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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 09:23

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 11.04.2012 à 10h52 • Mis à jour le 11.04.2012 à 11h49

 
Un séisme de magnitude 8,7 près de l'ile indonésienne de Sumatra a été ressenti le 11 avril 2012

Un séisme de magnitude 8,7 a été enregistré, mercredi 11 avril, au large d'Aceh, en Indonésie, indique l'USGS. Une alerte au tsunami a été déclenchée, annonce l'Institut de sismologie en Indonésie. Le séisme a eu lieu à 15 h 38, heure locale (10 h 38, heure française), à 33 km de profondeur et à environ 430 km au sud-ouest de Banda Aceh, la capitale de la province de Banda Aceh.

Suivez la situation en direct

L'épicentre du séisme se trouve à 503 km au sud-ouest de Banda Aceh et à 1 029 km à l'ouest de Kuala Lumpur. Un bulletin d'alerte au tsunami valable pour tout l'océan Indien a été émis par le Pacific Tsunami Warning Center. "Les séismes de cet ampleur ont le potentiel de provoquer des tsunamis ravageurs qui peuvent toucher les côtes de l'ensemble du bassin de l'océan Indien", a averti le Centre dans un communiqué. L'Inde a également lancé une alerte au tsunami pour les îles Andaman et Nicobar. Le tremblement de terre a été ressenti pendant environ 5 minutes, a témoigné un journaliste de l'AFP à Banda Aceh.

SCÈNES DE PANIQUE

Ce séisme a déclenché des scènes de panique. L'institut américain de géophysique (USGS) et son homologue indonésien ont tous deux fourni la même évaluation de la puissance de ce tremblement de terre sur l'échelle de Richter. La secousse a été ressentie à Singapour, en Thaïlande et en Inde.

La province d'Aceh, située à la pointe occidentale de l'archipel indonésien, a été dévastée en décembre 2004 par un séisme suivi d'un tsunami. Cette double catastrophe a fait environ 230 000 morts dans treize pays du pourtour de l'océan Indien, dont près de 170 000 dans la seule province d'Aceh.

 

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 09:15

 

Info reçue par mail et retransmise par un indigné

 

Toute dernière ligne droite pour vous inscrire et rejoindre le défilé du PRADO à Marseille samedi 14 avril prochain.
 Il reste encore quelques places dans les bus affrétés par le Front De Gauche d' Alès.
 Le départ est fixé à 10h30 de la bourse du travail à Rochebelle.
 Le prix aller-retour est d'une dizaine d' €uros par personne, il sera fixé samedi.
 Faite rapidement connaître votre participation.
 
 Nous ne manquerions sous aucun prétexte cette journée qui promet d'être exceptionnelle où après le refus de "Gaudingue" de mettre à disposition les plages du Prado, la préfecture des Bouches du Rhône a donné son feu vert pour   un parcours de 2 km entre le rond point du Prado et le front de mer où de très nombreuses banque ont leur siège sur cette belle avenue du Prado.
 
100.000 citoyens sont attendus, venant du 30, 34, 48, 07, 84, 26, 04, 05, 83, 06 et des BDR bien entendu, bref tout le grand sud-est sera derrière Jean-Luc MELENCHON.
 
 
Je souligne qu'il n'est nullement nécessaire d'être membre du FDG ou d'un parti de gauche pour participer à cet immense rassemblement populaire.
 
 
A très bientôt

 
Tous les détails ici ==>>>   http://www.placeaupeuple2012.fr/le-front-de-gauche-defilera-bien-a-marseille-le-14-avril/
 
 
 Nota : à ce jour, ce sont déjà 50 bus qui sont réservés dans le 34.

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 09:09

 

Le Monde.fr | 11.04.2012 à 10h54

 

Dans la foulée de ses très bons résultats aux élections du Land de Berlin, fin 2011 (8,6 % des voix), le Parti pirate allemand (PiratenPartei, PP) grimpe à grande vitesse dans les sondages. Pour la première fois, un sondage réalisé par l'institut Forsa pour le compte de RTL et du quotidien Stern place les Pirates devant les Verts, avec 13 % des intentions de vote.

Evolution des intentions de vote en Allemagne, selon l'institut Forsa, compilées par le Spiegel.

