à jour   Quelque six mille personnes se sont retrouvées samedi vers 14h30 à la gare du Nord à Bruxelles pour participer à la manifestation organisée par les "Indignés" et rejoindre la Bourse. Le cortège bruxellois s'est dirigé vers la petite ceinture pour gagner le rond-point Schuman, à proximité des institutions européennes.

La police a constaté que les manifestants étaient plus nombreux que prévu. Mais le cortège des Indignés a atteint son point de dislocation - le parc du Cinquantenaire - sans incident notoire, contrairement à son homologue italien qui a littéralement dégéné à Rome aujourd'hui. Quelques tagueurs ont dû être rappelés à l'ordre et quelques vitres ont été brisée mais il n'y a pas eu d'arrestation, a précisé la police. 
Les manifestants devraient encore tenir une assemblée générale plus tard dans la soirée et décider s'ils logeront dans le parc.
 
Face à la crise
Les Indignés manifestaient contre la manière dont les politiques et les institution financières gèrent la crise économique et réclamaient une nouvelle démocratie.
 
Ils manifestent, depuis plusieurs mois, au cri de "We are the 99 procent", en référence aux 99% de la population qui paient les conséquences de la crise. Les manifestants sont principalement des jeunes.

A chaque passage devant un immeuble abritant des services bancaires, les cris et les coups de sifflet ont fusé. Les banques et le système financier sont en effet accusés par les Indignés d'être responsables de la crise financière et économique actuelle.

Un petit groupe de contre-manifestants, habillés de manière distinguée était présent au départ du cortège pour exprimer son opposition au mouvement des Indignés. (belga/acx)

© afp
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15/10/11 16h00
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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 18:28

Samedi 15 Octobre - 21h17

 

La grande majorité de nos indignés ayant rejoint Bruxelles (avec nos banderolles et nos tracts) pour partager la semaine du 8 au 15 Octobre avec tous les marcheurs venus d'Europe , nous avons hésité à lancer un appel à se réunir en ce jour de mobilisation mondiale;  il nous paraissait difficile de rassembler beaucoup de monde...Que pouvions nous faire en étant si peu nombreux? Nous avons donc hésité, (juste un peu)...... mais avons malgré tout souhaité marquer le coup, quelque soit le nombre réduit de nos forces, sans nos banderolles, ni tracts, ni tambours)...presqu' à "l'arrache" , juste avec l'envie.

 

Bilan plus que positif à notre goût, nous fûmes agréablement surpris. Une centaine de personnes se sont rassemblées devant la maison carrée. Certains ont peut être été un peu déçus de ne pas avoir été accueillis par des slogans et de la musique (nous n'avions pas grand chose à leur offrir si ce n'est notre volonté farouche ...et ela ne ressemblait pas vraiment à une manifestation) et pourtant... le simple fait de voir cette centaine de personnes se mobiliser pour cette journée nous a réchauffé le coeur)

 

Certains penserons qu'il nous en faut peu. De notre côté, alors que nous occupons la place tous les soirs depuis le 26 Mai (il faut tenir) et que la plupart de nos indignés étaient à Bruxelles, nous nous réjouissons d'avoir malgré tout réussi ce pari un peu fou de croire que tant de personnes répondraient à notre appel. L'union faisant la force, l'indignation gagne du terrain chaque jour et par là même l'idée qu'une "démocratie réelle" va pouvoir voir le jour...

 

Merci à vous tous de vous être joints à nous.

 

Les indignés Nîmois

 

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 18:25

 

 

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