lebuvardbavard - 16 décembre 2011
Publié par Luca Samsa
Salut mon ami,
Les correspondances se font toujours plus difficiles, le manque de temps devient une souffrance et l'absence d'un support personelle pour t'écrire amplifie les difficultés.
Maintenant je me trouve à Florence, on a fait deja la moitié du chemain pour Rome, on a traverse le montagne, deux fois, occupe les place des differentes villes, on a vecu des moments terribles et extraordinaires, deinsòs, on a experimentè la peur et la compassion, et enfin la rigolade avec les larmes aux yeux.
L'Italie et sa beaute remplis les regards des mes compagnons, la folie de ce maudite pays aussi. Ici à Florence la violence omicide de derivation faciste eclate dans la rue, la tension monte et se repand partout en Italie, il faut lutter pour construire la confiance des autres compagnons italiens.
A Rome ils nous attends en resistence, mais la aussi la peur les attrappe, on vie dans des temps obscures, et nous on est un petite famille, un lumière d"une bugie, avec nos sac, nos cadis, notre balet de sorcier, l'accordeon et nos voix inconsicents de la complexite tetu dans laquelle ces grupe d'hommes venu de l'Europe s'est retrouve.
On avance toujours en se reinventant, en experimentant des nouvelles formes de relations, des amities plus fortes qui ne vont pas vers l'amour mais que se melangent de fois dans une inestricable reseau d'emotion et de sentiment contradictoires et convergents.
La marcia verso Roma e Atene , apiedi, des fois le matin on ecute les vois des Italiens, abassurdit par ces concept, la police aussi ne sait pas comment nous parler en plus elle parle Italien, et moi ancore le seul marcheur Italien depuis Nice, j'ai l'ephemere pouvoir de couper la parole a la force publique avec une determinatione fantastique. J'arrive a ridiculiser leur arrogance autant que souvent on peut aussi se permettre un rigolade collettive face aux officier...c'est la que le groupe devient fort et uni.
On a un ritme organique, on ce centre pendant un inspiration, on est soude, unis tous ensemble...et apres avoir accumule assez d'énergie on se sépare en eclatant et en jettant des semences divers ailleur, pour se reunir bientot ici a Florence demain ou au maximum apres demain.
Ici a Florence les forces de la devastation generé par la shizophrenie induit par le capitalisme pourront generer un nouvelle autorganisation pulsant, la folie genere sagesse et la nourrit a traver un processuss de metabolisation et de transformations collectif des element des cors et des esprits,
Mon carnet il est des plus en plus grand et remplit des emotion et fragmentd de vie, et je ne sais pas ni je ne peux pas le traduire ici maintenant, je te promet ave le depart de Firence une autre correspondence plus riche et resonnante.
A bien tot mon cher amie et j espere de te revoir dan le chemin.
Luca