Le PP reste loin derrière la CDU-CSU (36 %) et le SPD (24 %), mais devance dans ce sondage les Verts (11 %) et Die Linke (8 %) pour se hisser à la troisième place. La progression du PP a été très rapide : après avoir plafonné à 2 % des voix après les législatives de 2009, il est parvenu à dépasser le seuil des 5 % nécessaire pour obtenir des députés dans plusieurs élections partielles.

La croissance du PP semble se faire aux dépens des Verts et de Die Linke, avec lesquels le parti partage certaines positions sur les sujets sociaux et environnementaux. Il continue cependant de faire campagne principalement sur les thématiques de transparence gouvernementale, de réforme du droit de la propriété intellectuelle et de protection des libertés numériques.

Si le PP parvient à traduire sa progression dans les sondages par de nouvelles victoires législatives, la question d'une alliance avec la coalition SPD-Verts se posera de nouveau. Pour l'instant, la progression des Pirates profite surtout à la CDU-CSU, en affaiblissant sur le papier la coalition de gauche.

 

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 09:02
latribune.fr - Allemagne - 10/04/2012 | 17:11
Des militants du parti pirate lors du Congrès fédéral du parti à Offenbach-sur-le-Main, près de Francfort, en décembre 2011. Copyright AFP
  Des militants du parti pirate lors du Congrès fédéral du parti à Offenbach-sur-le-Main, près de Francfort, en décembre 2011. Copyright AFP

 

Romaric Godin

Le parti Pirate, opposé à la limitation du téléchargement sur Internet, est désormais crédité de 13 % des voix outre-Rhin, malgré son programme pour le moins obscur. Pour l'instant, Angela Merkel a toutes les raisons de se réjouir de cette nouveauté dans le paysage politique.

C’est un nouveau coup de tonnerre dans le paysage politique allemand. Ce mardi, un sondage réalisé par l’institut Forsa pour l’hebdomadaire Stern fait du parti Pirate la troisième force politique de la république fédérale. Selon cette enquête, ce parti qui défend avant tout la liberté de téléchargement sur Internet, obtiendrait aux élections fédérales 13 % des voix. Derrière les deux grands partis, les Chrétiens-démocrates d’Angela Merkel (36 %) et les Sociaux-démocrates (24 %), mais devant les Verts (11 %), Die Linke, le parti de gauche (8 %) et les Libéraux (5 %).

L’effet berlinois

Le phénomène « pirate » est un véritable chambardement politique outre-Rhin. Jamais une force politique ne s’était imposée avec autant de force et de rapidité dans le paysage politique depuis la guerre. Lors des dernières élections fédérales de septembre 2009, elle constituait encore un de ses petits partis auxquels parfois  les Allemands et les médias ne prêtent guère attention. Ils avaient certes réalisé, pour un premier essai, un score honorable, 2 % des voix, mais c’était encore insuffisant pour que l’on parle d’eux. Du reste, jusqu’au 18 septembre 2011, le parti est resté dans le même anonymat et n’a guère dépassé les 2 % des voix lors des sept élections régionales qui se sont alors tenues. Jusqu’à cette élection de la chambre des députés de Berlin. Ce jour-là, à la surprise générale, les Pirates obtiennent 8,6 % des voix et envoient 15 députés au parlement régional.

Enracinés dans le paysage politique

Les projecteurs des médias se braquent alors sur ces nouveaux élus qui tranchent avec les politiciens établis. Jeunes, ils arrivent en vêtements décontractés dans l’assemblée et parlent sans langue de bois ni langage châtié. On s’étonne de leurs méthodes, comme celle qui consiste à établir leurs propositions par des procédures en ligne très souples. Rapidement, le phénomène prend une ampleur nationale. Beaucoup pensaient que le phénomène pourrait se limiter à Berlin, ville des « marginaux ». Mais il n’en est rien.

Les instituts de sondages commencent à intégrer dans leurs questionnaires ce parti qui dépasse très vite les 5 % des intentions de vote nécessaire pour l’entrée au Bundestag. Début mars, le phénomène est confirmé par les élections régionales en Sarre, Land ouvrier en théorie peu ouvert aux thèmes développés par les Pirates. Ces derniers glanent alors pourtant 7,4 % des voix et 4 députés régionaux. L’irruption des Pirates dans le paysage politique allemand est confirmée. Lors des prochaines élections en Rhénanie du Nord Westphalie, le Land le plus peuplé du pays, le 13 mai prochain, les Pirates visent 6,5 % des voix contre 0,9 % en mai 2010. Ils pourraient être les arbitres de la constitution de la coalition gouvernementale.


Melting-pot idéologique


Qui sont ces Pirates ? Le parti a été fondé en Suède en 2006 pour lutter contre la limitation des téléchargements sur Internet. C’est toujours aujourd’hui un des éléments principaux de son programme politique outre-Rhin. Les Pirates défendent un droit illimité au téléchargement et propose de « soutenir » la culture par des subventions. De façon générale, leurs positions sont un mélange plus ou moins heureux d’idées d’extrême gauche (suppression des réformes Hartz IV, création d’un revenu minimum sans conditions,...), d’écologisme (refus total du nucléaire, défense des ressources naturelles) et de libéralisme économique (combat contre les monopoles) et sociétal (exigence de transparence dans la politique et les affaires).

Depuis que les Pirates ont pris de l’importance dans l’opinion, les médias allemands ne se privent pas de montrer les limites et les errements de ce nouveau venu. La semaine passée, le Handelsblatt a publié la contribution d’acteurs de la culture en faveur du droit d’auteur et la publication d’une plainte pour sexisme au sein du parti a fait les choux gras de la presse. Du reste, les déclarations parfois incohérentes et outrancières de certains dirigeants de ce parti, l’un jugeant les juifs « peu sympathiques », l’autre prônant une « le bombardement atomique de la bande de Gaza » entretiennent les doutes sur le sérieux de cette formation qui reste extraordinairement muette sur le sujet de la crise de la dette européenne.


Electorat volage

Et pourtant, rien ne semble pouvoir stopper l’envolée du parti Pirate outre-Rhin. Qui sont ceux qui sont séduits par cette formation ? Cette grande partie de l’électorat, d’inspiration plutôt libérale, parfois libertaire, qui ne se reconnaît plus dans les grands partis traditionnels hiérarchisés et établis. Ce sont eux qui, en 2009, ont porté le parti libéral FDP à son record de 14,9 % des voix sur ses promesses de baisses d’impôt et de société plus ouverte. Déçus par l’exercice du pouvoir des Libéraux, ils se sont alors tournés vers les Verts, jugés plus « rebelles ».

Début 2011, portés également par Fukushima, les Ecologistes ont ainsi dépassé le SPD en Bade-Wurtemberg. Dans les sondages, ils étaient alors crédité de 24 % des voix au niveau fédéral. Mais là aussi, le caractère modéré et établi des Verts a détourné une grande partie de cet électorat. Aujourd’hui, les Verts sont proches, voire en deçà, de leur niveau de 2011 (12,1 %). Ceux qui les soutenaient voici moins d’un an ont désormais rejoint les rangs « pirates ». Parallèlement, la popularité des deux grands partis est resté assez stable : autour de 35 % pour la CDU et de 25 % pour le SPD.


Une chance pour Angela Merkel


C’est dire néanmoins si le succès des Pirates est fragile, car cet électorat est très volatil. En Suède, le parti Pirate avait atteint 7,4 % en 2009 aux élections européennes, avant de plafonner à 0,6 % des voix l’an prochain aux élections législatives. Pour résister au choc de leur nouveau pouvoir, les Pirates vont sans doute devoir un peu plus structurer leur programme et leur organisation. Au risque de, eux aussi, décevoir, ces électeurs si volages. En attendant, leur irruption fait une heureuse : Angela Merkel. Car en affaiblissant les Verts, elle réduit la force de la coalition Verts-SPD. Et comme pour le moment, les Pirates refusent d’entrer dans le jeu des coalitions, cela fait les affaires de la chancelière. Depuis ce week-end, sa propre coalition avec les Libéraux, dépasse d’ailleurs pour la première fois depuis deux ans son concurrent de centre-gauche. Mais avec six partis au Bundestag, du jamais vu depuis 1953, la constitution d’une coalition majoritaire relèvera de la gageure, à moins de revenir à la grande coalition CDU-SPD. Une option qui ne devrait pas déplaire à Angela Merkel qui avait fort bien gouverné, entre 2005 et 2009, avec les Sociaux-démocrates. D’autant que l’avance considérable de son parti sur le SPD lui assurerait de demeurer locataire de la chancellerie. Une perspective qu’elle désespérait de pouvoir imaginer depuis deux ans.

10/04/2012, 17:11  

 

 
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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 08:55

Retake the Bridge

In March to Athens on 10 April 2012 at 22:02


March to Athens

Day 154-LXXX, Πάτρα.

Day 155-LXXXI, from Πάτρα to Ναύπακτος, 22 km.

 

Nafpaktos, April 10

Dear people,

Nobody here would deny that our visit to Patras has become a complete fiasco. And even it wasn’t, it surely wasn’t worth sacrificing two days of margin.

Grey Dutch skies and persistent rains disrupted most of our stay, but even without it we wouldn’t have been able to create a vibe here.

Tents drying in Patras

The fact that police never showed up simply meant that they didn’t care. Also the communists, who had organised a concert at fifty metres from our camp, ignored us completely. Here in the big city it seems that many of the locals regard us as a band of hippie gipsies. They say we have no idea of what the hell is going on in Greece. They have already tried this peaceful resistance thing last year. The square was taken. But it didn’t work.

“This is a war. We didn’t start it. But if we want to win, we have to fight. Your love-peace-and-harmony train is very amusing, but it won’t lead to nothing.”

We held a small assembly hiding from the rain under the gallery around the square, and that was it. The second day we were completely flooded, and we retreated to a semi-covered area on the edge. Only comrade Lorenzo heroically resisted.

Only Lorenzo held the square...

In terms of numbers, Patras was a massacre. We left eleven people on the ground. The highest amount of casualties we have suffered since we left Rome.

But numbers don’t always tell the truth. Three of the people who left had rejoined us here and weren’t keen on walking. Other three were the Greeks from Mesolonghi, who would have returned anyway. Then there was comrade Manuel and company. Four more, straight to Athens.

Morale wasn’t high in the group after all this. And as to express the spirit of defeatism, there has been a feeble attempt of rebellion against my route proposal.

I knew it was going to happen. Once we crossed the bridge to the Peloponnese it would be very tempting for some to stay on this side, and to go from here, along the coast all the way to Athens without natural obstacles worth to mention.

Usually I’m fine with almost everything that the assembly decides on tactical or organisational issues. But there are two strategical decisions that I had wanted to make sure from the start. One was the arrival in Igoumenitsa instead of Patras, and two was the adoption of the northern route that passes by Delphi and Thebes.

Today's "facultative" route

I had presented the route proposal to back up my exuberant Altamura speech in favour of Igoumenitsa. And even though the route itself was never officialy consensuated, it was more or less implicitly accepted as part of the Igoumenitsa option.

All along the way, the Greeks who have inquiered into our proposed route had been surprised of the answer. They warned us that it was a hard and difficult road. They advised us to take the Peloponnese route. “Much easier.”

You have to know that I can’t stand ‘easy’ as a reason to do something. And every time the Greeks said we should go by the southern road, I was more and more convinced I wanted to follow the one less travelled by.

Patras was the only chance to go the Peloponnese way. That’s why I wasn’t surprised when the conspirators acted on the night before we left.

You can rest assured, dear friends, the attempt to change the route has miserably failed. It was badly prepared and clumsily executed. It was supported by three people who aren’t really known as dedicated marchers. They didn’t present an alternative itinerary and their only real motivation was to avoid the mountains.

My northern route proposal is indeed considerably longer, it passes by tiny villages where we could lack food supplies and it includes two ridges of mountains to cross. But nonetheless, and mostly because it was carefully planned, it could count on wide range support.

I didn’t even have to defend the proposal personally in the assembly. Instead, much to the delight of the Greeks, I limited myself to telling the story of young Hercules…

One day, while walking through the woods, young Hercules came to a crossroads.

At the crossroads there was a goddess. And the goddess said: “Hercules, this is your choice in life.”

She pointed to a wide road that gently sloped through abbundant olive groves and cornfields, down to a lovely bay, rich with fish. “This is the easy road. It will lead you to wealth, love, and happiness.”

Then she pointed to a small rocky trail that steeply ascended the mountains and disappeared high up in the clouds. “This is the hard road. It leads to pain, fatigue and despair…

“But,” she added, “this is the road that leads to glory.”

We all remember the name of Hercules, so we all know what road he took.

Carrying the trolleys back down on the north side of the bridge

Announcing the popular assembly in Nafpaktos

 

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 20:38
Mardi 10 avril 2012
http://indignesduvar.over-blog.fr/article-journee-du-8-avril-non-au-gaz-de-schiste-non-au-forage-en-mediterrannee-103177952.html

Journée du 8 avril : NON au Gaz-de-schiste, NON au forage en Méditerrannée

Ce dimanche, les toulonnais indignés se sont joints à la journée Trafalgar, organisée par le collectif varois "NON au Gaz de schiste".


P1110778Convoi à vélo jusqu’au Parc de la Navale, pique-nique citoyen, interventions micro des différentes collectifs présents, des élus, des acteurs économiques. Grosse mobilisation, ça fait plaisir de voir autant de monde concerné !

 

 P1110783 P1110786 P1110796 P1110800P1110781

 


Pour finir par cette photo,
où forcément il fallait qu’on se fasse remarquer !!

 

NON-GP-1-1-.jpg

 

 

Vous ne voyez rien ?

Regardons de plus près……


 

non

 

 

Quelques liens sur l'évènement :

http://pratclif.com/shalegas/20120313_files

http://gazdeschiste-collectif-var.over-blog.com/article-le-var...

http://gazdeschiste-collectif-var.over-blog.com/article-toutes-les-videos...

http://www.varmatin.com/diaporama...

 

 

Et avec un peu de retard, VIDÉO de la journée du 17 Mars 2012 :
Action de sensibilisation en centre ville et aux plages de Mourillon :

OY
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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 20:29
marches populaires paris 2012

Quelques photos de la marche Baiona, qui a été rejoint par la marche Toulouse un peu avant Tours.

Les marcheurs seront à Orléans ce jeudi. L’itinéraire possible jusqu’à Paris:

Jeudi 12 Orléans
Vendredi 13 Orléans
Samedi 14 Aschères le Marché 26km
Dimanche 15 Méréville 27km
Lundi 16 Etrechy 25km
Mardi 17 Les Ulis 27km
Mercredi 18 Bagneux 20km
Jeudi 19 Bagneux (ou autre ville)
Vendredi 20 Bagneux  (ou autre ville)
Samedi 21 avril Paris

 

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 20:23

http://globalpresse.wordpress.com/2012/04/10/les-indignes-barcelone-2011/

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 20:17

 

http://www.francetv.fr/info/live/message/4f8/461/51a/399/163/1ac/004/5cc.html

 

FTVi

Les tentes sont démontables, les écrits restent. Les indignés américains d'Occupy Wall Street racontent leur histoire dans un ouvrage collectif mêlant analyses et témoignages, à paraître le 13 avril aux éditions Les Arènes. Sobrement intitulé Occupy Wall Street !, il revient sur la mobilisation, de mi-septembre à mi-novembre 2011, de plusieurs milliers de contestataires dans le campement militant de Zuccotti Park, à New York.

il y a 10 heures

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 20:14

Parce que le droit à la santé, à l’éducation, au travail, à l’alimentation ou au logement sont des droits universels à part entière, nos organisations −associatives et syndicales− réunies au sein de la plateforme pour les droits économiques, sociaux et culturels (plateforme DESC), sont déterminées à les défendre et à les faire respecter. Mis à mal par les politiques économiques qui s’appuient sur la crise, les DESC ont bien souvent fait figure de parent pauvre dans l’histoire des droits de l’Homme, au profit des droits civils et politiques, malgré la Conférence mondiale de Vienne de 1993 qui réaffirmait sans équivoque l’universalité, l’interdépendance et l’indivisibilité de tous les droits. Selon nous, les DESC déterminent la capacité d’une société démocratique à se consolider durablement et devraient donc être renforcés en période de crise. À l’aube d’un nouveau quinquennat, notre constat est qu’à l’inverse, ils ne cessent d’être affaiblis.

Des inégalités sociales aggravées

Soulignons ce paradoxe : la mise en cause de tous les éléments de la politique sociale au moment où leur existence aurait le plus de sens. Au nom de la réduction des dépenses publiques, au nom du dogme de la baisse indifférenciée des prélèvements obligatoires, les inégalités en période de crise galopent ! Assurément, le vent de l’iniquité souffle sur les droits sociaux et emporte avec lui les principes fondamentaux qui sont ceux de la République. Nos organisations s’opposent à cette politique de déconstruction de la protection sociale, où la rigueur budgétaire sème sur son passage injustice et inégalité. Nos organisations dénoncent la concentration des richesses au profit d’une catégorie restreinte de personnes et la pauvreté du plus grand nombre, sans oublier la stigmatisation dont ils sont en général l’objet. Aujourd’hui, les 10 % les plus riches de la population reçoivent 24% de la masse des revenus et ont un patrimoine plus de 2 000 fois supérieur à celui des 10 % les moins fortunés ! Une telle situation ne laisse qu'un seul choix : celui du retour à la solidarité et aux droits.

Les services publics et la protection sociale : des droits pour tous

Les services publics sont une dimension incontournable du paysage social, économique, voire culturel français. Pourtant, ils sont depuis longtemps remis en cause par une politique qui vise à les réduire à un simple filet de sécurité, offrant un service de plus en plus insuffisant à ceux qui ne peuvent se payer une sécurité sociale optimale. Cette politique oublie que les services publics ont pour rôle d’assurer à tous et partout l’égalité de l’accès à l’éducation, la santé, la justice mais aussi l’information, la mobilité, la culture… Concernant la protection sociale, les enjeux de financement ne sont pas systématiquement confrontés aux responsabilités liées aux droits sociaux fondamentaux. Alors que l’individualisation est favorisée dans le système de retraites, le système de soins est marqué par la suppression des dépenses non rentables considérées comme « inutiles », quand bien même les besoins fondamentaux exigent qu’elles soient effectives.

Notre solution : la politique des droits

Les politiques publiques mises en place ces dernières années reposent sur une diminution des niveaux de protection des droits sociaux au motif  «qu’on ne peut pas faire autrement », « que tout le monde le fait ». Mais ce discours prétendument rationnel masque un parti pris politique et idéologique. Comment y croire lorsque la concentration des richesses, des privilèges et des positions sociales par une minorité de nantis constitue une réalité flagrante ? À cette logique de prédation, nous voulons opposer la logique des droits.

Les droits économiques, sociaux et culturels sont aussi fondamentaux que les droits civils et politiques, et c'est leur indivisibilité qui fonde notre combat. Le social n'est pas un sous-produit de l'économique et encore moins des marchés financiers. Se battre pour le social, c'est vouloir la plénitude de la citoyenneté politique économique et sociale. Le refus du social, c'est le maintien des inégalités à travers une conception théorique et politique visant à minimiser le caractère fondamental des droits sociaux. Pour notre part, nous considérons que les droits de l’Homme ne sont pas une des possibilités de la politique, mais constituent un ensemble indivisible d’obligations à mettre en œuvre dans leur globalité. Il n’est plus viable d’avoir une vision partiale et partielle de l’économie en oubliant que la mise en œuvre des droits fondamentaux contribue à la promotion générale et durable d’une société.

Les associations et organisations de la Plateforme DESC défendent et promeuvent l’universalité et l’indivisibilité des droits, car c’est dans la mise en œuvre dialectique des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels qu’une société démocratique puise les ressources de sa puissance économique effective. L’approche par les droits fondamentaux, dans leur globalité, génère une éthique économique et sociale favorable à la justice et aux libertés.

 

Annick Coupé, Secrétaire générale de l’Union Syndicale Solidaires  (USS)
Bernadette Groison
, Secrétaire générale de la Fédération Syndicale Unitaire (FSU)
Pierre-Yves Madignier
, Président d’ATD Quart Monde
Didier Prince-Agbodjan
, Président de Terre des Hommes France
Bernard Salamand
, Président du CRID  (Centre de Recherche et d’Information pour le Développement)
Pierre Tartakowsky
, Président de la Ligue des droits de l’Homme

 

 

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